C'est peut être un peu tôt pour parler de Noël, mais comme il faut du temps pour s'y préparer, j'anticipe. Noël est la période de l'année ou les jours rallongent, symboliquement cela signifie la victoire de la C'est peut être un peu tôt pour parler de Noël, mais comme il faut du temps pour s'y préparer, j'anticipe. Noël est la période de l'année ou les jours rallongent, symboliquement cela signifie la victoire de la lumière sur les ténèbres. Historiquement, c'est l'incarnation du christ (haute entité cosmique connue sous d'autres noms dans d'autres traditions) qui vient régénérer spirituellement la planète. Mais comment à titre individuel bénéficier de cette lumière ? Prenons un exemple simple : si on a une pile électrique et une ampoule, pour que la lumière jaillisse, il faut joindre les deux bouts , un fil du pôle plus vers une borne de l'ampoule et l'autre borne vers le pôle moins. C'est ce que les arbres ont compris : les racines vers le pôle moins (la terre) et les feuilles vers le pôle plus (le ciel ou plutôt le soleil), et avec cela ils produisent des fruits qui nourrissent les animaux et les homme (sans parler de l'oxygène). On retrouve également cela dans les symboles que sont la baguette de fée et la baguette de magicien. La baguette est la droite symbolique de la liaison terre ciel (ou esprit matière) l'étoile mise au sommet de la baguette rappelle que c'est bien avec le ciel qu'il faut se lier. Pour la baguette de magicien, l'étoile du sommet est remplacée par un anneau blanc (symbole de lumière) ce qui est presque identique. Il est aussi d'usage de mettre une étoile au sommet de nos sapins de Noël (qui est aussi la pour nous rappeler la liaison terre ciel), les boules pouvant nous rappeler les fruits des arbres. Tout cela pour nous rappeler notre double filiation : celle de la terre (corps physique, monde des instincts, des passions, des pulsions..) et celle du ciel (monde de la lumière, de la conscience, de l'intelligence, de l'intuition, de l'inspiration). Pour être un homme complet, il faut avoir les pieds sur la terre (nos racines) et la tête dans les étoiles (nos feuilles) nous pourrons alors produire de nombreux fruits. Je vous souhaite une bonne récolte à tous et restez branchés
Lorsque vous partez en vacances, vous choisissez d'abord le lieu de votre séjour et ensuite seulement vous vous souciez du moyen de transport que vous allez prendre (train, voiture, avion.....) D'une manière générale, il est plus sage d'envisager d'abord la finalité et ensuite de voir les moyens à employer. Alors pourquoi ne pas utiliser cette méthode en politique ? A titre d'exercice, je vous propose de rédiger en moins d'une page, la description du monde dans lequel vous aimeriez vivre, ceci sans se préoccuper aucunement de la question des moyens (est ce possible, réaliste, utopiste....) N'indiquez que ce qui vous motive sincèrement et profondément, ce qui vous fait vibrer. Envoyez moi vos textes que je lirais avec beaucoup d'attention, cet exercice étant cependant principalement destiné à vous même, votre comportement et votre réponse étant une indication de la ou vous en êtes.
La, je me lance dans un sujet vraiment très délicat ! mais bon allez, je me jette à l'eau, sous le feu nourri de vos consciences (notez l'eau et le feu) Commençons par le b a ba Le cavalier (élément subtil) maîtrise son cheval (élément grossier) à deux conditions : il doit savoir s'imposer au cheval s'en servir et il doit le servir en lui construisant une étable, en le soignant, le nourrissant et en lui témoignant de l'amour. On trouve ça aussi lorsque vous remuez le bout du pied : le cerveau (une partie de l’être) envoi un ordre au pied (une autre partie de l’être) et le pied obéi. Mais à un autre moment, le cerveau vas s'occuper de l'alimentation du corps et les cellules du pied aurons leur part de festin. Nous voyons bien que notre ego (le moi je individuel) maîtrise un certain nombre de choses, mais l'ego lui, est maîtrisé par qui ? Par dieu, par l'esprit cosmique universel ? Peut importe le nom, nous sentons bien qu'il y a quelque chose au-delà Pour moi c'est l'esprit, il est un peu comme le courant électrique qui alimente les ampoules, à la fois il est distinct de l'ampoule et à la fois il est complètement lié à l'ampoule (voir l'analogie ente le centre de l'électron qui serait la matière et la partie rayonnante qui serait l'esprit, indiqué dans mon post l'homme cosmique ) Lors de la chute (séparation partielle entre l'homme et dieu ou séparation partielle entre les parties du tout et le tout, ou séparation partielle entre le subtil et l'épais), l’ego s'est formé par apprentissage du monde extérieur, tout en continuant d’être alimenté par l'intérieur (mais de façon inconsciente). Au fil des expériences, cet intérieur remonte peu à peu à la surface et l’ego est devenu connaissant (au sens intellectuel du terme) de sa filiation divine (ou collective ou cosmique.....) Alors c'est l'ego qui décide lui même (lui même a t il un sens puisque tout est relié) d’acquérir la maîtrise par différents moyens (écoute de son centre divin, pratique des vertus , don de soi, étude des textes sacrés etc.....) Mais l'apprentissage est long, très long, l'ego n'arrive souvent qu'a singer la sagesse universelle, en plus il a tendance à enfler vu toute les connaissances qu'il devient capable d'aborder (mais que par l'intellect) Mais un jour arrive, l'heure sonne, le voile se déchire et l'être apparaît dans sa dimension cosmique, la ce n'est plus du conceptuel , c'est devenu une réalité et l'ego s'est effacé pour l'être véritable.
Pour moi il n'y as pas de paranormal , tout est normal, simplement il y as des choses que l'on sait plus ou moins bien expliquer (ou pas du tout) Le terme paranormal a un coté relatif : si on se replongeait au moyen âge en y amenant nos téléphones, téléviseurs et autres ordinateurs, les gens de l'époque trouveraient ça paranormal ou miraculeux et de même aujourd'hui nous considérons les guérisons spirituelles que faisait Jésus il y as 2000 ans, comme miraculeuses En fait la bonne question à se poser est comment fonctionne l'univers ? (c'est plus riche que la simple question : est ce que Dieu existe, car que mettons nous derrière ce mot ?). Ce préambule fait, j'indique que je cherche à comprendre l'univers, depuis très longtemps et que je n'exclus rien à priori de mes domaines d'investigation : dieu, matière et esprit, corps subtils, philosophie, cosmo tellurisme, phénomènes dit paranormaux , etc...... J'ai comme beaucoup, je suppose déjà vécu des phénomènes mais ceux ci ne constituent pas une fin en soi, ils sont simplement des témoins sur le chemin et je ne cherche pas à les reproduire (pas d'apprenti sorcier). Par contre j'essaie de les comprendre en me concentrant sur les grandes lois de la vie, avec une démarche analytique et aussi sensitive Il me semble que l'étude des phénomènes paranormaux est une bonne porte d'entrée vers le chemin de la lumière et de l'amour.
Il semble que les prophéties amérindiennes rejoignent celles de la bible. Avez vous des infos sur les prophéties d'autres traditions ? Pour les amérindiens, c'est à voir sur : Liens vers indiens
Ce sujet apparemment scabreux peut être riche d'enseignements ! On peut remarquer que le fœtus vit dans le liquide amniotique et qu'il y rejette ses déjections, il vit donc baigné dans ses rejets (c'est peut être pour cela que le baptême a été inventé : nettoyer l'enfant de sa pollution, qui doit exister à plusieurs niveaux) On peut aussi remarquer que notre civilisation moderne et industrielle baigne dans les rejets polluants (terre, air, eau, ondes électro magnétiques....), c'est peut être le signe qu'elle vas justement accoucher d'un monde nouveau ? La prise de conscience (ou prise en bouche dans le cas de l'urine) devrait nous permettre de goûter nos rejets et d'évaluer de la nécessité de passer à un nouveau paradigme. Quand le fruit est mur, il faut le cueillir Alors bonne récolte à tous.
Vous avez certainement du rencontrer comme moi la notion d'homme
cosmique dans la littérature ésotérique.
Cette notion est restée pour moi très très floue étant habitué au
matérialisme de ma formation scientifique, mais récemment j'en ai
développé une compréhension dont je souhaite vous faire partager la
teneur. En préambule, je citerai le cas du soleil :son centre (la masse de
gaz que nous voyons dans le ciel), est inséparable de son rayonnement qui
empli l'univers (on ne peut envisager l'un sans l'autre et vice versa) Il
serait donc correct de dire que le soleil empli l'univers et que son
centre est au centre de notre système solaire. Ce qui m'est apparu (après
moult réflexions) c'est que les particules fondamentales qui composent les
atomes sont construites sur le même modèle que le soleil : elles ont un
centre (que les matérialistes appellent particule ) mais en fait, elles
emplissent
tout l'univers de leur rayonnement . D’où le lien avec l'homme cosmique :
notre corps (ou nos corps ?) spirituels (rayonnants) emplissent tout le
cosmos ! Pour aller plus loin, je pense que certaines particules (les
électrons) rayonnent comme un soleil, du centre vers la périphérie, et que
d'autre (les protons) sont comme des mini trous noirs qui rayonnent de la
périphérie vers le centre. D'autres enfin (les neutrons) font un mouvement
alternatif.
Nous serions donc comme un gigantesque radar qui envoi des ondes d'un coté
et qui reçoit l'écho de l'autre (les chauves souris peuvent aller se
rhabiller) Imaginez qu'ainsi chaque particule du cosmos est reliée et
influence chaque autre particule, constituant ainsi un être d'une
intelligence inouïe (Dieu peut être). La fonctionnement de base de
l'astrologie pourrait aussi s'expliquer. Enfin j'espère ne pas avoir trop
fait échauffer vos esprits, et envoyez moi vos commentaires.
Voilà, je lance le débat : Notre monde est il en décadence ? A
vos plumes.
Et je propose ma vision des choses : Pour moi le monde (sous certains
aspects) est semblable à une foret, on y trouve des graines qui sont
enfouies dans le sol et que personne ne vois (à moins d'avoir un radar),
des jeunes pousses à peine sorties du sol et qu'on ne voie que si on se
baisse et qu'on regarde attentivement, des plantes déjà vivaces de
plusieurs années, des adultes splendides et des vieux arbres en train de
périr en se décomposant (les restes deviennent de l'humus pour les jeunes
pousses).
Cette analogie étant pour rappeler qu'en l'homme aussi il y a différent
plans et que chacun peut être à un stade d'évolution ou d'involution
différent.
Puisse la lumière de l'esprit stimuler l'épanouissement du plus sublime
qui est en vous même.
Voilà, je lance le débat : Sommes nous libres ? A vos plumes Et
je propose mon point de vue : Pour moi le contraire de libre est lié (ou
relié), or je constate que nous sommes liés à la terre par la gravitation,
nous sommes liés à la terre et au soleil par la respiration et
l'alimentation. Et je ne parle pas de tous les liens que nous avons par
nos corps subtils ! Tous ces liens font que nous ne sommes pas libres, par
contre, ces liens sont suffisamment souples pour nous faire éprouver la
sensation de liberté (à condition d'être en harmonie avec ces liens).
Nous sommes libres de faire des choix mais nous ne sommes pas libres
d'éviter les conséquences de ces choix (nous récoltons ce que nous avons
semé).
L'exigence de la reconnaissance des autres est le reflet du fait que nous n'avons pas encore trouvé à nous relier à tous les plans subtils de l'univers (Dieu si vous préférez). Une fois ce lien établi, nous sommes tellement inondés de bonheur que la reconnaissance du monde extérieur nous apparaît soudain comme futile et nous laissons cette lumière s'échapper de nous même pour servir les autres. Ceci dit, même si nous sommes conscients de cela, le vieil homme est encore en nous et il garde ses vielles exigences, alors patience, la lente alchimie de la vie opère.
Alors tu considère que dieu est le jardinier et nous les fleurs. Cela il me semble s'appelle être dualiste (dieu d'un coté, l'homme de l'autre). Pour ma part, je suis plutôt (quand ça m'arrange) moniste (Dieu et l'homme font un) un peu comme la tète et les jambes, d'un certain point de vue ils sont distincts, mais d'un autre point de vue, ils sont un (même corps) En fait tout dépend du point de vue sous lequel on regarde les choses et souvent il faut adopter successivement plusieurs point de vue différents avant de se faire une idée d'ensemble, un peu comme un diamant qu'on observe en le faisant tourner entre ses doigts pour mieux l'admirer.
Avoir des incertitudes me semble être une très bonne chose, surtout après une formation dite scientifique Le début de la sagesse commence par le fait de s’apercevoir que justement on ne l'est pas. Le début de la connaissance commence par la reconnaissance du fait qu'on vivait dans l'ignorance ! Ce premier pas franchi, il faut demeurer patient et persévérant, on ne passe pas de l'ombre à la lumière du jour au lendemain (bien que quelquefois il y ait de brusques accélérations), sinon l’être n'aurait pas le temps de se former correctement (pensez à la croissance d'un végétal). Vous avez en vous tous les matériaux nécessaires à votre croissance et la vie se chargeras de mettre sur votre chemin les choses qui doivent vous parvenir de l'extérieur (le forum par exemple) Alors bonne route sur le chemin de l'amour et de la sagesse.
La notion d'ange (gardien ou pas) n'est pas simple à envisager
car la réponse peut varier selon la conception que l'on a de la vie. Une
chose basique mais très importante me semble être la conception de
l'esprit et de la matière, d'où découle tout le reste. Pour envisager la
question pratiquement, nous pouvons dire qu'il y a deux conceptions
fondamentales de la vie : le monisme qui considère qu'il n'existe qu'un
seul être (dieu) et que toutes les formes vivantes (physiques ou
spirituelles) ne sont que des aspects de cet être, et il y a le dualisme
(qui devient pluralisme) qui considère que la vie est faite d'êtres
innombrables ayant des relations plus ou moins complexes entre eux. Selon
le monisme l'être suprême se décomposerait en plusieurs niveaux, chaque
niveau s'occupant et se servant du niveau inférieur Par exemple la tête
(niveau supérieur du corps physique) se sert des pieds (niveau inférieur)
en leur envoyant des ordres et elle les sert en leur procurant de la
nourriture (pour les cellules) Autre exemple : les végétaux servent et se
servent des minéraux, les animaux servent et se servent des végétaux, les
hommes servent et se servent des animaux, les anges servent et se servent
des hommes, les archanges servent et servent des anges, le centre divin
sert et se sert des archanges, et les minéraux servent et se servent du
centre divin. La boucle est bouclée.
Mais ca ne dit pas à quoi correspond la partie de l'être que nous appelons
ange . En termes psychologiques, nous pourrions dire que c'est une partie
de notre subconscient (ou de l'inconscient collectif découvert par Jung),
comme c'est une partie inconsciente non pas quelle soie inconsciente
d'elle-même mais que nous n'en soyons pas conscients (comme nous ne voyons
pas une montagne située à plusieurs centaines de kilomètres), il est donc
très difficile d'en parler pour celui qui n'a pas encore suivi le chemin
initiatique pour que cette partie de l’être devienne consciente (fusionnée
à sa conscience objective ?). Il semble que ce niveau de l'être nous
laisse vivre notre vie tranquillement mais qu'il intervient en cas de
nécessité (d'où l'appellation d'ange gardien). On peut comparer ca à la
mère de famille qui laisse jouer son enfant dans le parc, mais dés qu'elle
perçoit un danger, elle le prend gentiment par le bras et le ramène à la
maison. Donc pour moi c’est clair, nous avons un ange (qui est donc en
fait une partie de nous même avec qui nous pouvons nous identifier). Quant
à savoir si nous pouvons voir notre ange, je pense que notre œil physique
ne perçoit les vibrations que dans un spectre très réduit (du blanc au
rouge) qui n'est pas compatible avec les plans vibratoires ou se situent
la partie angélique de nous même. Ceci dit, il reste notre troisième œil
(l’œil qui nous sert à voir ce que nous imaginons), mais comme c'est nous
qui l'imaginons, le risque de créer des illusions est très grand.
Patientez pour obtenir une maîtrise de vous-même avant d'aller plus loin.
Pour la vision dualiste, je n'ai pas de complément à faire
Pour moi le corps (ou la matière) n'est que la forme ou l'aspect
extérieur d'une réalité qui se nomme aussi esprit
L'un ne va pas s'en l'autre puisqu'ils sont les deux aspects de la même
réalité. Lorsque nous percevons quelque chose de l'intérieur nous avons
tendance à parler de l'esprit (ou de la conscience) alors que lorsque nous
percevons les choses de l'extérieur nous parlons de la matière Pour
prendre une image assez terre à terre, on pourrait dire que la lumière du
soleil est esprit (elle emplit l'univers) alors que la masse gazeuse en
est le corps (il est localisé). Vive la séparation dans l'union. Vive
l'amour et la sagesse.
Il y a un autre proverbe qui dit qui veut faire l'ange fait la bête Résonner en terme de paradis et d'enfer , c'est rester dans la dualité. Certes la dualité est très pratique pour comprendre les choses, mais il vaut mieux le faire en restant dans l'unité. ET je vais citer pour la n ième fois l'exemple de l'arbre, par son tronc, il sépare le haut et le bas, et par la sève, il réuni le haut et le bas. A nous d'en prendre de la graine (d'arbre) Les épreuves ne sont la que pour nous aider à grandir, en être conscient est déjà un grand progrès, ne pas en douter est un progrès considérable et en être certain est une apothéose. Car la conscience est aussi comme un arbre, chaque jour elle grandit un peu, le vent et la pluie lui tombe dessus mais cela la renforce. Bonne pousse à tous.
D'un point de vue dualiste, il y a d'un coté la théorie (les livres) et de l'autre la pratique (le vécu) D'un point de vue unitaire l'un ne vas pas sans l'autre : pour tenir un livre dans sa main, un jeune enfant doit au moins avoir plusieurs années de vécu et pour le comprendre il en faut encore d'avantage. De même, pour vivre, il nous faut sans cesse apprendre dans le grand livre de la vie : apprendre à respirer, à marcher, à manger etc... Certes il peut y avoir quelques décalages entre les connaissances purement ? intellectuelles et un vécu qui n'a pas engendré de connaissances, mais ces décalages passagers font partie de la vie, pour apprendre à marcher nous faisons bien en permanence un décalage entre le pied droit et le pied gauche. Maintenant voici ma recette : divisez pour comprendre, réunissez les extrêmes pour que tout fonctionne harmonieusement (avec l'amour et la connaissance) et soyez patient, plus un arbre pousse lentement plus son bois est résistant.
Avez vous médité sur le symbole du forgeron et son habile travail. Il prend un morceau de métal ordinaire, il le met dans sa forge au milieu des charbons, il active son soufflet pour que le charbon brûle intensément et porte au rouge la pièce de métal. Ensuite il prend la pièce rougie avec une pince et la dépose sur son enclume, puis lui assène de grands coups de marteau, la retourne et recommence jusqu'à ce que le métal brut soit devenu la fine lame de l'épée, et enfin il trempe la lame encore brûlante dans un bac d'eau glacée. Vous remarquerez que le forgeron (tout comme l'arbre) travaille avec les quatre éléments (terre, air, eau, feu). Et vous avec quoi vous identifiez vous ? Au métal brut qui devient la fine lame (symbole de la vérité qui tranche en séparant le vrai du faux), au feu, à l'eau, au forgeron, au marteau, à l'enclume. En fait nous jouons tour à tour chacun des rôles, pas tous dans la même vie, la route est longue, pour ne pas dire infinie.
Où est le pouce, où est l'index ?
Il sont bien séparé et pourtant c'est la même main, le même corps. Ils
peuvent s'éloigner, ils peuvent se rejoindre et s'opposer mais toujours en
restant dans le cadre de l'un. En fait l'unité ou la dualité apparente ne
dépendent que du regard que l'on porte vers le monde, c'est nous qui
séparons ou qui unifions, nous avons le choix, mais le choix n'est pas
neutre, chaque cause entraîne des effets qui reflètent les causes, nous ne
pouvons éviter les conséquences de nos choix. Pour moi la réalité est à la
fois une et multiple (vision en parallèle) mais tantôt elle nous apparaît
une et tantôt elle nous apparaît duale (vision en série) Faites de la
brasse (natation) vous séparez ce qui est devant et vous réunissez par
l'arrière, l'unité es ainsi toujours conservée mais vous pouvez avancer
grâce à la dualité momentanée. Tout cela est un peu trop théorique alors
équilibrez en mettant en pratique. Vive l'équilibre stable dans le
mouvement discontinu.
Ca y est je viens d'inventer la luminothérapie (il y a tout juste dix minutes) Vous allez me dire que ca existe déjà les gens qui soignent avec de la lumière, oui je sais mais il y a lumière et lumière, celle à laquelle je pense est la lumière de l'esprit, vous savez quand une idée lumineuse vous passe par la tête. Pour moi les pensées ou idées lumineuses forment ce qui devient la connaissance et elles sont salvatrices car elles nous tiennent à l’abri des excès en tout genre qui sans cesse (telle la gravitation) essaient de nous jeter par terre. Grâce à elles vous pouvez tenir debout, en équilibre tout en avançant. Tel un phare, elles éclairent la route devant vous et vous mènent à bon port. Elles peuvent même se transformer en chaleur et si vous y mettez en plus de l'amour, alors c'est l'apothéose. Donc ce remède est à consommer sans modération (quoique le proverbe dit que l'excès nuit en tout) pour votre bien être personnel et pour l'intérêt général. Salutations et continuez à poster du concentré de lumière.
