L'électron

 

electron


Est il ceci  ?




Une sphère infiniment petite (mais d’une « certaine » taille) qui serait constituée de quelque chose de plein et de continu, l’espace à l’extérieur de la sphère étant quant à lui « vide ».

Cette vision des choses a pour inconvénient qu’elle engendre aussitôt la question : cette sphère qui a une certaine taille doit pouvoir se découper en des morceaux plus petits dont la connaissance permettrait de mieux caractériser la « matière ».

Cette vision des choses a pour avantage d’être très simple : vide ou plein, être ou ne pas être.

Nous dirons que c’est une vision « binaire » ou « logique »de la vie.

Ou est il cela ?





Une vibration (presque sinusoidale) avec dans la partie centrale une forte amplitude "localisée" et dans la partie périphèrique une faible amplitude mais qui "emplirait" l'univers. Un peu comme le soleil qui a une grande densité au centre (la masse gazeuse composée d'hydrogène et d'hélium) et la lumière qui s'étend à l'infini.
 

Cette vision semble plus satisfaisante pour l'esprit et devrait permettre d'expliquer bon nombre de lois, comme la gravitation, qui deviendrait une "combinaison d'ondes".

L'énergie mise en mouvement provoque des vibrations (comme celle du ressort ci dessus), ces vibrations engendrent des noeuds et des ventres.
A l'endroit du noeud, l'énergie est concentrée (les spires du ressort se touchent), cet endroit pourrait être baptisé du nom de "matière"
A l'endroit du ventre, l'énergie est minimale (les spires du ressort sont très éloignées), cet endroit pourrait être baptisé du nom "d'esprit"


Précisons, comme il ya plusieurs types de particules fondamentales (électrons, protons, neutrons) qu'il pourrait y avoir plusieurs types de rayonnement (convergeant, divergeant, alternatif)

La vision "sinusoidale" de l'électron est une vision « analogique» de la vie, avec une continuité entre chaque chose.

Pour retrouver la vision binaire, il suffit d'appeler "matière" la partie centrale de l'électron et "esprit" la partie rayonnante, mais si on fait cette division, on peut la recommencer et considérer que la partie centrale a un aspect "matière" et un aspect "esprit". De même la partie rayonnante a un aspect "esprit" et un aspect "matière". De division en division on en arrive a la multitude des formes.

Pour passer de la vision binaire (la sphère ou le cercle) à la vision analogique ou sinusoidale, vous pouvez considérer le montage ci dessous qui montre que la shère et la sinusoide s'engendrent mutuellement.






Enfin le profil d'un goutte d'eau tombant sur un plan d'eau immobile illustre tout à fait la notion de sinusoide avec un centre trés marqué. Cette image est peut etre aussi un archétype du "big bang" ? Pour préciser le double aspect "esprit/matière" dont j'ai parlé plus haut, revenons sur le cas de l'image ci dessus : on y voit bien la sinusoide (l'esprit) cette sinusoide est la mise en forme de l'eau (la matière) et les deux sont inséparables car pour qu'une forme soit perceptible, il faut bien qu'il y ait une "matière" pour prendre cette forme (l'incarner).

Ou vont se nicher les électrons ?

L’année 1905 est une année fructueuse pour Einstein, quatre de ses articles étant publiés dans la revue Annalen der Physik :
Le premier article, publié en mars, expose un point de vue révolutionnaire sur la nature corpusculaire de la lumière, par l’étude de l’effet photoélectrique.
Il conclut en énonçant que la lumière se comportait à la fois comme une onde et un flux de particules.
J'ai d'ailleurs put vérifier cette théorie en arrosant ma terrasse, en effet ma terrasse est garnie de nombreuses plantes mais le point d'eau se trouve dans la cuisine à l'autre extrémité de l'appartement.
Les premières années je déroulais un tuyau d'arrosage et l'eau circulait dans ce tuyau de façon continue, en flux ou en onde pourrions nous dire.
Maintenant je me suis résolu à porter l'eau dans un arrosoir que je remplis dans l'évier de la cuisine.
L'eau est donc véhiculée de façon discontinue, par "paquets" assimilables à des particules.
Donc deux possibilités : le flux (onde) ou le baquet (particule).
L'anagramme de "onde" étant "node = nœud en anglais", la double nature est déjà dans le mot lui même.
J'avais déjà fait le lien entre ma pomme de douche et un soleil complété par le lien entre la bonde de mon bac receveur de douche et un trou noir, comme quoi l'eau nous mène à tout.


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