Que voulez vous, il y a des soirs ou l'esprit se manifeste
davantage. Vous avez tous entendu la phrase La lumière était dans les
ténèbres mais les ténèbres ne l'ont point comprise C'est à rapprocher du
symbolisme du Graal, également de la légende d’Aladin (le génie dans la
lampe qui sort si on frotte la lampe) et il y a aussi un point commun avec
la légende du roi Arthur (l'épée qui était dans l'enclume et dont seul
l'enfant pur arrive à l'en sortir). Tous ces textes et légendes se
rapportent pour moi à la dualité esprit/matière qui est l'axe fondamental
de l'univers (les autres axes en découlent ou en dérivent). Et le secret à
trouver (la lumière dans les ténèbres) c'est simplement que l'esprit et la
matière ne sont que deux noms que nous donnons à deux aspects d'une seule
réalité (l'être unique ou dieu) dont nous sommes partie prenante mais
aussi dont nous pouvons devenir totalement conscient (ce que j'appelle la
dimension cosmique de l'homme). Pour appréhender le bref raccourci que je
viens de faire, il faut avoir une idée tout à fait précise de ce que sont
l'esprit et la matière, il ne suffit pas de dire qu'il sont deux aspects
d'une même réalité, il faut aussi voir en quoi ils sont distincts et en
quoi ils sont complémentaires, j'ai déjà décrit mon point de vue sur ce
sujet sur ma page www.teaser.fr/~yaccard (voir Dieu et l'électron)
Pour ceux qui veulent un résumé, je dirais que : la matière est locale
(comme le centre du soleil), l'esprit est global (comme la lumière du
soleil) La matière est passive et l'esprit est actif. La matière est
séparable et l'esprit est inséparable. Les concepts d'esprit et de matière
ont un coté relatif c'est à dire qu'un esprit est esprit par rapport à une
matière donnée et réciproquement une matière n'est matière que par rapport
à un esprit donné. Si vous combinez cela avec le fait que l'univers est
fractal, vous arrivez à une cascade d’enchaînement
esprit/matière/esprit/matière/esprit/matière/esprit/matière.............
Ce qui rappelle les 7 jours (cycles) de la création, ou les différents
mondes imbriqués les uns dans les autres (Dieu créé un monde qui lui même
créé un monde.....etc.....) D’ailleurs l'homme lui même recréé un monde
(la technologie) Attention cependant, ne prenez pas ces indications au
pied de la lettre, elles ne sont la que pour vous aider à progresser. La
difficulté étant que tout est polarisé (toutes les parties), même si vous
séparez en petits morceaux, chaque petit morceau est lui même polarisé. Le
seul moyen de ne pas polariser est de retourner dans l'unité, embrasser
tous les contraires et se raccrocher à la notion d'être unique. Que la
lumière et l'amour soient avec vous.
Tous les religieux cherchent a imposer leur point de vue et a
assurer leur pouvoir en jouant sur la crédulité et la bêtise du peuple.
C'est un peu réducteur de mettre tous les religieux dans le même sac, il y
aussi des religieux qui se dévouent pour l'avancement et le bien être de
leurs semblables. De même il y a des laïcs qui cherchent à imposer leur
point de vue et à assurer leur pouvoir. Pour faire un bon mot, je dirais
que la laïcité est une religion comme une autre (ou plutôt différente des
autres, car elles sont toutes différentes les unes des autres).
Ce qui est important c'est comment on se comporte soi, est on constamment
dans la recherche du progrès matériel et spirituel ? Ce sur quoi on se
concentre se développe, alors restons concentrés et attentif au bien qui
nous entoure et que nous pouvons développer.
Si c'est lui qui a créé le monde il est responsable de tout.
Votre raisonnement tiendrait dans la mesure ou dieu serait un être
extérieur à nous et qui vivrait dans on ne sait quel monde invisible. Mais
si on considère que dieu est la totalité de ce qui est (ce qui est mon
cas), nous sommes tous partie prenante et nous étions déjà la (sous une
autre forme ?) lors de la création, alors se révolter contre dieu voudrait
dire se révolter contre soi ? évidemment ca demande plus de responsabilité
que de se défausser vers un dieu lointain et imaginaire, n'est elle pas la
l'attitude diabolique
Certains pensent que Dieu est le créateur et nous les créatures
De même certains pensent que Dieu est pur esprit et que nous sommes la
matière. Pour ma part, je prône l'inséparabilité des polarité apparemment
opposées. C'est à dire que tout est relié, l'esprit et la matière sont les
deux aspects d'une seule réalité et le créateur se créé lui même, ce en
quoi il devient créature. Pour résumer, on pourrait dire simplement que le
monde (ou Dieu, c'est la même chose) se transforme, comme l'a si bien dit
Lavoisier : rien ne se perd, rien ne se créé, tout se transforme.
La sensation de création (ou l'illusion devrais je dire) vient du fait que
nous avons une vision discontinue des choses : à un moment nous observons,
à un autre nous n'observons plus, puis de nouveau nous observons des
changements et nous appelons ça création Si nous avions pu assister à
toutes les étapes, la transformation nous paraîtrait évidente. Prenons
l'exemple de l'eau, dans la mer nous l'observons puis elle s'évapore et
nous ne voyons plus. Elle se condense dans les nuages et de nouveau nous
l'observons (de loin) puis c'est la pluie et nous l'observons de nouveau
qui retourne vers la mer. Evidemment tout le monde connaît le cycle de
l'eau mais avez vous réfléchit qu'il est l'archétype d'un principe
beaucoup plus vaste. Ceci dit à mon avis cette transformation s'opère de
manière tout à fait consciente (mais avec un niveau de conscience qui nous
dépasse largement), nous avons quand même notre rôle à jouer, chaque règne
de la vie a ses degrés d'autonomie, à nous d'en assumer pleinement les
joies et les responsabilités.
Pour moi dieu est l'être unique, le seul être. D'un autre point
de vue, il est l'univers tout entier et nous sommes partie prenante de cet
univers, nous pouvons aussi devenir pleinement conscient de cet univers
grace à nos facultés objectives et subjectives. Certes il est peut être
difficile de considérer que l'univers est un être mais mettez vous à la
place de la fourmis qui parcours un éléphant, est elle consciente de
parcourir un être ?
Pour faire ce chemin vers dieu, il faut une bonne dose de capacité
d'abstraction et d'imagination car paradoxalement le monde observable nous
induit en erreur en nous faisant croire à la séparativité des choses. Ceci
est du à ce que nos capacités d'observations sont limités dans le temps et
dans l'espace (dans l'état actuel de notre développement). nous ne
percevons que certaines bandes de fréquences, aussi bien pour le son que
pour la vue etc....cela nous donne une sensation et une compréhension de
discontinuité entre les choses. Prenons un exemple : tout le monde
s’accorde à dire qu'il y a cinq continent, mais enlevez l'eau des océans
(= apocalypse ?) et vous verrez qu'il ne reste plus qu'un continent et on
peut reprendre cet exemple à tous les niveaux (terre-soleil, homme-femme,
esprit-matière......) Cet être est à la fois uni et polarisé dans le sens
haut-bas (comme l'homme est polarisé tête-pieds. Le monde d'en haut est
traditionnellement appelé le ciel (ou les cieux) et le monde d'en bas est
appelé terre (ou enfer quelquefois) et nous participons de cette polarité.
par exemple nous avons en nous des instincts des passions des pulsions
(monde d'en bas) et nous avons des intuitions des inspirations des idéaux
(monde d'en haut) Les deux mondes sont indispensables et complémentaires
mais quelquefois il y a déséquilibre et les problèmes apparaissent. Cela
se rattrape en retrouvant l'unité (= retrouver dieu en nous) Et si
maintenant vous nous disiez ce que le mot dieu représente pour vous ?
Il faudrait s'entendre sur ce que veut dire créer j'ai déjà développé mon point de vue sur ce sujet dans un post précédent et je ne vais pas y revenir sauf en résumant par le fait que le monde se créé et se recréé en permanence car tout bouge sauf évidemment ce qui est éternel. Et ce qui est éternel, ce sont les lois et les principes, exemple 2+2=4 est une vérité qui n'a ni début ni fin, elle est donc éternelle. La vie aussi est éternelle, même si elle change de forme en permanence. mais je ne sais toujours pas ce que le mot dieu évoque pour vous (si ce n'est le fait que vous n'y croyez pas, mais ne pas croire en quoi?)
Vous avez remarqué que dans la vie matérielle, les taches sont partagées, certains sont boulangers d'autres coiffeurs, d'autres médecins, et tout cela donne une société ou chacun peut apporter sa pierre et bénéficier du travail des autres. Il me semble que sur le plan spirituel, les choses fonctionnent de la même façon, certains développent telle qualité, d'autres telle autre et la mise en commun se fait comment ? Je serais heureux d'avoir vos avis à ce sujet. Je pense que sur le plan intérieur, nous sommes tous reliés (comme internet) peut être pouvons nous télécharger telle fonction mis au point par un autre ?
Voici la genèse revue par yves L'histoire de dieu qui créé adam,
est un mythe, une symbolique, un principe ?
Je me suis souvent posé la question et voici le fruit de mes réflexions.
Pour moi cette histoire est à lire au niveau symbolique mais elle
représente des faits qui se sont réellement passés (sur un autre plan que
notre plan matériel actuel) Au départ (et aussi à l'arrivée d’ailleurs) il
y a dieu absolu (le tout, l'être unique complètement uni et unifié) à un
moment cet être se polarise en deux aspects de lui même qui sont dieu le
père et dieu le fils. De même un arbre à un moment de sa vie se polarise
en arbre géniteur et graine. notez que l'arbre et la graine sont un seul
être , néanmoins, à un moment donné la graine et l'arbre se séparent
(c'est la chute sur la terre) mais cette mort à l'état divin est aussi le
début d'une nouvelle vie. Si vous comprenez comment l'arbre créé la graine
(en prenant le meilleur de lui même et en le condensant et en le
concentrant et en le localisant dans l'espace, alors vous aurez compris
comment dieu a créé Adam. Cette polarisation père fils est évidemment
évolutive, le père devient fils (au travers de son fils) et le fils
devient père etc mais ca tout le monde peut l'observer dans la vie
courante, c'est simplement un principe universel. Mesdames rassurez vous,
quand je parle d’Adam j’entends l'être androgyne qui n'a pas encore été
polarisé selon l'axe sexuel, cela vient après ou Adam (androgyne) se
sépare en deux (notez à nouveau la séparation en deux déjà faite selon
l'axe dieu le père dieu le fils) et devient d'un coté Adam (le mâle
conserve le nom) et de l'autre coté Ève la partie femelle. Il y a ainsi de
suite beaucoup de progéniture, jusqu'à ce que le mouvement s'inverse et
qu'il y ai un retour vers l'unité, chacun retrouve sa moitié (sujet trop
long à développer ici) On notera que le vieil arbre meurt (en partie) et
que l'humus qui en résulte va servir à alimenter la graine. Sur un autre
plan, dieu le fils (les nouvelles idées) se développent sur le terreau
laissé par le vieux monde en décomposition. Alors ne vous inquiétez pas de
voir tant de choses s'écrouler autour de vous, concentrez vous plutôt sur
le nouveau monde qui est en train d’apparaître, et soyez vous mêmes les
graines et le jardinier qui les fait pousser (et aussi le soleil la terre
l'eau et l'air, les 4 éléments)
Evidemment, s'il fallait détailler tous les aspects de l'histoire de l'homme (et de sa relation avec dieu), des tonnes d'ouvrages seraient nécessaire. J'ai simplement voulu exposer un point particulier mais fondamental qui est le passage du un au deux (je ne suis même pas aller jusqu'au trois qui est pourtant sous-jacent à mon exposé). Avant d'écrire des mots, il faut savoir écrire des lettres. Les nombres et les formes géométriques sont pour moi l'alphabet de l'univers. Si on en saisi le sens profond alors tout le reste coule de source. Mais c'est vrai qu'il y a un coté rébarbatif à étudier les symboles de base, je vous y encourage cependant tant est grand le profit que vous pourrez en tirer. Pour compléter mon exposé, je citerais le cas de la cellule humaine. Au départ de la vie physique, il y a eut la fusion entre un spermatozoïde et une ovule (passage du deux au un ) et la première étape marquante de cette cellule est de se diviser (passage du un au deux). Cela pour vous rappeler l'importance de la relation entre le un et le deux, c'est le coté logique ou binaire de la vie (les ordinateurs fonctionnent sur une logique binaire). Mais il y a aussi le coté analogique (infinité des valeurs possibles, graduation fine étape par étape....) La encore quand on découvre deux aspects opposés, on se rend compte qu'ils sont complémentaires, ce qui fait qu'on est toujours ramené à la notion d'unité après avoir fait beaucoup de détours dans la dualité (ou dans la multiplicité qui en découle)
Alors je lance le débat, qui est responsable ? le loup (qui serait vraiment très très méchant) ou les agneaux (qui seraient vraiment trop bêtes et incapables de s'organiser pour se défendre). Si vous avez déjà joué à ce jeu qui se joue sur un jeu de dames, vous devez savoir qu'en principe c'est toujours les agneaux qui gagnent mais à une condition : ils ne doivent faire aucune erreur. au moindre faux pas, le loup s'engouffre dans les lignes et les agneaux sont dévorés. Cela me fait penser à la parole de jésus Soyez parfaits comme votre père céleste est parfait Donc à chaque seconde soyons en quête de lumière de vérité et d'amour. Pour commencer adoptons une vision positive du monde (la plus positive que vous puissiez imaginer) car la vision que l'on a du monde est comme une graine semée dans l'inconscient collectif (dieu si vous préférez) et cette graine va chercher à se manifester, à s'incarner. Apprenons surtout à reconnaître le bien que le mal peut apporter, c'est le meilleur moyen de retourner la situation. L'avenir appartient à ceux qui ont les pieds légers sur la terre et qui n'encombrent pas le ciel.
Le bulletin de choix, c'est à chaque seconde qu'on le dépose au creux de la vie. Chaque parole, chaque pensée, chaque acte est un choix et constitue la véritable pratique de l'étudiant sur le chemin. Tout ce que nous faisons, disons, pensons, nous rapproche ou nous éloigne de notre centre divin. Le proverbe dit qu'il faut tourner sa langue sept fois dans sa bouche avant de parler, mais peut être faut il en faire autant pour les pensées et les actes Alors voilà un bureau de vote qui est ouvert 24 heures sur 24 ! elle est pas belle la démocratie ?
Commençons par une petite phrase : L'alchimie est à la chimie ce que l'esprit est à la matière. Et en alchimie il y a un but ultime : le retour vers l'unité et un moyen principal : transformer le mal en bien. Prenons un exemple l'arbre sait transformer le fumier en décomposition qui est à ses racines car il a le secret de la puissance, il relie les deux extrêmes (le monde d'en bas par les racines, le monde d'en haut par les feuilles) , ce branchement terre ciel (soleil) est des plus efficaces. A nous d'en faire autant En se branchant sur notre esprit supérieur, celui ci nous inonde (enfin pas trop au début) de lumière qui vient chasser les ténèbres. La principale opération alchimique objective est de considérer que seul le bien existe (le mal étant la pour lui permettre de se manifester). Et si on a compris que le mal sert le bien, nous avons fait un grand pas en avant. Qui a dit que la vérité est révolutionnaire ? Evidemment cette approche conceptuelle ne vas pas transformer votre vie du jour au lendemain, vous continuerez à éprouver les difficultés nécessaires à votre évolution, mais vous aurez une charpente sur quoi appuyer vos réflexions.
Très bonne remarque William, Il y a dans le bien et le mal un coté absolu et un côté relatif. Le côté absolu est qu'ils sont des concepts (vérité de l'esprit ) Le côté relatif est que un bien n'est bien que par rapport à un mal et réciproquement. Ce qui semble bien pour l'un semblera mal pour un autre. Ce qui est perçu comme bien à une époque sera perçu comme mal à une autre époque. Un des problèmes de l'humanité est que chacun a une conception de ce qui est bien, et que ces conceptions différent. Devant cela, je prône non pas une vérité absolue (car qui la détiendrait ?) mais un juste milieu c'est à dire l'établissement d'une base commune (selon des modalités qui restent à définir) et laisser aller la divergence pour le reste. Ceci selon le schéma de la main : les doigt sont unis à la base (la paume) et désunis pour le reste (sinon vous auriez des doigts palmés et nous ne sommes pas des canard que diable)Alors que le bien maîtrise le mal et que le mal continue à faire son boulot (nous renforcer et nous empêcher de dormir)
Le fait de vouloir créer des lois me semble être l'expression
d'un ego qui rêve plus ou moins secrètement d'imposer ses vues à autrui.
Attention à l'uniformisation par la force de la loi ! Pour moi les lois
les vraies, celles que l'on respecte (comme la loi de la gravitation)
existent déjà, il n'y a rien à créer de plus. Mais tout le monde n'apprend
pas les mêmes leçons dans le grand livre de la nature, et heureusement, la
vie a besoin de diversité (par exemple la diversité biologique et
spirituelle) Je suis très méfiant devant ceux qui veulent créer des lois,
que sont ils eux même pour vouloir montrer l'exemple, ou sont les fruits
de l'arbre qui prétend être un étalon ?
Pour la partie commune à tous, je prône simplement une base (par exemple
admettre que 2+2=4 ou que la terre est ronde) à l'ULC (Union des
lendemains qui chantent) la base est simplement de considérer que les lois
de l'univers sont les mêmes pour tous.
S'il suffisait que quelques hommes se réunissent et écrivent sur un bout de papier une loi et que cette loi devienne effective, ca se saurait depuis longtemps. Est il possible de faire une loi qui rende obligatoire l'intelligence, la bonté, la beauté etc... ? On voit par cet exemple la portée très limitée des lois humaines et les trois exemples que vous avez cité sont des lois qui interdisent ceci ou cela. Les lois de la vie sont différentes, elles nous incitent à progresser avec amour et sagesse.
Un peu d'humilité que diable, nous avons encore à apprendre de tous les règnes de la nature et nous sommes encore entièrement dépendant d'eux (ne serait ce que sur le plan biologique) La sous évolution n'est elle pas dans celui qui croit qu'une partie du tout pourrait être supérieur au tout et se croire supérieur aux autres parties du tout ?
Moi je voyais plutôt les fruits au milieu, d'ailleurs si vous regardez un arbre fruitier vous observerez que les fruits ne sont pas à l'extrême du sommet mais plutôt au milieu des branches. Ce qui est par contre fort intéressant, c'est que ces fruits sont mangés par les animaux et les hommes et qu'ils constituent donc le sommet de leur chaîne alimentaire. Peut on généraliser en disant que le milieu (point d'équilibre) d'un règne soit le sommet du règne suivant ? D'après certains auteurs ésotéristes le meilleur des hommes (nos aspirations, nos idéaux) constituerait une sorte de nourriture pour les êtres spirituels (les anges ?) Merci de témoigner de vos conceptions à ce sujet./ Que dire alors de Dieu nous a fait à son image ? Il y aussi dieu qui pétrit l'argile pour former Adam puis il lui souffle dans les narines. De même l'homme pétrit l'acier et le caoutchouc pour former une voiture puis il se met à l'intérieur (le souffle) pour la conduire. Il y a bien de la ressemblance non ! ce qui veut dire que dieu est en nous, pour nous conduire (enfin si nous en avons envie)
J'ai bien dit si nous en avons envie pour rappeler que justement nous avons le libre arbitre et le choix, par contre nous n'avons pas le choix d'éviter les conséquences de nos choix ! Alors bon choix à tous. Très grossièrement, il se présente à nous deux choix : suivre notre nature inférieure (monde des instincts de passions des pulsions etc...) et suivre notre nature supérieure (monde de l'inspiration, des idéaux de la sensibilité) bref notre nature divine supérieure (car nous sommes dieu à titre collectif) Et comme troisième voie je vous propose la voie du juste milieu (comme disait bouddha) c'est à dire se relier à nos deux polarité et faire circuler l'énergie pour que le supérieur maîtrise l'inférieur et que tout marche du feu de dieu Les notions de supérieur et d'inférieur étant toutefois relatives : Est ce que la tête est supérieure au pied ? oui pour certains aspects mais c'est l'inverse pour d'autres aspects.
En effet aucun individu n'incarne à lui seul dieu puisque pour moi dieu est la totalité de ce qui est De même une cellule du corps humain n'incarne pas l'homme à elle seule (même si c'est un spermatozoïde ou une ovule !) De même un ordinateur n'incarne pas à lui seul le réseau internet. Cependant une cellule du corps humain a la totalité du code génétique et peut éventuellement récréer le corps entier (spermatozoïde ou ovule). De même un ordinateur du réseau internet a accès a la totalité du réseau (enfin presque mais dans le principe c'est possible) Donc la relation entre le tout et ses parties n'est pas si simple. Il semble que l'évolution fasse en sorte que les parties du tout acquièrent les qualités du tout. J'aimerais avoir votre avis à ce sujet.
Bonne question mais attention à une vision trop géométrique des
choses. Si on prend le cas de l'ADSL (2 gammes de signaux électrique se
chevauchant), qui est dans qui ?
Peut-être que le PLAN complet de la création est en nous ? Dans
chacune de nos cellules
Ca je suis d'accord et j'irais même plus loin en disant que l'infiniment
grand est contenu dans l'infiniment petit (voir à ce sujet ma définition
de l'électron)
Ce qui serait bien, c'est qu'en chacun de nous il y ait le PLAN et son
Mode d'emploi . Le but de l’ésotérisme est-il de découvrir le plan ?
Très très bonne remarque En ayant cette conscience, une bonne partie du
chemin est faite. On pourrait dire que le plan est en nous et les clefs
pour le décoder sont à l'extérieur. On pourrait aussi dire l'inverse, ca
revient au même. L'important est de savoir lire le grand livre de la
nature (en nous incluant nous même dans cette lecture) Connaît toi
toi-même et tu connaîtra l'univers et les dieux. Et n'oublions pas que
l'homme véritable est un être cosmique !
Vous soulevez la un point très important La démonstration est simple : le mal n'est qu'une partie du tout (puisqu'il y a aussi le bien) donc le mal n'est pas le tout et donc le mal n'est pas dieu (puisque c'est dieu qui est le tout) Donc dieu serait au dessus du bien et du mal, il a une approche globale En politique, on dirait être au dessus des partis. Je conçois que l'idée de considérer dieu comme le tout puisse rebuter certains (qui voudraient exclure le mal de dieu), il faut compléter cette vision globale en disant que dieu est hiérarchisé (mais on retombe la dans le dualisme) et qu'il y a le paradis (ou royaume des cieux) d'un côté et l'enfer (ou le mal) de l'autre. Certains seraient alors tentés d'aller vers le paradis et de fuir l'enfer, c'est un choix mais est ce le meilleur ? en voyez vous d'autres ? J'aimerais que vous m'expliquiez la différence entre spirituel et divin.
Quand vous dites que par définition le divin est inaccessible à
l'humain, de quelle définition parlez vous ?
De la votre je suppose car je n'ai jamais entendu cela. Jésus est venu
nous présenter une vision d'un dieu proche et plein d'amour et il a même
précisé soyez parfait comme votre père céleste est parfait Evidemment ca
n'est pas l'humain réduit à sa part de conscience objective qui peut
embrasser dieu d'un seul coup. Mais l'être complet (que j'appelle l'homme
cosmique) peut quand à lui se rapprocher de l'absolu, voir la parabole du
fils prodigue.
Pour illustrer cette idée que tout est lié, voici une illustration Vous êtes sur un chemin et vous avez donc le choix d'avancer ou de ne pas bouger, quiconque peut expérimenter cela et se sentir libre d'avancer ou non. Mais à la réflexion vous vous rendez compte que vous êtes embarqué sur une planète qui tourne sur elle même et qui de plus tourne autours du soleil, donc quoi que vous décidiez , vous bougerez avec votre planète, votre liberté d'action n'est que relative au chemin ou vous êtes. donc nous avons des degrés de liberté mais pas la liberté absolue (enfin pas pour l'instant). J’émets l'hypothèse qu'il en est de même pour notre champ de conscience, notre conscience est incluse dans un champ de conscience plus vaste (qui correspondrait à la notion d'ange ?) qui lui même serait inclus dans un champ plus vaste (notion d'archange ?) etc.... Mais dans ce champ nous sommes à la fois actif et passif (traduire réceptif) et nous avons donc une part relative de responsabilité, tout en gardant la sensation d'individualité, il me semble cependant qu'il ne faut pas confondre notre expérience sensible du monde et notre conception du monde, il peuvent être différents et nous avons besoin des deux pour nous faire une idée de la vérité.
J'adopte ce soir un ton un peu plus polémiste en exprimant l'idée que
l'athéisme ou la laïcité sont des religions comme les autres. Ou plutôt
différentes des autres car en fait elle sont toutes différentes les unes
des autres.
Le point commun est qu'il y a des pratiques (encore faut il se mettre
d'accord sur ce que veut dire pratiquer ) et des croyances (qui sont
quelquefois des connaissances mais ce n'est pas à moi d'en juger).
Le croyant a autant de mal à prouver que dieu existe que l’athée ne l'a
à prouver qu'il n'existe pas.
La distinction principale me semble plutôt être entre ceux qui
s'accrochent à des conceptions (ils ont certainement besoin de cela pour
continuer à vivre) et ceux qui sont ouverts et qui acceptent de se
remettre en question (ceux la ont suffisamment confiance en eux pour
aborder de nouveaux territoires sans perdre pied).
Naturellement il faut un équilibre, attention à ne pas changer d'avis
tout les cinq minutes, une analyse détaillée et le recours à notre être
sensible sont de mise.
Et oui c'est important d'avoir une image positive de soi (même
si des fois on se fait taper sur les doigts par la vie quand le trop d’ego
prend le dessus) Pour équilibrer j'aimerai maintenant faire l'apologie de
la fermeture
(vous avez remarqué que je dit tout et son contraire mais jamais les deux
en même temps) Donc la fermeture a du bon, pensez aux portes aux poings et
à certaines idées. Par exemple je suis complément fermé sur l'idée que la
terre soit ronde, vous pouvez toujours essayer de me convaincre du
contraire, il faudra vous lever de bonne heure. Maintenant l'apologie de
la faiblesse : les capteurs utilisés dans l'industrie sont des éléments à
la fois sensibles et fragiles, leur signal doit être amplifié pour être
utilisé dans des chaînes de régulation.
Donc le bon vieil adage il faut de tout pour faire un monde reste une
grande leçon de modestie et d'équilibre.
J'avais bien pris soin de préciser : encore faut il se mettre
d'accord sur ce que veut dire pratiquer Car pour moi, la véritable
pratique est tout ce que nous pensons, tout ce que nous disons et tout ce
que nous faisons.
Et donc les athées font comme tout le monde, ils mettent en pratique leurs
conceptions de la vie. Mais ceci est ma conception à moi et rien d'autre.
L’idée que je me fait de l'athéisme (c'est ma croyance) est
qu'ils ont une vision séparative d'un univers qui serait constitué d'une
multitude d'êtres indépendants et autonomes ayant quelques relations entre
eux (je force le trait).
Alors que le déiste (enfin c'est mon cas) considère qu'il n'existe qu'un
seul être et que les différents aspects de cet être se nomment : règne
minéral, végétal, animal, humain, angélique, archangélique, centre divin.
Ceci dit ca n'a rien à voir avec le fait d'être ouvert ou fermé, chaque
situation mérite telle ou telle attitude. Le point commun est que nous
avons tous des conceptions et des pratiques différentes, ce qui fait que
nous avons beaucoup à nous apporter mutuellement.
Moi aussi je me shoot à l'absolu, mais attention à ne pas dépasser la dose prescrite, l'extrémisme guette. Comme remède, il est bon d'avoir comme corde à son arc, une dose de relativisme. Ce qui est absolu pour vous pourra paraître comme relatif à un autre et réciproquement. Ce qui vous parait comme absolu à une période de votre vie pourra s'avérer comme relatif quelques années plus tard. Quelquefois nos sensations ou nos expériences mystiques nous font éprouver une sensation d'absolu, mais attention à différencier les sensations des conceptions (qui sont quelquefois en harmonie et la c'est l'apothéose) Gardons toujours l'équilibre entre les extrêmes, l'amour et la sagesse.
Je suis en questionnement sur la symbolique de jésus qui lave les pieds de ces disciples, voici deux sens possibles et j’attends que vous m'en proposiez d'autres. 1er sens : il faut s'occuper des petits, des humbles, des sans grade, de ceux sur qui toute la société repose. 2eme sens : Les pieds sont la base, ce sur quoi tout est bâti. sur un plan mental cela peut représenter nos concepts de la vie et plus particulièrement les concepts de base (comme ce que signifie esprit et matière). Il y a peut être un travail de fond à faire la dessus, nettoyer (laver) et repartir d'un bon pied (jésus a aussi marché sur l'eau, autre point de convergence entre les pieds et l'eau)
Oui l'os c'est logique, comme le pied est à la base et que la base doit être solide, il faut beaucoup d'os (l'os étant la partie la plus solide du corps humain, il représentent peut être l'éternité ? pourquoi pas, dans les cimetières on voit des os car ils se conservent plus longtemps. Et pourquoi laver les pieds ? tu parle du sang qui se forme dans l'os et il y a une connexion entre l'eau et le sang (jésus a transformé l'eau en vin, ce fut même son premier prodigue) cela doit aussi correspondre avec une des phases de l'opération alchimique. Bon on en reparle cette nuit dans nos rêves, la nuit porte conseil.
Oui oui, la sagesse indique de se méfier des gourous, en sachant cependant faire la part des choses car le vrai et le faux étant intimement liés (parole de Sri Aurobindo), il faut séparer le subtil de l'épais avec grande industrie, pour ne pas rater une perle enfouie sous les détritus. Tant pis pour ceux qui se shootent à l'absolu. Donc que chacun se prononce en son âme et conscience, et je voie avec plaisir que c'est ce que vous faites. Ceci dit, il y a peut être en moi une graine de gourou (je suis le père fondateur de l'ULC, Union des Lendemains qui Chantent), secte bien connue sur la place publique. Merci de m'avoir ouvert les yeux !
Bien sur, il faut connecter le haut et le bas, en faisant un peu de nettoyage en bas (laver les pieds) Jésus est bien descendu aux enfers pour y apporter la aussi de la lumière et ainsi rallier des forces qui jusque la étaient contraires. A un autre niveau, j'ai remarqué que les expressions de la langue française, et aussi les expressions communes et vulgaires, contenaient des vérités initiatiques, il faut cependant arriver à les décoder. Attention cependant aux apprentis sorciers qui côtoient de trop prés les forces d'en bas et qui se font avaler par elles, la descente aux enfers demande beaucoup de préparation et de sagesse ainsi qu'une grande lumière. (Quand vous descendez à la cave, vous emportez bien une torche électrique). Le plongeur qui vas explorer le fond de la mer s'équipe bien d'une combinaison et de bouteilles d'air comprimé. Rassurez vous, quand vous serez prêt, la vie vous mettra en situation pour faire ce travail, en attendant tout ce que vous pouvez faire pour développer le bien vous prépare (pensées, paroles, actions....)
J'aime bien faire des parallélismes entre les différents plans de la connaissance humaine. La notion de réseau apparaît s'il y a au moins deux ordinateurs et que de plus il sont reliés, chacun pouvant voir ce qui est dans l'autre. Notez déjà l'intérêt de la dualité et la richesse qu'elle apporte, on peut voir l'autre, ce qui n'est pas possible quand on est dans l'unité ? A rapprocher des paroles de la bible et ils virent qu'ils étaient nus la vision (du moins la vision extérieure) n'apparaît à Adam et Eve qu'après qu'ils furent divisés (car issus d'un même être qui s'est séparé en deux cotés , à ne pas confondre avec l'histoire de la cote d'Adam qui est une mauvaise traduction) Adam et Eve seraient donc le premier réseau (sur le plan archétypal bien sur ) Jung a découvert que nous avions un inconscient collectif, bien avant lui jésus nous avait appris que nous sommes tous frères et maintenant nous avons inventé internet. Nous sommes reliés entre nous sur différents plans mais nous ne sommes conscients que d'une partie de ses plans (analogies avec l'ADSL ou différents niveaux de signaux passent sur un même câble) Le travail que nous faisons nous fait progressivement devenir conscient des plans supérieurs alors que les plans inférieurs deviennent des automatismes (ou des lois ?) Alors la prochaine fois que vous ferez un clic de souris en pensant que votre message physique parviendra à son destinataire, pensez aussi que votre subconscient (ou la partie divine de vous même) est en relation (ou en fusion) avec les autres subconscients de l'univers.
J'ai entendu cette phrase quelque part mais je ne sais plus ou, merci de me rafraîchir la mémoire. C'est évidemment à prendre au sens figuré et symbolique. Les abeilles cependant appliquent ce principe au pied de la lettre, pour faire des abeilles, elles nourrissent les larves avec du miel, et pour faire une reine, elles nourrissent quelques larves avec de la gelée royale et ça marche , une reine arrive ! Alors imitons les abeilles, nourrissons en nous les plus belles pensées, les plus beau sentiments, les désirs les plus altruistes, les parole les plus harmonieuses, les actes les plus nobles et ça marche ! La seule différence avec l'abeille c'est qu'il ne faut que quelques semaines pour faire éclore une larve, alors que pour un homme ça prend des millénaires alors pensez, une vie n'est que peut de chose. Pourtant chaque instant compte (ou nous est compté ?) les occasions de choisir entre une pensée lumineuse et une pensée sombre sont toujours plus nombreuses, comme si la vie réclamait notre participation consciente et volontaire a son grand œuvre. Et pas de problème, vous pouvez ici ou la chuter, il suffit alors de se relever et de repartir du bon pied, le monde continu de tourner, il est à tolérance de panne (terme informatique) donc la culpabilité de faire ou ne pas faire, vous pouvez la laisser aux oubliettes ou alors vous l'encadrez en tant que souvenir du passé. L'important est d'être dans une démarche globalement positive en étant toujours très prudents quand aux différents extrémismes qui cherchent ici ou la à nous entraîner par le fond.
Pour moi le karma (selon ma définition) est une évidence, disons que
c'est un autre nom de la loi de cause à effet.
Pour moi cette loi opère avec un infini amour, une infinie sagesse, bref
avec des qualités d'intelligence qui dépassent la capacité de
compréhension de notre intelligence objective.
Disons que tout est relié avec tout (y compris le passé avec l'avenir)
et qu'il se produit une sorte d'optimisation qui a entre autre la
faculté d'augmenter notre prise de conscience en nous mettant dans les
situations les plus adaptées.
Nous sommes à la fois les acteurs et les spectateurs de ce scénario
cosmique et naturellement tout influe à son niveau, pensées, paroles,
actions.
Pour moi, le karma, ça peut se résumer par :
Celui qui prendra l’épée périra par le glaive. (Apocalypse chapitre 13)
Chacun récolte ce qu'il a semé (avec du décalage, avec une dimension
individuelle et une dimension collective).
La folie est de toujours se comporter de la même manière et de
s'attendre à un résultat différent (Einstein).
Comme on fait son lit on se couche.
Qui sème le vent récolte la tempête.
Celui qui trouve sans chercher est celui qui a longtemps cherché sans
trouver. (Bachelard
Gaston)
Qui rie vendredi, dimanche pleurera.
Tel père tel fils.
Les chiens ne font pas des chats.
Quand le vin est tiré, il faut le boire.
Qui va à la chasse perd sa place.
L’œuf et la poule, l'alpha et l'oméga.
Voir midi devant sa porte ou aller de Charybde en Scylla.
Et pour finir une image qui tourne rond : montez dans une grande roue (à
la fête foraine) vous embarquerez donc tout en bas lorsque la roue
s'arrête un bref instant.
Ensuite c'est l'ascension progressive et à un moment vous vous trouvez
tout en haut, vous êtes au top, et si cette position vous grise un peu
trop, vous serez peut être tenté de jeter vos détritus ou d'autres
choses vers le bas (le bas peuple).
Mais ensuite vous redescendez et au moment ou vous arrivez au sol (la ou
vous êtes le plus vulnérable), la nacelle qui avait reçu vos détritus
lorsque vous étiez en haut et elle en bas, se retrouve maintenant en
haut et vous renvoi sur la tête tout ce que vous aviez jeté.
Imaginez maintenant que ce processus se déroule non pas sur un temps de
quelques minutes, mais sur des temps de dizaines ou de centaines
d'années et que nous n'ayez plus du tout la mémoire du passé qui
pourtant agit toujours dans le présent.
Je vais essayer de répondre, et si je suis à côté, reformule à
nouveau. Donc nous sommes d'accord pour dire que des causes physiques
engendrent des effets physiques Mais la réalité est beaucoup plus complexe
que cela, car le physique ( ou matériel) et le spirituel (terme générique
pour désigner ce qui n'est pas matériel) sont intimement liés. Si tu
regardes tous les objets qui sont autour de toi et si tu réfléchi à la
façon dont ils sont arrivés la, tu conclura que avant d'être physiques ces
objets ont eu une existence spirituelle dans la conscience de ceux qui les
ont inventés ou fabriqués. Et même les composants de base (les atomes et
les électrons) ont aussi été fabriqués à un moment ou l'esprit était la
aussi. (big bang) Sur le plan évolutif, les choses existent d'abord dans
l'esprit puis elles s'incarnent dans la matière. (Pour moi la matière est
la forme extérieure de l'esprit, et l'esprit est l'essence intérieure de
la matière). Pour en revenir au Karma, il s'inscrit tout à fait dans ce
schéma, des causes dites spirituelles entraînent des effets dits physiques
Le schéma général étant que tout est relié avec tout, même si nous ne
sommes conscient que d'une toute petite partie de ces relations (à
développer selon la dualité conscient/subconscient)
Pourtant visiter la sphère de saturne et contempler le travail des
seigneurs du karma entraîne un désespoir qui tourne au cauchemar d'après
franz bardon...que pensez vous de cette affirmation?
Chacun crois visiter telle ou telle partie du monde, mais en fait il
contemple les profondeurs de son subconscient (ou la partie cosmique de
lui même) et certains sont branchés sur les égouts (je ne critique pas, il
en faut) et d'autres sont branchés sur le céleste (il en faut aussi) Dans
le monde astral, ou autres mondes subtils, les choses sont très
subjectives c'est nous même que nous contemplons, avec l'illusion de se
déplacer dans un monde réel fut il subtil.
Ton message n'est pas clair. Pourrais-tu préciser ?
Effectivement, ça n'est pas si simple à expliquer. Notre inconscient
(disons l'ensemble de ce qui n'est pas conscient) est polarisé. En
bas(symboliquement) il y a ce qui est ancien et en décomposition (les
égouts si tu préfère) et qui constitue un terreau d'alimentation pour les
forces constructives. En haut il y a la lumière (l'esprit) qui vient tout
illuminer pour que les choses s'arrangent selon un modèle plus pur et plus
subtil. cette polarisation et ce mouvement haut/bas et bas/haut se
retrouve aussi bien dans le plan des émotions ou sentiments (appelé
généralement plan astral) que dans le plan des conceptions (plan mental
supérieur) C'est ce que j'appelle un archétype fondamental (car agissant à
tous les niveaux), ça se passe comme la valse à trois temps : séparation
entre le haut et le bas puis réunion haut/ et bas/haut par un courant
alternatif (aussi appelé involution évolution) et comme d'habitude, c'est
l'arbre qui incarne ce principe d'une façon simple et évidente.
Et plus dure sera la chute pour ceux qui se croient arrivés.
En fait le chemin est infini et donc il n'est guère sage de se croire
arrivé. Une arrivée n'est qu'un nouveau départ pour une autre aventure.
Ceci dit la solution serait peut être que nous devenions infinis ? Et
l'infini se parcourant lui même ca donne quoi ? C'est à expérimenter
La peur est un excellent garde-fou
Oui mais tout dépend du dosage, un poil de peur peut nous faire prendre
une option qui nous sauveras la vie, alors qu'un état de peur permanent
nous détruit à petit feux, mais ce sont la des épreuves par lesquelles il
fallait peut être passer (pour un temps)
Ne pourrait-on pas relier la prudence avec l'intuition ?
Tout à fait, la prudence demande une certaine sensibilité (ou intuition)
ainsi que la capacité d'analyse et de synthèse pour prendre des décisions.
La volonté a également à voir la dedans
PERSONNE ne peut racheter les péché du monde si ce n'est l'homme (les
hommes) eux même!
Les choses ne sont pas si simples que cela. C'est vrai que chacun doit
faire sa part du travail, mais regardez l'exemple suivant : Tous les
ordinateurs ont un bug dans Windows, un programmeur génial arrive à
trouver le remède, il le met en téléchargement sur le net et chacun peut
corriger sa machine. Un seul a travaillé et tous en ont profité ! Dans la
vie c'est pareil chacun a un chemin ou il apprend a rectifier telle ou
telle situation et quand nous saurons mettre tout cela en réseau, chacun
pourra bénéficier du travail des autres
Jésus serait un patch, un pack de mise à jour, une rustine, un plombier
qui viendrait réparer la tuyauterie défectueuse qu'il a lui-même installée
...
Un exemple n'est qu'un exemple, il est la pour souligner un aspect
particulier de la réalité et rien d'autre.
Maintenant si vous généralisez en devenant extrémiste, ça devient bien
évidemment du n'importe quoi
Sachons équilibre et raison garder Le sage montre le ciel avec son doigt
et le sot regarde le doigt. Mais les comparaisons avec l'informatique sont
quand même très intéressantes : regardez Pour moi les deux polarités
principales du monde sont l'esprit et la matière. Et en informatique que
trouve t on ? Le soft (l'esprit) et le hard (la matière) Alors convaincu ?
Au début est la Classe (le Principe), puis vient l'instance de classe (la
matérialisation)...
C'est amusant, je suis justement en train d'apprendre à programmer j'ai
commencé le C++ et j'ai rapidement fait un virage vers Delphi. Les
concepts de classe et d'objets sont une très bonne nourriture pour le
développement de l'esprit logique et conceptuel. Le fait de comparer les
concepts classes/instance sous un angle esprit/matière est vraiment très
intéressant. Pour moi une matière n'est matière que par rapport à un
esprit, qui lui même peut être matière par rapport a un esprit d'un autre
ordre de grandeur, c'est la théorie du monde fractal. On retrouve ça dans
la genèse avec un monde qui créé un autre monde qui lui même en créé un
autre etc (les sept jours ou cycles de la création)
Je veux bien, mais ma remarque demeure :les instances de classes ne sont
pas plus matérielles que les classes
Les classes (ou autre concept) existent dans ton esprit mais ton esprit
(ou ta conscience) ne peut fonctionner que par ce qu'il est supporté par
ta matière (tes électrons, atomes etc..) En fait l'esprit et la matière
sont inséparables (dans les faits concrets) mais nous avons pris
l'habitude de les séparer en tant que concepts distincts. Il faut pour
comprendre jongler avec l'unité et la dualité : D'un point de vue
unitaire, je n'ai qu'un seul corps D'un point de vue dual j'ai deux mains
Or dans les deux cas je parle de ma même réalité C'est le regard qui
divise ou qui embrasse, c'est nous qui créons le monde conceptuel.
L'analogie n'est pas idiote sauf qu'elle ne démontre rien quant à
l'existence d'une âme quelconque et encore moins d'un dieu quel qu'il
soit.
Pour qu'on vous démontre l'existence de l'âme ou de dieu, il faudrait
d'abord savoir ce que ces deux mots signifient pour vous. Car le sens que
je leur donne n'est peut être pas le votre. Alors je suis à votre écoute
pour la suite de la réponse. Pour moi ils sont vides de sens mais je peux
concevoir le sens qu'ils peuvent avoir pour d'autres, cela s'appelle
l'ouverture d'esprit.
Si pour vous les mots dieu et âme sont vides de sens, alors personne ne
pourra vous démontrer l'existence du vide (il existe en tant que concept
mais pas en tant que réalité perceptible) Si vous concevez que d'autres
puissent avoir des conceptions différentes des vôtres alors vous vous
enrichissez des conceptions des autres (même si vous ne les partagez pas)
Disons que Dieu ne peut être une volonté mais une machine aveugle qui
broie tout sur son passage, l'ensemble des types de forces fortes ou
faibles dont découlent les phénomènes physiques connus ou encore inconnus,
peut être à jamais inconnus. Les notions de paradis ou d'enfer ne sont que
des inventions pour faire peur à des bouseux qu'on veut maintenir en état
de servitude
Je partage votre avis sur le fait que l'homme a à se prendre en charge,
individuellement et collectivement et qu'une vision mal comprise de dieu
peut inciter au fatalisme à l'obscurantisme ou autre maux. C'est à dire
qu'il est peut être préférable de ne croire en rien que de croire de
travers. Pour mon cas, je n'ai pas de croyance particulière, je suis
constamment en recherche de vérité et je n'hésite à remettre sur le tapis
mes connaissances du moment.
Comment voulez être théiste dans ces conditions... définitivement, je ne
peux être enfermé dans le carcan d'un dogme, quel qu'il soit, mais je peux
prendre dans chaque religion ce qu'elle a de meilleur et en enrichir ma
réflexion
Je développe mon principe de non croyance : Quant une chose me parait
claire et évidente, je l'adopte et je la range dans la catégorie des
connaissances. Quant une chose me parait floue ou embrouillée, j'y met un
doute et je me dit qu'il faut encore travailler le sujet. Parfois, s'il y
a deux hypothèses, il se peut que je penche plus vers l'une ou l'autre
(disons par intuition) mais ça ne forme pas pour autant une croyance
puisque le doute subsiste. Appelons cela un chantier plutôt qu'une
croyance. Je partage votre rejet contre le dogme. pour moi le dogme est
une insulte à l'intelligence humaine. Le propre de l'homme n'est il pas de
constamment creuser pour rechercher la vérité, et il y arrive même si le
champ de ce qu'il y a à creuser est infini (il nous faudra l'éternité) Il
est normal que l'évolution des idées soit lente, la vie ne change pas ses
lois tous les quatre matins. C'est d'autant plus vrai s'il s'agit de lois
fondamentale comme la structure de l'univers (dieu ou pas dieu) Vous
parlez de l'axe unicité/complexité, c'est un point très important pour
comprendre l'univers (et l'homme donc) A la base de tout, il y a des lois
très simple (représentées pour moi par les nombres et la géométrie) mais
ensuite ces lois se combinent entre elles et forment une infinie
complexité. Le travail de compréhension comporte deux phases : l'analyse
(décomposition de la complexité en éléments simples) et la synthèse
(recombinaison des éléments simples pour reformer la complexité) On
retrouve aussi ce principe en électronique ou il y a des convertisseurs
analogique/digital et des convertisseurs digital/analogique Tout cela est
à combiner avec le fait que l'univers est fractal et que des inversions se
produisent entre chaque niveau de fractal, ce qui vous donnera j'espère
matière à réflexion.
C'est un point de vue très matérialiste, une vision statistique et
probabiliste de l'univers. Y a t il de la place pour le ressenti,
l'émotion, le côté passionnel de l'Homme dans cette vision ?
Vous avez tout à fait raison, la simple évocation des lois peut faire
dériver vers une approche par trop matérialiste. Je complète et vous
rejoint en disant que la vie a un coté logique (les lois) et un côté
analogique (ou l'on trouve les sentiments les émotions, les intuitions
etc...) Ces deux aspects, s'ils sont distincts en tant que concepts, sont
dans les faits intimement liés et imbriqués (à compléter avec la vision
fractale)
Vous semblez à la limite d'un certain scientisme modernisé mais toujours
prêt à resurgir. Il faut parfois savoir poser son scalpel et se complaire
dans la contemplation..
Je n'ai rien inventé en décrivant le travail d'analyse et de synthèse,
c'est ainsi que fonctionne le processus de l'alimentation : les dents
mastiquent et séparent, l'estomac complète le travail au niveau plus bas,
ensuite la synthèse se fait au niveau des intestins et du sang (en
relation avec les cellules) Je vos rejoint pour dire que ce processus
n'est pas le seul à entrer en jeu, il y a aussi l'approche globale devant
ce qui ne peut être séparé et c'est la que l'on va trouver la
contemplation ou l'adoration. C'est plus un travail d'identification et de
fusion qui est tout aussi nécessaire à notre évolution.
Visualisez ces couches comme une spirale partant du simple au centre vers
la complexité absolu sur l'extérieur et dans laquelle de nombreux
phénomènes apparaissent au passage d'une couche à l'autre sur un trajet
axial.
Effectivement, chaque niveau est bien plus qu'une simple extrapolation des
niveaux plus bas. Vu dans ce sens, on parle d'évolution (de la base vers
le sommet) mais il ne faut pas oublier le mouvement opposé qui se nomme
involution (du sommet vers la base) A ce sujet j'ai fait une page WEB sur
le symbolisme de l'étoile de David qui montre justement ce double
mouvement haut/bas et bas/haut c'est à voir sur www.teaser.fr/~yaccard
Pour illustrer je prendrais l'exemple d'un architecte: on lui fait une
demande et aussitôt (instantanément) in conçoit un bâtiment, tout est
clair dans son esprit, le bâtiment est complet, mais pour le construire,
comme il ne peut pas lui même assurer la construction matérielle , il va
faire involuer son projet. Il dessine d'abord des plans d'ensembles mais
ça n'est pas suffisant alors il dessine des plans de détails, des coupes
etc... Une fois tout dessiné, les forces constructives du bas (les maçons)
vont pouvoir se mettre à l’œuvre et faire évoluer le bâtiment : d'abord
les fondations, ensuite les murs puis le toit et enfin les finitions
intérieures. Cet exemple est un bon point de départ pour tenter de
concilier la vision matérialiste de la création (le big bang) et la vision
biblique (les 7 jours ou sept cycles)
Je loue vos efforts pour concilier les deux visions.
merci, je me sent moins seul Unir la science et la religion est en effet
un de mes passe temps favori. Je pense avoir trouvé la clef de cette union
qui est le concept d'électron (esprit/matière) toujours à voir sur mon
site WEB
Les connaissances spirituels et temporels ont été séparés, il y a de bonne
raisons à cela. J'en profite pour glisser un mot à Yves. Vouloir
réconcilier les deux avant l'heure, c'est un peu se prendre pour Dieu,
non?
la tête et les pieds sont à la fois séparés et à la fois unis, tout dépend
du regard que nous portons sur la réalité.
Quand à se prendre pou dieu, oui nous sommes dieu (collectivement bien
sur), mais chacun peut en témoigner une grande part à titre individuel
(comme un ordinateur du réseau internet peut aller piocher la quasi
totalité de ce qui est sur le réseau)
Je ne comprends pas votre obstination à vouloir lier l'esprit et la
matière.
Ca n'est en rien une obstination, la chose m'est apparue le plus
naturellement du monde sans que je cherche à la provoquer. prenons un
exemple simple : Un concept vous vient à l'esprit, cela engendre une
pensée, qui elle même engendre une décision qui produit un acte
(déplacement d' objet par exemple) Il y a donc bien une chaîne continue
entre l'esprit ( ou la prise de conscience initiale) et la matière
(l'objet déplacé) Expliquez moi comment le monde pourrait fonctionner s'il
n'y avait aucun lien entre l'esprit et la matière.
Votre réflexion nous amène toutefois à conclure que dans l'environnement
direct à la portée de son influence, l'Homme est un dieu et votre idée
s'applique pleinement.
Vous soulevez la un point très important, surtout le terme la portée de
son influence car pour moi l'homme véritable est un être cosmique qui
empli tout l'univers (voir pour cela mon concept esprit/matière
définissant l'électron) C'est la que dieu et l'homme se rejoignent (l'un
étant l'aspect individuel et l'autre l'aspect collectif)
Il nous reste à reconquérir cette dimension cosmique d'une manière
consciente, nous avons déjà commencé à le faire d'un point de vue
extérieur, en allant sur la lune et bientôt sur mars, nous pouvons aussi
faire ce chemin d'un point de vue intérieur, comme beaucoup de mystique du
passé nous l'on relaté par leur expérience.
Frappez et on vous ouvrira
Vous connaissez tous cette petite phrase mais avez bien approfondi le
sujet ? Frapper (à une porte) c'est faire une demande ou encore se
polariser en mode réceptif. A rapprocher avec la phrase de jésus heureux
ceux qui ont faim et soif car ils serons rassasiés La loi de polarité est
importante à connaître et à respecter pour progresser sur le chemin.
Regardez l'arbre, il est réceptif aux rayons du soleil et l'énergie qu'il
capte, il s'en sert pour creuser le sol et y puiser des éléments qui lui
permettrons de grandir et de capter encore plus de lumière, c'est un
cercle vertueux. Alors nous aussi, soyons à l'écoute, attentifs, veillons
sans cesse, nous ne savons pas quand la bonne inspiration vas venir alors
soyons toujours prêts. Et c'est ce que nous faisons avec nos appareils
(téléphones, fax...) ils sont branchés en permanence, prêts à recevoir un
message. Ensuite, dès que nous avons reçu une inspiration, nous changeons
de polarité, nous devenons actifs, pour mettre en pratique les messages
reçus. Cette mise en pratique n'est pas forcément matérielle, elle peut
consister à engager une réflexion sur un sujet particulier. Que le
mouvement alternatif soit avec vous (et la continuité aussi)
L'avenir de l'homme n'est pas rose; l'homme a de belles aspirations, de
beaux espoirs et de beaux rêves mais l'homme n'a plus toute sa tête;
L'esprit (le notre) est créateur, la vision que nous avons du monde
(individuellement et collectivement) tend à s'incarner, aussi il est
important de bien choisir sa vision, car nous avons le choix (mais pas
celui d'éviter les conséquences de nos choix) Devant une forêt ou les
vieux arbres moisissent et entrent en décomposition, regardons plutôt les
jeunes poussent qui formerons la forêt de demain, et mieux encore pensons
aux graines qui sont encore dans le sol et qui ne se sont pas encore
manifestées. Ces graines (nous même) saurons se nourrir du soleil
(l'esprit) et du vieux monde en décomposition (la matière).
Le poussin et sa coquille
Voilà encore un paradoxe (ils sont vraiment très riches les paradoxes)
Durant toute sa prime enfance, la coquille a protégé le poussin des
agressions du monde extérieur, et maintenant que le poussin se sent
grandir (les ailes lui poussent) voilà que la coquille le maintient
prisonnier, il va lui falloir exercer ses premières forces à casser la
coquille. et avec quoi va t il réaliser ce premier exploit : je vous
laisse le soin de vous renseigner à ce sujet. Ce phénomène montre un
parallèle avec la situation actuelle du monde, le nouveau est la, prêt à
se manifester, mais des résistances font encore obstacle, saurons nous
briser la coquille ? La différence avec le poussin, c'est que nous, c'est
vers l'intérieur que nous allons déployer nos ailes.
Quelles sont les causes karmiques des attentats de Madrid ?
Comment voulez vous répondre à une pareille questions ? La loi du karma
(ou loi de cause à effet) peut sembler simpliste si on ne l'approfondit
pas, mais dans la réalité (dans sa manifestation) tout est très complexe
car les destins de chacun sont mêlés. Que savons nous des vies antérieures
de ces personnes ? rien. Que savons nous de ce que ces personnes aurons à
vivre dans leurs vies futures ? rien. Alors devant tant d'ignorance, il
est peut être plus sage de se contenter d'envoyer tout notre amour à ceux
qui souffrent (et aux autres aussi bien sur).
Je me demande si la religion ne serait pas une forme de coquille pour la
spiritualité?
C'est en effet une jolie image La religion a un coté exotérique (tourné
vers la foule, vers l'extérieur) comme la coquille, et la spiritualité a
un coté ésotérique (tourné vers l'intérieur) comme le poussin lui même.
S'emmerder, c'est courir moins vite que le voleur; S'emmerder, c'est ne
plus avoir les moyens d'appâter le voleur; C'est ne plus avoir les moyens
d'attirer>
Il y a en effet dans la recherche du bonheur un côté chat qui court après
sa queue , Le simple fait de vouloir le bonheur est en fait l'expression
d'un manque et le manque est incompatible avec le bonheur qui lui serait
plutôt une sensation de plénitude. Alors docteur, quel est le remède ? je
propose simplement d'apprendre à profiter de chaque instant, de rendre
chaque moment plus plein de notre présence consciente. C'est un exercice
de concentration globale, corps, esprit, mental émotions etc être
disponible aux autres et aux inspirations qui viennent. Donc se polariser
complètement en mode réceptif pour ensuite trouver le penser et l'agir
optimum.
Une conscience troublée par les désirs ne peut se libérer..et une sagesse
troublée par l'ignorance ne peut se développer..
Et un haltérophile troublé par la masse de fonte qu'il doit lever ne
pourrait développer sa musculation ?
Les adversité de la vie ont leur raison d'être et leur utilité. Il y a en
permanence le jeu des polarité, les forces du bas veulent nous précipiter,
nous détruire et les forces du haut veulent nous construire, nous élever
et il en résulte une juste harmonie. Mais c'est à nous de choisir. Et au
dessus de ce jeu des polarité, l'esprit éternel contemple.
Il faut voir si le négatif à la possibilité de se développer jusqu'à
rejoindre le camp adverse
Je pense en effet que les deux polarité se développent ensembles,
puisqu'elles ont besoin l'une de l'autre.
Ceci est à rapprocher de la parabole du bon grain et de l'ivraie, ou il
est recommandé de ne pas arracher l'ivraie pour ne pas arracher le bon
grain aussi, c'est seulement à la moisson que les deux sont séparés. Les
deux polarité agissent un peu comme un contenant et un contenu, mais une
fois le contenu adulte, il n'as plus besoin de contenant, comme un arbre à
qui on enlève le tuteur. Donc les deux polarité ne sont pas strictement
égales, l'une est faite pour durer, l'autre pas.
La vérité : c'est que il n'y a rien de sur.
Et si je vous dis que 2+2=4, vous n'en êtes pas sur ?
Comme il y a très peu de sujet sur l'alchimie, j'aimerais lancer
le débat la dessus. Je n'ai que quelques connaissances de base sur le
sujet et j'espère que vous en apporterez d'autres. Pour moi l'alchimie est
à l'esprit (ou à l'âme si vous préférez) ce que la chimie est à la
matière, c'est à dire la science de la transformation qui utilise les lois
de combinaison de éléments. Une des opérations de base est solve et
coagula donc dissous et coagule.
La dissolution correspond sur le plan mental à l'analyse et la coagulation
correspond à la synthèse. On pourra sur le plan physique s'inspirer de
l'eau qui passe par différents états: solide (glace) liquide (eau) gazeux
(vapeur d'eau) Le passage solide vers gazeux est une sublimation (solve
dans l'espace) le passage gazeux vers liquide est une condensation
(coagule) Cela pour vous montrez que les principes agissant dans les plans
subtils sont semblables à ceux agissant dans le plan matériel (ce qui est
en haut est comme ce qui est en bas ) Une autre étape connue est l’œuvre
au noir qui correspond à une fermentation. Tout le monde peut constater
que les vieux arbres finissent par pourrir et se décomposer et que le
terreau obtenu après fermentation sert aux jeunes pousses.
Sur le plan des concepts ou sur celui des sentiments, le processus est le
même, lorsque vous sentez que tout semble s'écrouler, vous êtes dans
l’œuvre au noir, vous fermentez et êtes la proie d'idées ou de sentiments
négatifs, alors prenez conscience, l’œil qui est au dessus de tout cela
s'éveille en vous et le germe du renouveau est déjà la. Cette prise de
conscience va progressivement prendre le pas et vous permettre de
maîtriser et de réorienter votre vie. La prochaine étape évolutive de
l'humanité demande (sans l'exiger) sa participation consciente et
volontaire.
J’entends quelquefois la phrase : je suis croyant mais pas
pratiquant ! Ca me laisse vraiment interrogateur, La pratique serait quoi
? aller faire quelques prières le dimanche à la messe et le reste du temps
on fait ce qu'on veut ? D'un point de vue dualiste, on peut dire qu'en
toute chose, il y a la théorie et la pratique. La théorie c'est nos
concepts, nos idéaux, nos aspirations etc... Et la pratique c'est ce que
nous pensons, disons et faisons. Et chacun met en pratique (donc pratique)
ses théories Donc on relie (religare = religion) l'aspect théorique et
l'aspect pratique, ce qui met en œuvre des boucles de réaction puisque la
pratique d'une idée ou d'une théorie peut venir confirmer ou infirmer la
théorie. Cet aller et retour perpétuel entre la théorie et la pratique
permet de faire évoluer les choses, puisque de nouvelles théories et de
nouvelles pratiques apparaissent alors que d'autres disparaissent.
Mais la théorie selon laquelle on pourrait avoir des croyances et ne pas
les pratiquer me laisse perplexe, ou alors il y a un problème sur la
définition du mot croyance ! Si vous avez des lumières à ce sujet, merci
de m'éclairer
Après avoir dit qu'on ne pouvait pas dire grand chose, je change d'avis et vous propose un long développement qui est connexe à un des mes messages précédent le loup et les agneaux que je vous conseille de relire, celui ci étant en relation avec la notion de Karma. Posons nous la question de savoir pourquoi de temps en temps il se manifeste des dictateurs, des tirants, des terroristes. Si l'on considère que la vie est régie par le hasard ou par la chance (ou par toute autre superstition qu'il vous plaira de choisir), on ne peut que conclure que la vie est pleine d'horreurs, qu'il y a des infâmes méchants agresseurs et des gentilles victimes innocentes et on se laisse aller à nos instincts qui crient vengeance, on décapite les méchants et on retourne mener une vie paisible (en attendant le prochain problème puisque l'on n'as rien résolu). La évidemment je force le trait et vous aurez pressentis que je ne partage pas ce point de vue binaire entre le bien et le mal. Selon mon point de vue, nous avons tous en nous une part de négatif (je ne parle pas seulement de ce qui est dans votre gros intestin, mais aussi du négatif qui se trouve dans les plans subtils, astral, mental......). Lorsque chacun s'occupe de son jardin (revoir mon message comment transformer le mal en bien ) alors tout va pour le mieux, mais si nous nous négligeons, les saletés s'accumulent, débordent et ruissellent vers l'extérieur. Or nous sommes tous reliés les uns aux autres sur les plans subtils (comme nous le somme avec l'eau, le téléphone, les égouts etc....) et ces flots de négativité se rassemblent, forment des petits ruisseaux puis des grandes rivières et dans les mains de qui ces flots arrivent ils ? Je vous laisse deviner ? dans les mains des êtres les plus faibles les plus grossiers (des éboueurs en quelque sorte) mais qui sont cependant doués d'intelligence destructrice. Ils nous renvoient à la figure tous les détritus que nous leur avons envoyés sauf qu'il s'est produit un phénomène de concentration (ce mot doit vous rappeler des choses) Notez que dans le phénomène de pollution de la nature, il y as aussi des phénomènes de concentration des polluants, au travers par exemple de la chaîne alimentaire. Attention cependant à ne pas conclure que les terroristes seraient de passifs bourreaux exécutant le karma collectif, et que les soi-disantes victimes sont des coupables cachés. La vérité pour moi est entre les deux, chacun (du bourreau et de la victime) participe à un cercle (vertueux ou vicieux ?) et chacun a sa part de responsabilité. Connaissant cela, chacun est libre de continuer à tourner dans le cercle (un coup victime, un coup bourreau) ou de se hisser au delà, vers la lumière (je parle entre autre de la lumière de la compréhension) Pour aller vers la lumière, il faut aussi s'occuper de notre coté négatif, en commençant d'abord par admettre que nous en avons un et qu'il a son utilité, tout comme le coté positif. Mettre un mouchoir de soie parfumé pour cacher le négatif n'est pas la bonne solution (image du château de Versailles au temps de louis 14) le coté négatif est d'une richesse extraordinaire, à condition cependant de savoir le maîtriser (le positif doit maîtriser le négatif car si c'est l'inverse, je ne vous parle pas des dégâts, regardez justement les terroristes) A titre d'exemple, regardez ce qu'on fait dans les villes avec les ordures ménagères : on les brûlés et ont en fait de l'électricité et de la chaleur. Alors ce que font les matérialistes, les spiritualistes ne sauraient pas le faire ? Oui mais vous me direz : comment faire ? Encore une fois prenons un exemple enfantin, je veut parler de l'aspect matériel des choses, depuis longtemps les hommes ont créé des endroits spéciaux très propres, avec de l'eau, pour y déposer ce dont il n'avaient plus besoin (inutile de vous faire un dessin) Pour ce qui est des choses plus subtiles, il y a eu aussi toutes sortes des pratiques, des jeunes, des lavements, des baptêmes, des prières, de la purification. Il y a eu des évolutions par exemple la confession tend à être remplacée par le psychiatre, les rites de purification spirituelles déclinent au profit d'une pratique hygiéniste du corps. Mais l'idée générale reste la même, on veut se débarrasser de ce qui est devenu nuisible (pense t on )Une idée moderne et qui va j'espère prendre le pas est la notion de recyclage. L'écologie nous apprend que dans la nature, tout se recycle, ce qui est perçu comme un déchet pour un animal devient source d’engrais pour le végétal. Voilà une source d'inspiration pour extrapoler nos fraîches connaissances de la matière dans le domaine spirituel. Tel aspect que nous jugions négatif et nuisible va se monter très utile dans tel cas précis? un peu comme en chimie, des poisons (à forte dose) peuvent guérir (à faible dose) telle maladie. Notez encore une fois l'importance de la dose c'est à dire de la maîtrise. Notez aussi le cercle, que l'on retrouve dans la notion de recyclage écologique, que l'on retrouve dans le cercle vertueux (bourreau victime) et le karma lui même est une notion circulaire (vous retrouvez à un point ce que vous avez envoyé à un autre). Nous admettons facilement que les polluants envoyés par nous se retrouvent un jour dans notre assiette (et nous aurions du mal à le nier puisque ça se démontre) mais nous avons encore des réticences à admettre que ces lois agiraient sur des plans subtils. Pour moi le lien entre karma et écologie est évident. Certains dirons : arrêtez de tout mélanger, ce à quoi d’autres répondrons : arrêtez de tout séparer. Voilà, chacun est renvoyé à lui même, c’est moins confortable que de se laisser aller à la vindicte mais le chemin d’apprentissage de la perfection du monde est peut être à ce prix.
J'ai déjà envoyé un message sur le sujet mais je reprend l'idée car elle me semble vraiment importante. Quand un informaticien développe un programme (c'est mon cas en ce moment) il sait d'avance à quoi va ressembler son programme (sinon comment saurait il dans quelle direction aller) Donc au départ, il y a une idée ou un besoin global ensuite cette idée est analysée, décomposée en éléments simples. Une fois ce travail fait, l'informaticien peut commencer à écrire des lignes de code et de temps en temps, il teste son programme pour voir si ce qu'il a produit se comporte comme son souhait d'origine. On trouve donc l'involution de l'idée originale puis l'évolution de sa réalisation concrète. Notez au passage la transition de l'idée originale (l'esprit) à la réalisation concrète (la matière). C'est un peu simpliste je reconnais mais ça peut aider à appréhender l'histoire de la création de l'univers. Un monde spirituel (la notion esprit/matière étant relative et réversible) devient un besoin ou une idée qui lui même engendre (en se décomposant) une autre idée (les 7 jours ou sept cycles de la création) au final, c'est le big bang, la matière est enfin formée (elle n'est qu'une condensation ou concentration de l'esprit) et la le travail dévolution peut se faire, tous les schémas, tous les modèles ont été créé dans la phase d'involution et la matière colle aux modèles. Mais je vois que mon modèle a encore besoin d'être retravaillé. C'était un galop d'essai, comme je fais avec mon logiciel en ce moment
Il est commun pour l'arbre de prendre les minéraux bruts du sol
et avec l'aide du soleil de les transformer en fruits délicieux qui
nourrissent la planète.
Il est commun pour le boulanger de prendre la farine chez le meunier et de
la transformer en pains et gâteaux succulents.
Il est commun pour le forgeron de prendre un métal grossier et de le
transformer en fines arabesques ciselées pour le plaisir de nos yeux.
Il devrait être commun pour le philosophe de se prendre lui même comme
matériau et de se transformer en source d'amour et de sagesse, avec l'aide
de l'esprit universel et éternel.
J'ai une dissertation à rédiger sur Le coût social et je ne m'en
sort pas. J'ai une formation d'économiste et j'ai du mal à aborder le
sujet d'un point de vue philosophique. Si vous pouviez m'aidez à
déterminer la problématique et me conseiller quelques pistes de réflexion,
ce serait génial. Merci beaucoup.
Le coût n'est pas que le coût en monnaie sonnante et trébuchante, le coût
correspond à une dépense et cette dépense peut être de plusieurs ordres :
La dépense de temps
la dépense en énergie émotive
la dépense en énergie intellectuelle
la dépense en énergie spirituelle
la dépense en énergie musculaire (et il y en a certainement d'autres)
Maintenant il peut y avoir antagonisme entre ces différentes dépenses.
Ainsi il pourrait sembler improductif (au sens matériel du terme)
d'éduquer les enfants puisque pendant ce temps ils ne produisent pas de
biens matériels (raisonnement tenu autrefois à la campagne et encore
aujourd’hui dans certains pays dits sous développés) Or ne pas faire cette
dépense d'éducation peut se révéler catastrophique pour un pays dont on
sait qu'il a besoin de gens formés pour fonctionner.
A un autre niveau, ne centrer la formation des jeunes que sur des aspects
ayant une vocation productiviste de biens matériels, au détriment de ce
qui pourrait épanouir le cœur, l’âme et l'esprit, peut se révéler
catastrophique quant à l'avenir d'un pays
Il y a toujours des choix à faire quand au type de dépense que nous
voulons faire (individuellement ou collectivement) et cela nous engage
pour le moyen et le long terme.
Dans quoi allons nous investir (et nous investir), cela dépend de la
vision que nous avons du monde et de notre avenir, vision qui elle même
dépend des choix que nous avons fait dans nos années précédentes et qui
ont contribué à faire devenir le monde tel que nous le voyons aujourd’hui.
Ceci s'appelle une boucle de réaction, ou un cercle vertueux.
Ayant conscience de ce cercle vertueux, nous sommes à même de faire des
choix plus éclairés quand à savoir dans quel type de coût nous allons
investir, nous récolterons ce que nous avons semé.
Un économiste comme vous sait qu'un bon placement rapporte beaucoup.
A propos, savez vous quel est le meilleur investisseur ?
C'est le paysan, il part d'un grain de blé, il le met en terre et
plusieurs mois après (il faut toujours laisser le temps de fructifier a un
placement), il récolte un épis avec trente grain de blé.
Rendement 3000%
Les idées fusent, certains en sont encore à prôner la croissance
à tout vas, d'autres parlent de développement durable et certains plaident
pour la décroissance.
Il y a donc comme d'habitude les conservateurs et les progressistes, ceux
qui veulent poursuivre la trajectoire sans se remettre en question et ceux
qui n'hésitent pas à tenter l'inconnu.
Alors qui choisir ? chacun trouvera la réponse en son âme et conscience.
Pour ma part je prône l'équilibre dynamique c'est à dire à la fois la
décroissance de ce qui est vieux, usé, polluant et la croissance de ce qui
est jeune, porteur d'espoir, de vie, de dynamisme, de lumière, d'amour,
bref de tout ce qui peut nous rendre réellement heureux.
Vous me direz qu'il reste à implémenter tout cela dans des actions
concrètes, c'est vrai, mais avant, il fait commencer par intégrer ces
notions sur le plan des idées et des concepts qui seulement ensuite
trouveront leur incarnation.
Et la encore c'est à chacun de trouver l'incarnation qui lui convient,
quitte à trouver ensuite des convergences au niveau collectif.
Démocratie : que d'encens on brûle en ton nom. Mais si cette chose est si merveilleuse, pourquoi ne l'utilise t on pas de façon systématique, en tout lieu, en tout temps ? Car le seul domaine ou on la met en pratique c'est pour le vote des responsables politiques, dans tout les autres domaines on fait autrement. Exemple le monde économique qui n'est pas du tout basé sur la règle démocratique mais sur la loi du plus entreprenant ou du plus débrouillard. Et heureusement que le système démocratique peut s'appuyer sur une économie non démocratique pour pouvoir survivre. On sait tous ce qu'il est advenu des économies programmées décidées par une poignée de gens incompétents.Ne pensez pas pour autant que je sois contre la démocratie, pour moi c'est simplement une étape nécessaire sur le chemin de l'évolution, mais, quand nous seront plus évolués, nous pourrons passer à autre chose, et c'est à nous de trouver cet autre chose.
En route pour un petit concert.
Peut on se concentrer un maximum sur un aspect de la vie (l'économie par
exemple) en négligeant le reste et en espérant obtenir des résultats
durables ?
A court terme, oui, il vas se passer des choses (la croissance !) mais au
final, les négligences vous rattrapent et on obtient la pollution, le
dérèglement des consciences et moultes travers.
Seule une approche harmonieuse, tenant compte de tous les aspects de la
vie, peut nous garantir un résultat durable. Et c'est comme ça que la
nature a fonctionné durant des millions d'années.
Que chacun se mette en quête des composants de sa vie qu'il aurait oublié
ou laissé sur le chemin.
A la SNCF, quand vous prenez le train, vous savez exactement ou
il va et personne ne se soucie de savoir qui pilote le train.
En politique c'est l'inverse, tout le monde se bagarre pour savoir qui va
piloter le train, mais personne ne sait ou il va.
Alors si vous voulez que ça change, posez vous des questions, mettez la
charrue avant les bœufs (plutôt l'inverse), apprenez à distinguer la fin
des moyens.
La démocratie est elle sage ?
Est ce sage de donner le même poids politique à un idiot qu'à un génie ?
Franchement si vous aviez un problème grave à résoudre, vous iriez prendre
conseil indifféremment auprès d'un idiot ou auprès d'un génie ?
Notez que je me garde bien de proposer une solution alternative, car je
n'en ai pas pour l'instant, mais voilà le débat est lancé et je pense
qu'il mérite d'être posé.
Travaillant dans le bâtiment, j'ai vu apparaître la haute
qualité environnementale, comme si la qualité pouvait se normaliser, se
standardiser !
Pour moi la qualité est une notion subjective qui est de l'ordre de
l'exceptionnel, du sublime.
On ne peut pas la mettre en boîte et la formaliser sinon elle devient ce
qui est ordinaire, courant, banal.
Et c'est bien ce qui ce passe dans ces bâtiments soi disant haute qualité,
un peu de récupération d'eau de pluie, un peu de capteurs solaires sur le
toit, un peu d'isolant en plus, un chantier propre et le tour est joué,
mais à vivre dans ces bâtiments, vous ne sentirez rien de particulier,
tout est résolument banal.
Cela illustre les méfaits de la réglementationnite , maladie qui consiste
à vouloir tout gérer par la force de la loi. Or le bien et le beau ne se
décrètent pas, ils se méritent, ils se cultivent, ils s'apprivoisent.
Que le sublime vous motive.
De Gaulle a dit : l'intendance suivra !
N'avez vous pas l'impression que pour beaucoup d'hommes politique modernes
, c'est l'intendance qui précède et qu'ils sont à la remorque d'une soit
disant réalité économique qui leur dicterait tout !
Amis au grand cœur réveillons notre conscience, arrêtons de suivre,
mettons un frein à l'immobilisme, faisons un grand pas en avant (sauf si
vous vous sentiez au bord du gouffre) allez vous verrez, ce sera vraiment
mieux après (moi aussi je sais parler pour ne rien dire, suivez mon
regard)
Je vais vous faire un cadeau : arrêtez de croire au père Noël,
ce n'est pas en votant pour Pierre, Paul ou Jacques que la situation du
pays va s'améliorer, c'est à vous que ce travail incombe, vous ne pourrez
pas faire l'économie d'une sérieuse remise en question et d'une prise en
charge de vous même par vous même.
Sans aller jusqu'à paraphraser Churchill qui promettait du sang, de la
sueur et des larmes, il demeure qu'un sursaut personnel est indispensable.
«Qui maîtrise l'analogie, maîtrise le monde.»
Et n'y aurait il pas une analogie entre installer des capteurs solaires
(pour se relier à la source de vie qu'est le soleil) et se relier à sa
divinité intérieure ?
Curieusement, je me suis passionné pour l'énergie solaire en 1974 et j'ai
découvert la spiritualité en 1980
Alors qui propose une autre analogie ?
la réponse la plus complète est, il me semble celle donnée par
mon frère alain, la voici :
Bonne année à tous. la réponse à la question de mon frère ne pouvait pas
ne pas être dans le QUID qui nous apprend qu'à l'origine le calendrier
romain était lunaire et divisait l'année en 10 mois. Les mois furent
désignés par des adjectifs numéraux*
terminés en *ilis *: aprilis (2ième), quintilis (5ième), sextilis (6ième)
ou en : september (7ième), october (8ième), november (9ième),
december(10ième); puis on en dédia à des divinités : le 1er, martius, à
mars de de la guerre ; le 3ième, maïus, à Maïa, divinité préromaine ; le
4ième, junus, à Junon, épouse de Jupiter. (L'année commençait donc en mars
sous les romains ....
L'année solaire ne faisant que 304 jours, le mois de décembre était à
rallonge !) pour améliorer le système les romains placérent d'abord 2 mois
supplémentaires en fin d'année , après décembre.L'un de ces 2 mois fut
ensuite placé avant martius et appelé januaris et consacré à Janus, autre
divinité préromaine. L'autre, februarius, resta d'abord après décembre.
(Asterix a raison : il sont fous ces romains de ne pas mettre les mois
dans le bon ordre !)
Seulement vers l'an 400 de Rome, februarius fut déplacé entre januarius et
martius et devint le 2ième mois (ouf).
J'ose une hypothèse :
La souffrance viendrait de la résistance que nous opposons (consciemment
ou inconsciemment) aux énergies d'évolution qui cherchent à se manifester
en nous.
Qu'en pensez vous ? et quel est le rapport entre souffrance et souffre
(c'est une question pour les alchimistes)
Et oui, la vie est un tas de fumier, il suffit pour s'en rendre
compte de regarder autour de soi ou de lire la presse ou de regarder la
télévision.
Mais vous, vous êtes une graine tombée dans le tas de fumier dés la
naissance, et que fait une graine ? elle médite pendant un certain temps,
puis se décide à germer, ce germe nous l'avons tous en nous, c'est le soi
divin, la particule d'éternité. Dés que la prise de conscience et de
confiance est faite, le germe va percer la graine et sortir à l'extérieur
pour planter sa première racine et pour faire émerger sa première feuille.
Ensuite la sève va couler pour relier le monde d'en haut avec le monde
d'en bas (joindre les deux bouts) et alors vous vous apercevrez que ce que
vous croyez etre un tas de fumier, est en fait une nourriture vitale et
indispensable (tout comme le soleil à l'autre bout)
Première épreuve : tentez de trouver un lien entre les quatre
mots du titre.
Si vous donnez votre langue au chat, vous pouvez lire ma propre
interprétation ci dessous.
Tout d'abord, si vous ne vous souvenez plus très bien du symbole du
caducée, je vous invite à jeter un œil sur ma page http://www.teaser.fr/~yaccard/cosmos/caducee.htm
Le caducée représente une mise en forme de l'énergie vitale Kundalini aux
travers de différents plans (un plan à chaque croisement). L'énergie monte
et descend selon une sinusoïde et au centre elle passe de façon directe,
verticale.
Et quel rapport avec un ascenseur et un escalier ?
Et bien justement, un immeuble est constitué de plusieurs plans ou niveaux
(comme la vie) et les hommes (l'énergie) circulent entre ces différents
plans de deux manières, soit à pied par l'escalier en colimaçon, soit
directement à la verticale par l'ascenseur.
Dans certains vieux immeubles, l'ascenseur est au milieu de la cage
d'escalier et l'escalier est un belle spirale, la ressemblance avec le
caducée est frappante.
Comme quoi quand la vie a une recette qui marche, elle l'utilise plusieurs
fois, dans plusieurs domaines.
Evidemment il y a aussi des différences, pour les étages de l'immeuble,
ils se ressemblent tous et ont a peu pré les mêmes fonctions (notez que le
PDG d'un groupe met toujours son bureau en haut de l'immeuble). Pour la
Kundalini, il me semble que les plans traversés sont par contre très
différents et rangés selon une croissance que je pense être fractale.
Vous trouvez également la même analogie avec les pistes de ski, le remonte
pente vous tire en ligne droite vers le haut et ensuite vous redescendez
les pistes en faisant de belles sinusoïdes.
Merci pour vos commentaires que j'espère nombreux
Une petite digression sur la pureté
Sans vouloir la définir, il me semble qu'il y a plusieurs niveaux
La pureté de celui qui a toujours été pur et qui ne s'est jamais taché
La pureté de celui qui a été pur, s'est taché puis s'est fait détacher
par quelqu'un d'autre
La pureté de celui qui a été pur, s'est taché puis a réussi à se
détacher pat lui même, à force d'études et de travail
La pureté de celui qui s'est taché puis détaché et qui arrive aussi à
détacher les autres
La pureté de celui qui s'est détaché et arrive à apprendre aux autres à
se détacher eux même
Je vous laisse imaginer les niveaux supérieurs.
Je me suis souvent demandé pourquoi les mots fil et fils se
ressemblaient tant et une réponse m'est venue.
Si vous prenez une cerise sur un cerisier, vous pourrez considérer que la
cerise est le fils (potentiel) du cerisier, et qu'est ce qui les relie ?
un pédoncule qui ressemble justement à un fil ! (la queue de cerise)
Peut être y a t il la une filiation ? de fil en aiguille, on est passé du
fil au fils.
Avez vous une autre interprétation ?
Et ne me dites pas que j'essaie de tout expliquer avec l'arbre, je le sais
déjà !
Toutes les religions ont des indications pour pratiquer le jeûne
(ramadan, carême....) et cela est certainement utile, la nature elle même
nous met en repos la nuit pour reconstituer un certain nombre de choses.
Mais est il utile de pratiquer le jeûne (ou la mise au repos périodique)
de nos fonctions mentales et émotionnelles ?
Qu'en pensez vous ?
la porte du soleil est en nous, alors imaginez qu'un seul de vos
électrons entre en raisonnance avec le soleil et pensez à la fabuleuse
énergie qui serait à votre disposition.
Imaginez cela c'est se servir de notre esprit pour commencer à ouvrir
cette fameuse porte, car une des clefs de la porte, c'est la compréhension
!
Voici ou trouver de l'or, il y en a dans :
orienter (tourner vers l'orient ou vers l'or riant)
nord (ne le perdez pas)
tronc
cœur (vous en avez tous)
bourse
coraux
noir (même la il y en a !)
organiser
organe
orchestre
orage
orange
oratoire
orbite
ordre
ordonner (donner de l'or ?)
oreille
orgasme
orgue
origine
porte
orner
orteil
orthogonal
Maintenant un demi tour
roi
proie
droit droite
gloire
programme
produit
forme
Cherchez encore de l'or, vous en trouverez partout, par exemple o = eau
et r = air (voir les 4 éléments ou
4 états).
allez vous bien ou êtes vous malades ?
si nous inversons malade nous obtenons edalam = aide à l'âme
la maladie serait elle une aide pour notre âme ?
Jung n'a t il pas déclaré :
Vous ne guérirez pas de vos maladies, ce sont vos maladies qui vous
guérirons
et si nous inversons mal, nous obtenons lam = l'âme
le mal serait il une inversion au niveau de l'âme ?
cela nous rappelle la devise alchimique VITRIOL qui veut dire :
VISITA INTERIORA TERRAE, RECTIFICANDO INVENIES OCCULTUM LAPIDEM soit,
selon une traduction de Jean Servier, Descends dans les entrailles de la
terre, en distillant tu trouveras la pierre de l'oeuvre.
Ce qui pourrait aussi se dire, descend en toi même, rectifie (inverse ?)
et tu trouvera la vie éternelle
Bon labeur à tous
F = Feu
O = Eau
R = Air
T = Terre
et dans fort il y a de l'or !
Donc travaillez avec les quatre états, équilibrez les pour trouver le
cinquième (la quintessence)
Si vous inversez les deux termes du milieu, vous obtenez FROT et c'est
bien en frottant deux silex que l'on fait du feu !
Bonne pratique à tous
Proverbe connu :
Donne du poisson à un homme, tu le nourriras pendant un jour, apprend lui
à pêcher, tu le nourriras pour toujours
Variante 1
Soigne un homme, tu le guériras d'une maladie, apprend lui à se soigner
lui même, tu le guériras pour toujours.
Variante 2
Apprend quelque chose à un homme, tu mettra sa conscience en lumière dans
un domaine particulier, montre lui ou est la source de toute connaissance
(en lui même) et tu le mettra dans la lumière pour toujours.
Maintenant à vous de trouver l'interrupteur (pour allumer la lumière).
Une analogie m'est venue.
Quelqu'un peu au fait du monde du bâtiment et voyant un immeuble recouvert
d'échafaudage avec des ouvriers qui circulent, viendrait peut être à dire
: que c'est horrible, il faut immédiatement que cela cesse
Mais ne faisons nous pas de même dés qu'une maladie survient ? nous
voulons faire disparaître les symptômes sans nous interroger sur le rôle
de cette maladie. Elle est peut être la pour faire certains travaux, pour
nous transformer ?
Naturellement il serait déraisonnable de ne pas tenter de se guérir, mais
au moins pouvons nous le faire plus intelligemment, en regardant
différemment notre maladie, en essayant d'en comprendre les causes, en
s'interrogeant sur les différents moyens en notre posession pour améliorer
notre santé (sans attendre d'être malade) comme l'amour et la sagesse.
EPOQUE ANCIENNE | EPOQUE MODERNE |
Le serpent tente Eve en lui faisant croire qu'en consommant du fruit de l'arbre de la connaissance du bien et du mal, ils ne mourront point | La publicité tente les consommateurs en leur faisant croire, que s'ils consomment tous leurs produits, ils resteront beaux et jeunes. (ressemble à ne mourront point ) |
Noé fabrique une arche pour sauver les animaux du déluge | Les défenseurs de la nature font des parcs animaliers pour sauver les espèces en voie de disparition |
Moïse étant parti sur la montagne, son peuple s'adonne au culte du veau d'or et à la luxure | L'argent est devenu roi pour beaucoup, il y consacrent tout leur temp et oublient complétement les valeurs spirituelles |
Moïse traverse la mer rouge avec les siens, celle ci se referme brusquement derrière eux, engloutissant leurs ennemis | Les portes du RER s'ouvrent et la foule s'y engouffre, les portes se referment obligeant les retardataires à attendre la prochaine rame |
Moïse délivre son peuple qui était prisonnier chez pharaon | Beaucoup de gens croient au père noël, ils s'imaginent que les hommes politiques vont les délivrer du matérialisme ou ils se sont enfermés. |
Les hommes construisent la tour de Babel pour imiter dieu (vous connaissez la suite) | Les hommes construisent une civilisation militaro-industrialo-technologico-matérialiste pour dominer le monde et demain se sera pour dominer l'univers, ceci sans aucune notion du divin (vous ne connaissez pas encore la suite mais l'histoire de la tour de Babel vous aidera à la deviner) |
Dieu pétrit l'argile et lui insuffle son âme | L'homme bricole le code génétique, il pétrit l'acier pour
se faire une voiture et ensuite se met à l'intérieur. Ensuite, il bricole le silicium pour faire un ordinateur et il lui introduit un logiciel |
Les prophètes promettent la vie éternelle en suivant une vie sage et pleine d'amour | La médecine promet une jeunesse éternelle à grand renfort de lifting, de chirurgie esthétique et de pilules miracles |
Les aspirants en quête de lumière suivent des initiations et des rituels dans les temples | Ceux qui veulent gagner leur vie sont obligés de passer des examens, des entretiens d'embauche et des tests. |
Ulysse lors de voyage se fait attacher les mains derrière le mat de son bateau, pour ne pas être tenté par les sirènes | Des tentations de tout genre sont affichées en plein jour et beaucoup y cèdent |
si nous voulons transformer le monde, peut être devrions nous commencer par nous laisser transformer, autrement dit apprendre à obéir avant d'apprendre à commander. Et puis franchement transformer le monde, c'est épuisant, ça demande une attention de tous les instants et une grande énergie. Alors que se laisser transformer, quel repos, quelle volupté. Se laisser transformer ne veut pas dire se laisser aller à la première émotion ou à la première pensée venue, c'est plus une attitude générale qui consiste à penser que dans son ensemble la vie ne nous veut que du bien et nous apporte toutes les épreuves nécessaires à notre évolution, même quand elles sont difficiles. Il y a une sorte d'alternance à trouver ou à mettre en place, dans un premier temps, je suis en mode réceptif un petit rien produit un grand effet sur moi, je suis sensible, mon système réceptif reproduit toutes les variations de mon environnement. Dans un deuxième temps, une maturation vas se faire, toutes ces sensations vont produire des réactions, des réflexions, des émotions, elles vont déclencher des énergies et ces énergies vont chercher à s'extérioriser, elles vont devenir des désirs, des pensées puis des actes et nous arrivons au troisième temps, celui de l'incarnation, de la transformation du monde. La réalisation de l'action ayant assouvi le désir, nous revenons alors au début du cycle pour être à nouveau réceptif et à l'écoute. J'ai décomposé le mouvement en trois temps uniquement pour la clarté de la compréhension car dans la pratique les trois mouvements sont simultanés. Il se dégage ainsi une vision de la respiration de l'être oscillant entre l'intériorisation et l'extériorisation. Peut être faut il ce brassage permanent jusqu'à ce que l'intérieur et l'extérieur deviennent le reflet parfait l'un de l'autre. Le Connais toi toi-même et tu connaîtra l'univers et les dieux prend alors tout son sens. La transformation devient celle de la conscience, la graine a germé dans la finitude du corps et peut maintenant partir à la conquête de son héritage infini. La matière n’est pas cette petite boule minuscule avec du vide autour, elle n’est que la crête de la vague de l’océan illimité et dont nous procédons.
a priori les religions prônent toutes l'amour et la fraternité.
La raison me semble être dans le manque d'évolution des protagonistes, la
religion peut rester à un stade superficiel et intellectuel (penser ceci
ou cela, se contraindre à faire tel chose tel jour) mais pour autant
l'éveil à l'amour n'est pas encore la. Celui qui est éveillé à l'amour
peut vivre cet amour avec toute autre personne elle aussi éveillée à
l'amour, ceci quelle que soit la religion ou la philosophie d'origine
Voici une parole de Jésus : Mais à quoi reconnaîtra-t-on que vous êtes de
vrais disciples du Christ ? A ce que « vous aurez de l’amour les uns pour
les autres »
Donc le christ lui même ne fait pas l'apologie de telle ou telle religion
mais de ceux qui savent se témoigner de l'amour, tout simplement. voici
une autre citation : La connaissance divise, l'amour réunis.
J'essaie donc toujours de ne pas imposer ma connaissance (mes idées mes
opinions...) à autrui, mais de chercher à vivre ce qui est commun, au delà
de ce qui divise.
Ce chemin de l'amour a des degrés infinis l'important est simplement
d’être en marche.
Que veut dire réguler par la polarité symétrique ?
Vous allez mieux comprendre si je cite un exemple ou deux.
lorsque vous êtes dans votre baignoire, si l'eau devient trop froide, vous
ouvrez le robinet d'eau chaude, si elle devient trop chaude, vous ouvrez
le robinet d'eau froide.
Lorsque vous conduisez votre voiture, si vous sentez qu'elle dérive vers
la droite, vous donnez un coup de volant vers la gauche et si vous sentez
qu'elle dérive vers la gauche, vous donnez un coup de volant vers la
droite.
Quoi de plus simple comme manière de résoudre ses problèmes ! déconcertant
de simplicité.
Et pourtant regardez tous les cas ou on fait le contraire, tous les cas ou
on lutte contre ou on essaie d'anéantir l'ennemi !
C'est ainsi qu'en luttant contre les bactéries avec des antibiotiques on
arrive à obtenir des souches résistantes tout en ayant diminué le
potentiel immunitaire des hommes. C'est ainsi qu'en luttant contre les
insectes avec des insecticides on arrive à obtenir des lignées résistantes
tout en ayant diminué le potentiel de défense des plantes.
Alors quand allez vous vous mettre à la régulation par la polarité
symétrique ?
Le principe général est simple :
1) identifier votre problème en le nommant ou en le décomposant en
différentes caractéristiques
2) identifier la ou les polarités symétriques
3) développer la ou les polarités symétriques
4) pratiquez pendant un temps suffisamment long (au moins jusqu'à la
solution de votre problème)
5) si vous êtes satisfaits, développez le concept autour de vous
L'homme de Cro-Magnon pouvait il prévoir qu'un jour il
construirait des cathédrales ?
L'homme du moyen âge pouvait il prévoir qu'un jour il construirait des
ordinateurs ?
L'homme de 2008 peut il prévoir ce que sera son monde en 2028 ?
Il serait tentant d'extrapoler, de dire que puisque notre civilisation
moderne est marquée par la technologie, elle va continuer de se développer
vers une civilisation hyper technologique.
Il est amusant de voir avec du recul les prévisions faites par les
futurologues du passé comme Albert Robida http://www.robida.info/
Celui ci vivant à l'époque de l'apparition des ballons dirigeables avait
imaginé que tout le ciel de Paris serait sillonné par des aérobus
Comme quoi une simple extrapolation quantitative n'est guère fiable.
Un autre fait : personne n'avait prévu le formidable développement de
l'informatique.
Il se peut que notre avenir soit complètement différent de notre présent.
Je cite Voici, je fais toutes choses nouvelles Apocalypse Jean 21:5
Ce texte pourrait se comprendre comme un retour à l'équilibre, après avoir
longtemps adoré les valeurs matérielles, un retour au spirituel (au sens
premier du terme) se ferait. Mais un spirituel enrichi de tous les lois et
principes qui ont put être découverts et expérimentés dans le monde
matériel. Chaque polarité peut être vue comme complémentaire de l'autre.
Et puis n'oublions que notre avenir, c'est nous qui le construisons,
chaque pensée, chaque parole, chaque émotion, chaque acte compte.
Et bien je vais peut être vous décevoir mais pour moi l'esprit
n'existe pas !
Par la je veux dire qu'il n'existe pas une chose parfaitement
identifiable, qui soit une partie de l'univers et dont on puisse dire
qu'elle soit à 100% de l'esprit
En fait, dans ma vision de l'univers, aucune partie de l'univers n'existe
par elle même, seul le tout (Dieu ?) existe.
Ce plaidoyer pour l'unité étant fait, il demeure que ma conscience et mes
sens fonctionnent comme un prisme qui décompose la réalité en deux
polarités qui sont l'esprit et la matière.
Et cette double polarité se décline en de nombreux aspects : homme/femme,
père/fils, espace/temps, bien/mal, terre/ciel, acide/basique, dur/mou,
droite/courbe, individualisme/collectivisme.
La tradition nous enseigne aussi la décomposition en quatre états qui sont
la terre, l'eau, l'air, le feu.
Pour moi j'assimile la terre à la matière et le feu à l'esprit, l'eau et
l'air étant des états intermédiaires.
Par feu j’entends l’aspect rayonnant du feu, par exemple la lumière du
soleil ou le son d'un instrument de musique.
Le feu (ou l'esprit) est en perpétuel mouvement, il rayonne.
La matière est l'esprit sont relatifs l'un à l'autre (et non absolus),
ainsi dans un ordinateur, il y a le hard (la matière) et le soft
(l'esprit), mais ce soft, au moment ou il a été conçu était de la matière
par rapport à l'esprit du développeur.
Donc l'esprit n'existe pas par lui même, c'est plus un regard, un angle de
vision que nous nous donnons pour mieux appréhender notre environnement et
nous même.
Et pour finir, savez vous quel est le plus grand luxe ?
Réponse : c'est la lumière
Explication : le lux est l'unité de mesure de l'éclairement lumineux !
Que la lumière illumine vos esprits et que l'amour réchauffe vos cœurs.
Comment échapper à ce trio infernal ? il y a un livre sur le sujet de Christel Petitcolin Éditions Eyrolles
Voici une petite théorie, encore balbutiante et j'espère que
vous allez la faire progresser avec vos interventions.
Il me semble que lorsque des difficultés se présentent à nous (en vue de
nous faire progresser), si nous n'arrivons pas à trouver la solution, la
vie nous les représente à nouveau mais sous forme d'une multitude de
petits problèmes (dont la somme redonnerait le problème initial)
C'est un peu le processus de la digestion, lorsque nous voulons manger une
pomme, nous constatons que nous ne pouvons pas l'avaler d'un seul coup,
alors nous la fractionnons avec les dents, et la ca passe, un
fractionnement encore plus fin se produit dans l'estomac grâce aux sucs
gastriques.
Vous me direz que le processus inverse peut se produire, à partir du
moment ou nous avons solutionné un certain nombre de petits problèmes, la
vie nous les représente sous forme d'un gros problème (qui serait la somme
des petits) pour voir si nous savons traiter des choses plus globales
(sorte de synthèse ou de révision générale)
On retrouve la une sorte de respiration entre le particulier et le général
(et inversement)
Que serait le monde sans fragilité ? car pour moi fragilité va
de pair avec sensibilité.
Prenons l'exemple d'un système de sonorisation (http://www.teaser.fr/~yaccard/cosmos/Vortex/Vortex.html)
il doit délivrer une grosse puissance sur les haut parleurs pour être
efficace, mais à la source il y a un microphone qui lui est très fragile
et très sensible. Il est tellement fragile qu'on le met derrière une boule
en grillage qui laisse passer le son mais qui le protège des chocs
mécaniques. Sans ce petit capteur qui transforme les vibrations de l'air
(son) en courant électrique, rien ne serait possible.
Alors pensez à tous ces capteurs que vous avez en vous et pensez à les
protéger (et aussi à les écouter sinon à quoi serviraient ils ?)
Toute fragilité que vous constatez peut très bien demain se transformer en
une sensibilité qui vous permettra de mieux appréhender le monde.
Avez vous remarqué que le mot fin désigne à la fois la phase
finale d'un événement temporel ainsi que l'épaisseur d'un matériau (par
rapport à l'une de ses dimensions dans l'espace).
Il y a donc convergence entre le temps et l'espace au travers d'un même
mot
La fin des temps serait elle alors aussi la fin de l'espace (à l'heure ou
nous commençons à vivre la conquête spatiale)
Curieux non ?
J'espère vous avoir dis ça avec suffisamment de finesse
Les orientaux parlent de Brahma (l'aspect créateur de dieu) et
de Shiva (l'aspect destructeur de dieu).
En fait ces deux aspects sont inséparables.
Regardez un embryon de poussin, il construit une coquille et pourtant la
première chose qu'il fait à l'éclosion, c'est de détruire cette coquille.
Pour démarrer des travaux, l entreprise met en place un échafaudage, mais
en fin de chantier, elle le démonte.
Nous sommes ainsi en permanence en train de construire et de détruire,
pour nous nourrir, nous détruisons la vie d'animaux ou de végétaux mais
avec ce que nous rejetons, les végétaux peuvent s'alimenter et se
construire.
Un simple mouvement, un bras qui monte et vous avez détruit l'équilibre
précédant pour construire le nouveau.
Si nous passons maintenant à l'aspect psychologique ou spirituel, nous
constaterons qu'il y a aussi beaucoup de leçons à tirer.
Notre caractère, notre personnalité se construisent et se détruisent en
permanence aux travers des crises que nous traversons et au travers des
périodes de paix aussi.
La connaissance de ce phénomène peut nous aider à traverser des crises, en
nous rappelant qu'étant au plus bas, nous ne pouvons que nous redresser et
nous reconstruire. Mais aussi en nous rappelant qu'en étant au plus haut
de l'euphorie, cela ne durera pas (et ainsi économiser notre énergie)
Evidemment il y a des phénomènes inéluctables comme la vie physique qui
vas en diminuant pour se terminer par la mort. Mais la aussi, on peut voir
si l'on est croyant que la mort n'est qu'une phase qui nous amène vers une
nouvelle naissance dans un autre plan.
Notre civilisation connaît un grand cycle de construction/destruction
beaucoup de choses apparaissent, beaucoup de choses disparaissent et il y
a de nombreux grincements de dents pour ceux qui sont réfractaires au
changement (je parle du changement intérieur et non du changement liés aux
technologies) La nature utilise aussi ce principe de construire et de
détruire, toute la biomasse construite (les fruits par exemple) sont
consommés par des animaux ou décomposés (détruits) et recyclés par les
micro organismes.
Mais c'est peut être au niveau de la conscience de soi qu'il y a le plus
de construction/destruction en cours, nous allons certainement assister à
un renouveau de grande envergure, renouveau annoncé entre autre par les
écritures.
Voila
Construisez et détruisez avec sagesse et amour.
Vous avez tous entendu parler des vestales qui entretenaient le
feu sacré dans les temples des temps anciens, cela vous paraît peut être
désuet et pourtant !
Pensez aux ingénieurs d'EDF qui surveillent en permanence le feu nucléaire
dans les centrales électriques, pour que nous ayons une alimentation en
courant sans faille.
Pensez aux ingénieurs des réseaux de chauffage urbains qui surveillent
leurs chaudières pour que nous ayons de l'eau chaude en permanence.
Voyez comment les pratiques du passé se sont incarnées d'un plan spirituel
vers un plan matériel (l'inverse est vrai aussi).
Mais venons en à l'essentiel, que faisons nous pour entretenir le feu
sacré qui est en nous ?
Des tas de considérations et de préoccupations matérielles, nous font
momentanément oublier notre flamme intérieure, alors elle à besoin d'être
réanimée, des tas de moyens sont à notre disposition, lecture, réflexion,
méditation, chant, prière, partage, écoute, amour....
Et n'oubliez pas ma page sur la flamme divine http://www.teaser.fr/~yaccard/cosmos/ecovillage/flamme.htm
Nota : le parallèle indiqué entre les vestales des temps anciens et les
ingénieurs d'EDF est typiquement une étincelle susceptible d'allumer
quelque chose en vous.
Certain s'imaginent que l'on va résoudre les problèmes
écologiques en se retournant vers le passé.
D'autres prétendent qu'il va suffire d'utiliser la technologie A à la
place de la technologie B, moyennant quoi nous pourrons continuer à vivre
comme avant , mais n'est ce pas justement à cause du développement des
sciences et techniques matérielles que l'on est arrivé à détruire notre
environnement ?
Je ne vois pas d'autre solution que d'avoir une profonde remise en
question de notre relation avec notre environnement, aussi bien sur le
plan matériel que sur le plan spirituel.
J'ai déjà un peu développé ce sujet sur ma page intitulée l'écologie
spirituelle
ecologie_spirituelle.html
Vous pensez peut être que je vais vous parler d'immigration, et
bien non !
Vous pourrez cependant faire des parallèles si bon vous semble.
Vous avez certainement déjà avalé un noyau de cerise qui a su trouver tout
seul son chemin pour ressortir, la nature a eut en effet largement le
temps de palier à ce genre de chose, depuis les millions d'années que nous
existons physiquement.
Par contre lorsque nous avalons des substances toxiques (notre monde
moderne en regorge) notre organisme ne sais pas quoi en faire, ces
substances sont d'apparition récente dans l'histoire de l'humanité et
notre organisme n'a pas encore appris à les traiter. Le plus généralement,
il arrive quand même à en éliminer une partie et il stocke le reste.
Que nous apprend la nature à ce sujet ? Nous pouvons nous inspirer de
l’huître, lorsqu'un grain de sable vient se mettre dans son manteau, elle
n'a pas de bras pour éliminer l'intrus alors elle décide de l'entourer de
douceur, plus précisément elle va secréter de la nacre qui va entourer
progressivement le grain de sable, jusqu’à former une perle toute douce et
bien polie.
Un premier parallèle avec cette attitude de l’huître peut se trouver dans
l'expression entourer quelqu'un d'amour amis attention, ne jetez pas de
perles aux pourceaux.
Donc l’huître réussi admirablement à faire de l'intégration, elle ne
rejette rien mais elle résous ses problèmes grâce à sa connaissance de la
loi des polarités.
A ce propos, savez vous comment on fabrique les fameuses puces
électronique qui équipent nos ordinateurs ?
Et bien on prend du silicium que l'on mène à un très grand degré de
pureté, puis on lui injecte des doses très précises d’impureté, ça vous
rappelle peut être la perle de l’huître, pour mieux visualiser ça vous
pouvez faire un tour sur wikipedia
Quel rapport me direz vous avec les substances toxiques que nous avons
dans notre corps et que nous aimerions bien rejeter ? Et bien justement,
si au lieu de les rejeter, nous les intégrions, en les entourant d'amour,
en les transformant en des milliards de petites perles qui vont
transformer notre corps en un fantastique ordinateur. Science fiction ?
nous verrons bien.
Quelques liens en harmonie avec ce message :
http://www.teaser.fr/~yaccard/centre.htm
http://www.teaser.fr/~yaccard/cosmos/david.htm
Voila c'était ma perle du jour
Un bébé encore au chaud dans le sein maternel, pourrait en
constatant les fortes contractions du ventre de sa mère, s'imaginer que la
fin du monde du monde est arrivée, pourtant il ne s'agit que du début de
sa venue au monde extérieur.
Que pensez vous de cette comparaison avec les tumultes de notre monde
actuel ?
Bonne naissance à tous.
Vous avez tous entendu l'histoire de Dieu qui a créé Adam en
pétrissant l'argile puis en lui soufflant dans les narines pour lui donner
la vie.
Cela fait peut être sourire nos scientifiques modernes mais regardons plus
avant.
La plupart des textes de la bible sont écrits de manière symbolique et il
ne faut pas les prendre au premier degré.
Prenons un exemple de création, celui de l'automobile.
Au départ, son créateur (l'homme) pétrit l'acier pour former les roues, le
moteur et la carrosserie, puis lorsque tout est formé, il s'introduit à
l'intérieur pour la conduire.
Notez le parallèle surprenant avec l'histoire d'Adam, au départ il est
question de pétrissage (formation pat l'extérieur) puis d'une introduction
à l'intérieur d'un élément subtil (le souffle pour Adam et l'homme lui
même pour la voiture)
Le même parallèle existe en informatique, au départ il est question de
créer le hardware (le matériel) et ensuite, quant il est prêt, on lui
introduit le software (le logiciel ou esprit)
Ce schéma général pourrait se symboliser par un cercle dont l'esprit
serait au centre et la matière à la périphérie.
Ce schéma général, si vous l'étudiez bien, pourra vous aider à résoudre
nombre de problèmes.
Cette force créatrice est en vous comme en chacun, un peu de dépoussiérage
et elle ne demande qu'à repartir.
Bonne création à tous
Vous vous êtes sans doute déjà demandé ce que vous étiez venu
faire sur terre ?
Je me permets d'apporter un élément de réponse qui n'est évidemment que ma
vision du monde.
Imaginez une usine de construction d'automobile, d'un côté arrivent les
roues, le l'autre les moteurs, encore d'un autre les pare brises. Tous les
morceaux sont en fait construits par des sous traitants et arrivent, prêts
à être assemblés.
Le travail de l'usine consiste à gérer ses approvisionnements et à
assembler les composants dans un ordre bien précis, essayez d'assembler le
moteur avec les roues sans avoir au préalable mis en place le châssis,
vous aurez des problèmes !
Nous aussi en venant sur terre nous devons gérer les approvisionnements et
assembler les composants, avec une différence par rapport à la voiture,
c'est que nous devons vivre dés la première seconde, même se c'est au
ralenti.
Au début nous nous contentons du lait de notre mère avec un peu d'oxygène,
mais rapidement d'autres composants arrivent, des sensations, des
émotions, des pensées.
A chaque nouvel arrivage, il faut apprendre à tout faire fonctionner
ensemble, les pensées, les émotions, le corps et ses sensations, or des
contradictions apparaissent, des erreurs d'assemblage, des tiraillements.
Alors il faut apprendre à se réparer, à se sortir des ornières, à trouver
le bon mode d'emploi, à capter la sensation la plus fine, à équilibrer le
tout, à joindre les deux bouts.
Or plus on arrive à intégrer, à harmoniser, plus on est capable de faire
venir des matériaux de meilleure qualité, nouveau moteur, nouvelles
sensations, nouveau logiciel, nouvelles pensées, qu'il faudra à nouveau
apprendre à faire fonctionner ensemble.
Alors courage, nous n'en sommes qu'au début.
Une graine qui veut assurer sa croissance doit s'ouvrir à la
lumière du soleil, pour cela elle puise des matériaux dans le sol et
construit sa première feuille, ensuite le cycle s’entretien entre le haut
et le bas par l'action de la sève.
Y a t il des parallèles à faire avec le fonctionnement de notre psyché
intérieure ?
Nous aussi nous avons à nous ouvrir à l'amour, à la lumière, à la vérité,
sans pour autant négliger le monde terrestre.
Evidemment, lorsque la situation nous parait défavorable, nous nous
fermons, c'est une réaction de protection bien naturelle qu'il ne faut
surtout pas perdre, mais dans le même temps, apprendre à ne pas rester
figé dans cette fermeture, tendre l'oreille pour détecter les signes avant
coureur du printemps. Mettre un œil neuf pour regarder le monde et les
autres, apprendre à ne pas regarder uniquement la face négative des autres
(monde des passions, des pulsions, des instincts) mais voir aussi la face
positive (monde des idéaux, des aspirations, des émotions subtiles....)
Devenir un révélateur qui sais faire la part des choses, éclairer,
réconforter, transformer.
Assister à sa propre naissance et à celle des autres
Ne pas en vouloir à ceux qui restent en arrière, leur heure viendra aussi,
un autre jour.
Pour commencer cette année, je vous propose d'étudier la loi des
polarités
C'est à voir à l'adresse http://www.teaser.fr/~yaccard/cosmos/Principes/polarites.html
Vous avez certainement tous déjà utilisé une essoreuse à salade,
on met les feuilles de salade au milieu, ensuite on tourne la manivelle et
la force centrifuge vient plaquer les feuilles sur le bord extérieur du
panier, loin du centre.
Et c'est la même chose que font les médias, ils nous donnent le tournis en
rabâchant toujours les mêmes informations : Qui va être président de la
république ? . De cette façon nous sommes omnibulés et tenus loin de notre
centre (notre vie intérieure)
Or qui peut le mieux nous apporter la paix et la joie ? se relier à notre
source divine intérieure ou attendre de quelqu'un qui ne nous connais pas
et que nous ne connaîtrons jamais qu'il nous apporte des choses par
l'extérieur ?
Vous me direz que l'on peut s'occuper des deux, oui mais tout le temps que
l'on passe pour l'un n'est plus disponible pour l'autre.
Etre conscient de ce jeu de force, peut nous aider à ne plus en être dupe.
Un professeur universitaire défia ses étudiants avec cette
question : « Est-ce que Dieu a créé tout ce qui existe ? ».
Un étudiant répondit bravement : - Oui, Il l'a fait !
Le professeur dit : « Dieu a tout créé ? »
- Oui, Monsieur, répliqua l'étudiant.
Le professeur répondit, « Si Dieu a tout créé, Il a donc aussi créé le mal
puisque le mal existe et selon le principe de nos travaux qui définissent
ce que nous sommes, alors Dieu est mauvais ».
L'étudiant fut silencieux devant une telle réponse. Le professeur était
tout à fait heureux de lui-même et il se vantait devant les étudiants
d'avoir su prouver encore une fois que la foi en un dieu était un mythe.
Un autre étudiant leva sa main et dit : « Puis-je vous poser une question
professeur ? »
- Bien sûr, répondit le professeur.
L'étudiant répliqua, « Professeur, le froid existe-t-il ? »
- Quel genre de question est-ce cela ? Bien sûr qu'il existe. Vous n'avez
jamais eu froid ? dit le professeur.
Le jeune homme dit, « En fait monsieur, le froid n'existe pas. Selon la
loi de physique, ce que nous considérons être le froid est en réalité
l'absence de chaleur. Tout individu ou tout objet possède ou transmet de
l'ENERGIE. La chaleur est produite par un corps ou par une matière qui
transmet de l'*ENERGIE*. Le zéro Absolu (-460°F) est
l'absence totale de chaleur; toute la matière devient inerte et incapable
de réagir à cette température. Le Froid n'existe pas. Nous avons créé ce
mot pour décrire ce que nous ressentons si nous n'avons aucune chaleur. »
L'étudiant continua. « Professeur, l'obscurité existe-t-elle ? »
Le professeur répondit : - Bien sûr qu'elle existe !
L'étudiant : « Vous avez encore tort Monsieur, l'obscurité n'existe pas
non plus. L'obscurité est en réalité l'absence de LUMIERE. Nous pouvons
étudier la LUMIERE, mais pas l'obscurité. En fait, nous pouvons utiliser
le prisme de Newton pour fragmenter la LUMIERE blanche en plusieurs
couleurs et étudier les diverses longueurs d'onde de chaque couleur. Vous
ne pouvez pas mesurer l'obscurité. Un simple rayon de LUMIERE peut faire
irruption dans un monde d'obscurité et l'illuminer. Comment pouvez-vous
savoir l'espace qu’occupe l'obscurité ? Vous mesurez la quantité de
LUMIERE présente. N'est-ce pas vrai ? L'obscurité est un terme utilisé par
l'homme pour décrire ce qui arrive quand il n'y a pas de LUMIERE. »
Finalement, le jeune homme demanda au professeur, « Monsieur, le mal
existe-t-il ? »
Maintenant incertain, le professeur répondit : - Bien sûr, comme je l'ai
déjà dit. Nous le voyons chaque jour. C'est dans les exemples quotidiens
de l'inhumanité de l'homme envers l'homme. C'est dans la multitude des
crimes et des violences partout dans le monde. Ces manifestations ne sont
rien d'autre que du mal !
L'étudiant répondit, « le Mal n'existe pas Monsieur, ou au moins il
n'existe pas de lui-même. Le Mal est simplement l'absence de Dieu. Il est
comme l'obscurité et le froid, un mot que l'homme a créé pour décrire
l'absence de Dieu. Dieu n'a pas créé le mal. Le Mal n'est pas comme la
foi, ou l'AMOUR qui existe tout comme la LUMIERE et la chaleur. Le Mal est
le résultat de ce qui arrive quand l'homme n'a pas l'AMOUR de Dieu dans
son coeur. Il est comme le froid qui vient quand il n'y a aucune chaleur
ou l'obscurité qui vient quand il n'y a aucune LUMIERE. »
Le professeur s’assis, abasourdit d’une telle réponse. Le nom du jeune
étudiant ? Albert Einstein
Imaginez une pile électrique ronde de 1,5 volts
Vous pouvez considérer que dans cette pile, seules les polarités sont
importantes et dans ce cas vous constaterez que le pôle positif est du
coté ou l'extrémité est plus mince et que le pôle négatif est du coté ou
l'extrémité est plate.
Vous voyez donc qu'il y a deux polarités et que ces pôles sont opposés,
chacun à une extrémité de la pile,et ces pôles sont en effet très
importants car c'est la que l'on branche la pile.
Cette vision en opposition est une vision basée sur la dualité.
Maintenant vous pouvez aussi avoir une vision unitaire et considérer que
la pile constitue un seul est même objet uni.
Donc deux visions sont possibles pour une seule et même réalité, ou la
dualité (ou séparabilité) ou l'unité.
Maintenant vous pouvez généraliser à l’être humain avec sa polarité homme
et sa polarité femme
Bonne polarité à tous et tenez vous au courant (qui va très vite et qui
est quelquefois alternatif)
La réponse en image est sur http://www.teaser.fr/~yaccard/cosmos/solaire/ecologie.html
Les mots scier et science se ressemblent étrangement non ?
Et que fait la science si ce n'est que scier (séparer) le réel en autant
de domaines, de disciplines avec autant de spécialistes qui finissent par
ne plus comprendre ce que fait le spécialiste du domaine voisin.
Une autre phrase peut nous mettre sur la piste Science sans conscience
n'est que ruine de l'âme La encore on retrouve la notion de séparer
(scier) en deux, d'un coté la science, de l'autre la conscience. Et qu'est
donc cette autre part l'âme est elle une unité ? est elle notre
sensibilité ?
On retrouve encore cette idée dans l'image du paradis avec la pomme qui
est croquée. Cette pomme n'est donc plus entière, elle a été séparée
(sciée) en deux et depuis chacun cherche sa moitié !
Heureusement sont nées les approches globales, les visions holistiques, de
même l'approche métaphysique peut élargir notre champ de vision.
Donc voila une piste à creuser, au lieu de chercher à résoudre nos
problèmes un par un comme Ulysse qui voulait vaincre l'hydre de Lerne en
coupant ses têtes une à une, pourquoi ne pas essayer de les résoudre tous
à la fois. Cela peut se faire en retrouvant l'unité qui est au plus
profond de nous et qui ne demande qu'à nous aider si nous lui prêtons
l'oreille.
C'est un travail de chaque instant car les tentations pour se laisser
aller aux mirages de la dualité (ou multiplicité des apparences) sont
nombreuses et quasi permanentes.
Bonne unité à tous
Tant qu'il n'y a pas d'amour, il y aura des religions qui ne pourront jamais amener les humains vers Dieu. Mais quand l'amour viendra, il n'y aura plus de religion. La religion deviendra intérieure et se manifestera sous forme de bonté, de rayonnement, de sacrifice, de douceur et de lumière. Comme on m'a instruit, ainsi je vous instruis. C'est quand l'amour a quitté l'humanité que la religion est venue pour y suppléer. Mais quand l'amour viendra, la religion s'effacera parce qu'elle sera entrée de nouveau dans le cœur de l'homme.
Vous êtes vous déjà demandé pourquoi l'informatique est un
domaine qui marche si bien depuis sa création et continue de bien se
développer ?
A mon avis l'informatique marche par ce que l'informatique a deux jambes
qui sont le hard et le soft (le matériel et le logiciel) et je fais une
prédiction, le jour ou l'informatique ne considérera plus qu'un seul pôle,
elle commencera à péricliter.
Ces deux pôles sont en fait indissociables, la preuve c'est que si vous
achetez un logiciel, on vous donnera un CDROM avec le logiciel dessus et
ce CDROM est bel et bien de la matière, vous me direz que vous pouvez
télécharger ce logiciel, mais dans ce cas vous aurez besoin d'un disque
dur pour le stocker et de disque dur est bel et bien de la matière.
Inversement si on considère un micro processeur, celui ci est en silicium
et c'est bien de la matière mais cette matière est agencée de manière si
fine et si intelligente qu'elle contient en fait un logiciel (on dit qu'il
s'agit de logique câblée) et le même raisonnement peut être appliquée à
toute partie d'un ordinateur, même le boîtier !
Ce couple logiciel/matériel est pour moi un aspect, une incarnation d'un
couple plus vaste qui est le couple esprit/matière, la correspondance qui
s'impose étant alors d'associer l'esprit avec le logiciel et la matière
avec le matériel.
Tant qu'un individu accorde autant d'importance à la spiritualité
(l'esprit) qu'à la matière (le corps physique) il reste en équilibre et
progresse sur tous les plans.
Si il ne s'occupe que de spiritualité (il fait l'ange) il se coupe du
monde terrestre et peut partir dans des dérives, dans des extrêmes et
risque de devenir invivable pour ses congénères.
Si il ne s'occupe que de sa matérialité (il fait la bête) il se coupe des
sphères spirituelles et devient grossier, terre à terre, il risque de
devenir le jouet de ses instincts basiques qui vont l'entraîner eux aussi
vers des dérives, vers des extrêmes. Je ne citerais pas toutes les dérives
possibles, vous les connaissez aussi bien que moi.
Revenons à notre individu équilibré, il sait momentanément partir dans une
expérience spirituelle qui va lui apporter des inspirations mais aussitôt
après il va les confronter à la réalité du monde matériel et ainsi
pourvoir juger du bien fondé de ce qu'il a reçu, c'est comme ça que font
tous les inventeurs et les créateurs, ils trouvent d'abord la solution ou
l'idée dans leur esprit et ensuite il vont l'appliquer dans la matière.
Cette cascade pouvant suivre plusieurs échelons, ainsi l'architecte
conçoit d'abord les plans de la maison dans son esprit, ensuite il va
transmettre les directives à son dessinateur pour qu'il fasse les plans,
et quand les plans sont finis, ils sont transmis aux artisans pour qu'ils
puissent réaliser la maison dans la matière.
Pour creuser le sujet :
Méthode de la régulation par la polarité opposée (pour trouver
l'équilibre) http:
//www.teaser.fr/%7Eyaccard/parfait.htm
La métaphysique.
http://www.teaser.fr/%7Eyaccard/metaphysique.htm
Voici ci après un extrait du livre Pensées spirituelles
impertinentes de Selim Aïssel Edition Spiritual Book France
Il est important pour vous de savoir distinguer les véritables méthodes,
écoles, Instructeurs, Enseignements de leurs imitations, d'où les conseils
suivants :
-fuyez les instructeurs qui se proclament êtres supérieurs, élus ou
réalisés ,
-fuyez ceux qui demandent une obéissance absolue à eux-mêmes ou à ceux qui
les secondent,
-fuyez ceux qui vous demandent de couper vos liens familiaux ou sociaux,
-fuyez ceux qui vous interdisent de fréquenter qui vous voulez,
-fuyez ceux qui ne reconnaissent comme bon que leur enseignement,
-fuyez les organisations qui vous demandent des sommes d'argent
importantes,
-fuyez les organisations qui étalent leur luxe,
-fuyez ceux qui vous demandent de vous confesser,
-fuyez tous ceux qui utilisent la culpabilisation,
-fuyez ceux qui dénigrent les autres chemins,
-fuyez ceux qui vous enseignent à négliger votre vie familiale,
professionnelle ou sociale au bénéfice de leur organisation,
-fuyez ceux qui font une règle de la restriction de sommeil et
d'alimentation et vous enseignent toutes sortes de pratiques qui vous
affaiblissent physiquement,
-fuyez ceux qui jugent et condamnent,
-fuyez ceux qui demandent de croire et non de comprendre et de vérifier,
-fuyez tous ceux qui manquent d'humour,
-fuyez tous ceux qui utilisent la menace ou la peur,
-fuyez tous ceux qui ne font que parler de la spiritualité sans la
pratiquer réellement,
-fuyez ceux qui vous promettent le paradis après la mort (surtout si vous
les payez !),
-fuyez ceux qui vous promettent l'enfer si vous ne vous convertissez pas,
-fuyez ceux qui divisent les principes et les hommes en bons ou mauvais,
-fuyez ceux qui adoptent des attitudes, des façons de parler, de
s'asseoir, de s'habiller et de se mouvoir stéréotypées,
-fuyez ceux qui se prennent pour des prophètes ou des messies,
-fuyez ceux qui changent fréquemment d'enseignement et d'instructeur,
-fuyez ceux qui se jalousent,
-fuyez ceux qui sont en compétition les uns avec les autres ou avec
d'autres organisations,
-fuyez ceux qui ne pratiquent que dans le cadre de leur organisation et
pas à l'extérieur,
-fuyez ceux qui disent avoir tout compris et n'avoir plus rien à
apprendre.
Fin de la citation.
Et maintenant ou aller ? et bien je vous propose l'exercice suivant :
reprenez une à une les injonctions de fuite et transformez les en
affirmations positives (allez vers....).
Attention ! Une épidémie mondiale est en train de se propager à une allure vertigineuse. L’OMB (Organisation Mondiale du Bien-être) prévoit que des milliards d'individus seront contaminés dans les dix ans à venir. Voici les symptômes de cette terrible maladie :
1. Tendance à se laisser guider par son intuition personnelle plutôt
que d'agir sous la pression des peurs, idées reçues et conditionnements
du passé.
2. Manque total d'intérêt pour juger les autres, se juger soi-même et
s'intéresser à tout ce qui engendre des conflits.
3. Perte complète de la capacité à se faire du souci (ceci représente
l'un des symptômes les plus graves)
4. Plaisir à apprécier les choses et les êtres tels qu'ils sont, ce qui
entraîne la disparition de l'habitude de vouloir changer les autres.
5. Désir intense de se transformer soi-même pour accompagner
positivement ses pensées, ses émotions, son corps physique, sa vie
matérielle et son environnement afin de développer sans cesse ses
potentiels de santé, de créativité et d'amour.
6. Attaques répétées de sourire, ce sourire qui dit merci et donne un
sentiment d'unité et d'harmonie avec tout ce qui vit.
7. Ouverture sans cesse croissante à l'esprit d'enfance, à la
simplicité, au rire et à la gaieté.
8. Moments de plus en plus fréquents de communication consciente avec
son âme, ce qui donne un sentiment très agréable de plénitude et de
bonheur.
9. Plaisir de se comporter en guérisseur qui apporte joie et lumière
plutôt qu'en critique ou en indifférent.
10. Capacité à vivre seul, en couple, en famille et en société dans la
fluidité et l'égalité, sans jouer ni les victimes, ni les bourreaux.
11. Sentiment de se sentir responsable et heureux d'offrir au monde ses
rêves d’un futur abondant, harmonieux et pacifique.
12. Acceptation totale de sa présence sur terre et volonté de choisir à
chaque instant, le beau, le bon, le vrai et le vivant.
Si vous voulez continuer à vivre dans la peur, la dépendance, les conflits, la maladie et le conformisme, évitez tout contact avec des personnes présentant ces symptômes. Cette maladie est extrêmement contagieuse ! Si vous présentez déjà des symptômes, sachez que votre état est probablement irréversible. Les traitements médicaux peuvent faire disparaître momentanément quelques symptômes mais ne peuvent s'opposer à la progression inéluctable du mal. Aucun vaccin anti-bonheur n'existe. Comme cette maladie du bonheur provoque une perte de la peur de mourir, qui est l'un des piliers centraux des croyances de la société matérialiste moderne, des troubles sociaux graves risquent de se produire, tels des grèves de l'esprit belliqueux et du besoin d'avoir raison, des rassemblements de gens heureux pour chanter, danser et célébrer la vie, des cercles de partage et de guérison, des crises de fou rire et des séances de défoulement émotionnel collectives Alors, je vous en prie, faites suivre afin que nous ne tombions pas dans cette affreuse maladie.
Réponse proposée : c'est la vie de l'âme.
Pourquoi chercher un compagnon ou une compagne ?
Est ce pour combler un vide ou est ce pour partager un plein ?
Si c'est pour combler un vide, l'excitation de la rencontre et des
premiers temps va faire passer le vide en arrière plan et seule la joie
du moment sera présente à la conscience objective. Mais une fois
l'excitation retombée, si l'on a fait aucun travail pour ce problème de
vide, il va remonter à la surface de la conscience et paraitra peut être
encore plus aigu.
Alors comment trouver ce plein ?
Une piste :Connais toi toi-même alors tu connaîtras l’Univers et les
Dieux.
La notion de complétude peut en effet être assimilée aux notions de Dieu
et d'univers (notions presque synonymes pour moi)
L'univers (ou Dieu) étant par essence complet, cet état peut-il se
partager (réduire en plusieurs parts) sachant que si on le partage, il
n'est plus complet !
Le jour où je me suis aimé pour vrai, j’ai compris qu’en toute
circonstances, J’étais à la bonne place, au bon moment.
Et, alors, j’ai pu me relaxer. Aujourd’hui je sais que ça s’appelle...
Estime de soi.
Le jour où je me suis aimé pour vrai, j’ai pu percevoir que mon anxiété
et ma souffrance émotionnelle, n’était rien d’autre qu’un signal quand
je vais contre mes convictions.
Aujourd’hui je sais que ça s’appelle... Authenticité.
Le jour où je me suis aimé pour vrai, j’ai cessé de vouloir une vie
différente et j’ai commencé à voir que tout ce qui m’arrive, contribue à
ma croissance personnelle.
Aujourd’hui, je sais que ça s’appelle...Maturité.
Le jour où je me suis aimé pour vrai, j’ai commencé à percevoir l’abus
dans le fait de forcer une situation, ou une personne, dans le seul but
d’obtenir ce que je veux, sachant très bien que ni la personne ni
moi-même ne sommes prêts et que ce n’est pas le moment...
Aujourd’hui je sais que ça s’appelle...Respect.
Le jour où je me suis aimé pour vrai, j’ai commencé à me libérer de tout
ce qui ne m’était pas salutaire ... Personnes, situations, tout ce qui
baissait mon énergie. Au début, ma raison appelait ça de l’égoïsme.
Aujourd’hui, je sais que ça s’appelle...Amour Propre.
Le jour où je me suis aimé pour vrai, j’ai cessé d’avoir peur du temps
libre et j’ai arrêté de faire de grand plans , j’ai abandonné les
Méga-projets du futur. Aujourd’hui, je fais ce qui est correct, ce que
j’aime, quand ça me plaît et à mon rythme.
Aujourd’hui, je sais que ça s’appelle...Simplicité.
Le jour où je me suis aimé pour vrai, j’ai cessé de chercher à toujours
avoir raison, et me suis rendu compte de toutes les fois où je me suis
trompé.
Aujourd’hui j’ai découvert l’...Humilité.
Le jour où je me suis aimé pour vrai, j’ai cessé de revivre le passé et
de me préoccuper de l’avenir. Aujourd’hui, je vis au présent, là où
toute la vie se passe.
Aujourd’hui, je vis une seule journée à la fois. Et ça
s’appelle...Plénitude.
Le jour où je me suis aimé pour vrai, j’ai compris que ma tête pouvait
me tromper et me décevoir. Mais si je la mets au service de mon coeur,
elle devient un allié très précieux.
Tout ceci est....SAVOIR VIVRE !
“ Nous ne devons pas avoir peur de nous confronter...Du chaos naissent
les étoiles. ”
Lâcher prise, ce n'est pas se montrer indifférent, mais
simplement admettre que l'on ne peut agir à la place de quelqu'un d'autre.
Lâcher-prise, ce n'est pas couper les liens, mais prendre conscience que
l'on ne peut contrôler autrui.
Lâcher-prise, ce n'est pas être passif, mais au contraire tirer une leçon
des conséquences inhérentes à un événement.
Lâcher-prise, ce n'est pas reconnaître son impuissance, c'est avoir
l'assurance que le résultat final est entre d'autres Mains.
Lâcher-prise, c'est ne plus blâmer ou vouloir changer autrui, et donner le
meilleur de soi-même.
Lâcher-prise, ce n'est pas prendre soin des autres en faisant preuve d'une
totale abnégation, mais se sentir concerné par eux.
Lâcher-prise, c'est ne pas assister, mais encourager.
Lâcher-prise, c'est ne pas juger, et accorder à autrui le droit d'être
humain.
Lâcher-prise, c'est ne pas s'occuper de tout ce qui arrive, et laisser les
autres gérer leur propre destin.
Lâcher-prise, c'est ne pas materner les autres, et leur permettre
d'affronter la réalité.
Lâcher-prise, ce n'est pas rejeter, c'est au contraire accepter.
Lâcher-prise, c'est ne pas harceler, reprocher, sermonner ou gronder, et
tenter de déceler ses propres faiblesses et de s'en défaire.
Lâcher-prise, c'est ne pas vouloir sans cesse adapter les choses à ses
propres désirs, et prendre chaque jour comme il vient et l'apprécier.
Lâcher-prise, c'est ne pas critiquer ou corriger autrui, mais devenir
chaque jour plus pleinement ce que l'on est profondément.
Lâcher-prise, c'est ne pas regretter le passé, et vivre et grandir dans le
présent pour l'avenir.
Lâcher-prise, c'est craindre moins et aimer davantage.
Quand je dis qu’un atome est composé de particules fondamentales
(neutrons électrons protons), je suis en train de faire une analyse, le
point faible de cette analyse étant qu’il faut connaître ce que sont les
particules fondamentales, sinon sur quoi repose la connaissance ?
Quand j’assemble des briques pour monter un mur, je suis en train de faire
une synthèse. Notez que quelqu’un assemble rarement des briques « au
hasard », en général il as une idée préconçue de ce que à quoi doit
ressembler son mur.
Analyse et synthèse seraient elles comme une sorte de respiration vitale,
un mouvement allant du tout vers les parties et de chaque partie vers le
tout.
Le chemin entre l’infiniment petit et l’infiniment grand est long, mieux
vaut connaître les raccourcis.
Prenons un ballon qui présente un creux (une dépression). Vous pouvez
essayer de tirer sur le creux pour redonner une forme ronde au ballon,
dans ce cas vous agissez localement et par l’extérieur.
Une autre façon serait simplement (si vous avez un gonfleur) de
regonfler le ballon, dans ce cas vous agissez globalement et de
l’intérieur.
Je vous laisse le soin d’imaginer ce que peuvent être ces deux attitudes
pour traiter un problème humain, c’est gonflé non ?
Une page de votre livre que vous venez de tourner se lit d'abord
globalement (votre œil embrasse la page d'un seul tenant, en mode
parallèle) mais ensuite l’œil va se porter sur la première ligne, sur le
premier mot et va lire chaque mot l'un après l'autre (mode série), de
même l'artisan regarde globalement le plan de la maison mais ensuite il
va chercher le détail qui l'intéresse pour pouvoir l'exécuter pas à pas
(encore un passage du mode global au mode local ou passage
parallèle/série).
Je suis toujours dans la tentative de mettre le monde en équations
(traduisez de le comprendre ).
Pourquoi tant de problèmes dans la vie de couple, avec une alternance
entre les périodes ou tout est tendu et les périodes ou tout coule, tout
roule ?
J'ai tenté l'analogie avec le courant électrique.
Supposons que le terre nous entraîne dans des régions ou les flux
subtils deviennent de plus en plus intenses et que nous devions nous y
préparer, faute de quoi nous risquerions de périr.
La même chose pourrait advenir à nos appareils électroménagers, ils sont
conçus pour fonctionner en 220 Volts mais si la tension réelle était
portée à 300 Volts, la plupart exploseraient.
Donc la vie nous prépare, tantôt elle nous demande de nous isoler, de
nous renforcer, tantôt elle nous demande d'être reliés, d'être des
canaux conducteurs de l'amour.
Apparemment c'est contradictoire mais si nous revenons à l'analogie
électrique, nous verrons qu'un câble électrique est constitué d'un
isolant avec au centre un conducteur, et un câble très performant doit
être à la fois très isolant et très conducteur.
Touche finale il nous reste à penser que nous sommes constitués de
plusieurs plans et qu'il est totalement possible d'être conducteur sur
un plan et isolant (fermé) sur un autre.
Le fin du fin consistant à rendre tout ça variable et modulable (comme
sait le faire un micro processeur).
..... libres et responsables, avec sagesse
Imagine on.....
.....la douceur sans passivité,
l'amour inconditionnel sans rester aveuglés,
Imagine on ....
....se prendre en main en se regardant en face,
Imagine on
...malgré notre ancienne passivité, enfin changer les choses,
Imagine on...
....croire au partage possible malgré des situations mondiales
aberrantes pour les plus faibles
Imagine on ....
....croire en nous, croire en les plus démunis,
Imagine on...
....dépasser culpabilité, résignation et crainte,
Imagine on ...
....en paroles, en pensées et en construisant d'autres modes de vie
respectueux des autres peuples et aussi de toute vie,
Imagine on...
....sans mensonges..... libres pas pour respecter l'égoïsme furieux mais
en cessant de le servir autant que possible en nous et autour de nous,
Imagine on ...
... à la fois seul face à nous même et responsable face à la Vie Une,
Imagine on...
...la liberté de pensée enfin responsable face à la vie et solidaire,
Imagine On...Peace and Love
écrit par mireille groc.
Question de Eric Marvaud : Comment comprendre le tantrisme ?
Réponse de Yves Accard :
Bonjour Eric
Je ne me sens pas du tout compétent pour répondre à ta question mais je
vais cependant essayer de te donner en partie mon point de vue.
Tu ne peux pas comprendre ce qu'est le saut à la perche sans avoir
réellement pratiqué le saut à la perche.
Intellectuellement parlant tu pourra savoir des tas de choses sur le
saut à la perche, connaître les techniques, l'historique, être capable
d'écrire les équations du mouvement et l'équilibre des forces, savoir
calculer la résistance mécanique de la perche et l'énergie qu'elle
accumule lorsqu'elle est pliée mais jamais tu n'en aura la véritable
expérience.
Donc le mot comprendre le Tantra n'est peut être pas le bon mot, ça ne
veut pas dire que le Tantra soit incompréhensible mais simplement que la
dimension intellectuelle n'est qu'un des aspects de l'approche du
Tantra, aspect qui peut d'ailleurs être une introduction en matière qui
va nous inciter à approfondir la chose sous d'autres aspects.
De mon coté j'en ai eut une approche pratique au travers d'une relation
amoureuse que j'ai vécue il y a 25 ans. A l'époque je ne connaissais
même pas le mot Tantra étant complètement ignorant de tout ce qui
touchait à la spiritualité, ce n'est que des années plus tard, en
essayant de comprendre ce qui m'était arrivé que j'ai put mettre des
mots sur mon expérience.
Ce que j'ai vécu étant du domaine du sensible , du ressenti est
impossible à décrire, sauf peut être pour les poètes, mais je n'ai pas
ce talent, aussi je vais essayer la métaphore.
Prenons un fœtus de neuf mois, son cœur fonctionne parfaitement, par
contre ses poumons,bien qu'étant tout à fait formés, ne peuvent pas
respirer pour des raisons faciles à comprendre. Après la naissance les
poumons vont pouvoir fonctionner et c'est même indispensable à la vie.
Maintenant faisons une analogie, supposons que l'être humain adulte soit
en fait un être en formation, un être en devenir (une sorte de fœtus).
De même que certains fruits mûrissent avant les autres, de même que
certaines fleurs éclosent avant les autres, de même certains êtres
humains font avant les autres l'expérience de ce que sera leur vie après
leur naissance (je parle de la deuxième naissance, la naissance
spirituelle consciente)
Cette connaissance que l'être humain matériel est en fait un être
spirituel en devenir, est vieille comme le monde et beaucoup de
traditions s'en font l'écho, le tantrisme entre autre.
Le Tantrisme insiste surtout sur la relation de couple, pour aider,
faciliter cette prise de conscience de nos facultés spirituelles, le
commun des mortels retient surtout le coté sexuel de la chose, alors que
pour le tantrisme, le coté charnel a sa place au coté de tous les autres
aspects de la vie, il n'y a ni exacerbation ni occultation, simplement
une juste mesure qui varie d'ailleurs selon chacun.
Voici les conseils qui ressortent de ce séminaire, des conseils venant
d'une philosophie porteuse d'un sens dans la vie, où naissance et mort
font partie d'un grand cycle, d'un profond Mystère qui rejoint, à sa
manière le message des religions révélées.
-En matière de recherche spirituelle, si possible, rester fidèle à la
religion de naissance et sinon aller doucement vers ce qui nous convient
le mieux sans rejeter ou critiquer les autres sources de sagesse.
-sortir du concept du Moi ou du Soi, apprendre à se dépouiller des ego
successifs qui se succèdent au cours de l'existence :le « je »n'existe
pas en tant qu'entité formelle, il nous sert comme un vêtement, c'est
tout.
-reconnaître que la loi qui sous-tend tous les phénomènes est celle du
Karma : action et réaction, valable pour tous les plans d'existence.
-Accepter que tout est vide d'existence propre, c'est la Vacuité.
-Apprendre à relativiser le monde dans lequel nous vivons,monde
relatif,fait de vide derrière une apparence de plein et à favoriser
celui de la conscience sereine et lumineuse où tout est calme et
profond.
-Développer la compassion et l'indulgence plus que l'amour (toujours si
délicat,n'est-ce- pas ?) et car tous les humains vivent le même état que
nous.
-Ne pas oublier les autres êtres vivants,leur témoigner jusqu'à
l'escargot et l'araignée, respect et compassion.
-Utiliser des véhicules pour le développement d'une pleine conscience :
chants, prières, mantras, etc.
Accepter la souffrance comme inéluctable (vieillissement du corps, mort
…) mais viser la Connaissance de l'Esprit et croire en son
Intemporalité.
-Savoir avec conviction et bonheur que la nature ultime de toute chose,
exprimée également sous la forme de l'amour divin ou de l'extase dans
d'autres philosophies est lumineuse, pacifiée, profonde, au-delà de
toute dualité.
Que dire d'un verre contenant 50% d'eau, certains le verrons à moitié
plein, d'autres le verront à moitié vide.
Alors, et si cette crise était le début d'une ère nouvelle (en même
temps que la fin d'un âge)
Pour moi, le monde est comme une forêt, et que voit on dans une forêt ?
Il y a des graines dans le sol, qui n'ont pas encore germées et qui
attendent un moment favorable.
Il y a des jeunes pousses qui essaient de faire leur place au soleil et
qu'on distingue à peine
Il y a des plantes adultes déjà grandes mais encore souples pour
résister au vent
Il y a des plantes très âgées, raidies et déjà attaquées par la vermine
Maintenant que se passe t il lorsqu'un bon coup de vent est arrivé ? la
forêt ressemble alors à un cimetière, les vieux arbres sont tombés et
sont la, enchevêtrés, occupant une bonne partie de l'espace visuel.
Rassurez vous les graines, les jeunes pousses et les pousses adultes
sont toujours la, simplement nous avons tendance à ne plus les voir.
Un proverbe raconte Un vieil arbre qui meurt fait plus de bruit que
mille jeunes pousses qui grandissent
Voila pour la métaphore.
Mais quel leçon en tirer dans ma vie courante ?
Pour ma part, je me concentre sur le nouveau sur ce qui est train de
naître, car j'ai remarqué que ce sur quoi je me concentre se développe.
Pour autant je ne néglige pas ce qui est déjà établi et qui me nourrit
en partie.
A la fois, je pense la crise, j'essaie de la comprendre et à la fois je
reste à l'écoute de mon ressenti et mon ressenti reste au beau fixe.
Le Bouddha a clairement exprimé que se limiter à ne dire que ce
qui est vrai ne suffit pas pour que le discours soit habile. Parler avec
adresse exige aussi de dire à l'interlocuteur ce qui lui est utile
d'entendre. Il faut donc dire ce qui est vrai et ce qui est utile. Au
premier abord, il semble qu'un feed-back honnête ne soit qu'une question
de dire la vérité, de communiquer ce que l'on voit véritablement de la
façon la plus directe et la plus fiable possible. Cette compréhension,
toutefois, n'est que partielle. Considérer qu'un discours honnête se borne
à un simple exposé des faits ne tient pas compte de l'impact que ces mêmes
faits peuvent avoir. L'honnêteté doit être tempérée par l'à-propos. Dire à
quelqu'un qu'il est, d'une manière ou d'une autre, déplaisant, peut être
la vérité, mais si cette personne n'est pas préparée à un tel
franc-parler, ce ne sera que de la méchanceté. L'honnêteté sans
sensibilité peut être une arme redoutable.
Pour parler de façon vraie et utile, celui qui écoute doit faire appel à
toute sa sensibilité. Lorsqu'un patient de l'hospice demande s'il va
mourir, la vérité pourrait être : Oui, évidemment, sinon pourquoi donc
seriez-vous en soins palliatifs ? Généralement, ce type de réponse est
bien trop rude. On pourrait demander, avec plus de tact : Que votre corps
est-il en train de vous dire ? Cela permet au patient d'arriver à sa
propre vérité par l'intermédiaire de son corps. Pour que la vérité puisse
avoir un impact sur son évolution, il est nécessaire que le patient
l'entende dans le contexte de ses propres perceptions. Si le moment n'est
pas approprié, ses perceptions peuvent voiler la vérité et en faire
quelque chose de totalement différent. .- Et si elle n'est pas utile, la
vérité sera déformée et deviendra une perception trompeuse.
L'utilité est l'aspect de compassion de l'honnêteté. La vérité peut être
un cadeau authentique tout comme une arme destructrice. Elle peut couper
et mettre en pièces, ou guérir et réparer. Le facteur déterminant est le
contexte de la communication, dont l'importance égale la vérité de ce qui
est dit. Le contexte comprend le moment où une chose est dite, et la
manière dont elle est dite. Ces deux composantes de l'honnêteté, le quand
et le comment , permettent a celui qui écoute d'utiliser le feed-back au
profit de sa propre croissance, plutôt que d'avoir un mouvement de recul.
C'est l'art de la véracité.
L'art de la véracité peut être appliqué à la parole, à condition que celui
qui parle soit conscient de toutes les circonstances, à savoir aussi bien
des facteurs externes que de ce qui motive intérieurement sa réponse. Si
l'un de ces éléments - ou les deux - est ignoré, la communication sera
médiocre. Mais tant que notre réponse sera empreinte de la compréhension
de notre propre motivation, elle ne pourra être l'expression de nos
besoins égoïstes. Quand nous sommes pleinement conscients des aspects
extérieurs et intérieur de l'écoute, notre réponse découle naturellement
de la situation elle-même, sans que l'on n'impose un programme
prédéterminé. Plus vaste est la portée de notre attention, plus notre
réponse sera chargée d'amour. Quand la réponse découle d'une compréhension
claire la situation dans son ensemble, c'est notre cœur qui régit la
communication. L'attention est pareille à un objectif photographique :
plus petite est l'ouverture, moins la lumière de la compréhension
illuminera la scène; plus le diaphragme est ouvert, mieux voyons ce qu'il
est nécessaire de faire.
Il est, par exemple, impossible d'être en colère contre quelqu'un tout en
le comprenant. Quand nous sommes fâchés, notre réaction est due au fait
que nous sommes certains d'être dans notre bon droit. Notre perspective
est réduite à notre propre opinion. Pour comprendre une autre personne, il
faut que nous ayons le désir de l'écouter, sans référence aucune à notre
point de vue personnel. Ce qui veut dire que nous devons élargir notre
point de vue de façon à pouvoir englober le sien. La colère ne peut se
maintenir dès lors que nous cessons de nous justifier.
J'ai travaillé avec Ellen, l'épouse d'un patient proche de la mort qui
manifestait une grande hostilité. Elle dépendait de son mari pour
quasiment tout ce qui avait trait à sa sécurité. Elle était peu instruite,
illettrée, et avait laissé à son mari toute la responsabilité des papiers
concernant leur vie. Étant devenu rapidement très faible, il n'avait pas
eu le temps de la mettre au courant. Sentant sa propre vulnérabilité,
Ellen se répandait en injures contre lui, et criait après moi. Leur maison
était un lieu que j'avais plaisir à quitter. Au cours de l’une de mes
visites, Ellen trouva une ancienne photographie de son mari. C'était en
fait une photo de vacances, et ils y figuraient tous deux, forts et en
bonne santé. Elle se mit à me parler de leur vie passée ensemble. Son
regard s'adoucit, et elle se mit à sangloter. Son expression se
transforma, elle se coucha près de son mari et pleura longtemps dans ses
bras. Sa colère s'était évanouie face à l'amour qu'elle lui portait.
Ce texte a été lu à
l'antenne, et vous êtes nombreux à réclamer la version écrite.
Il a été reçu la veille par la rédaction,
de source non-identifiée, mais peu importe... Le son est ici (format mp3)
Le système mis en place dans notre monde libre repose sur l'accord tacite
d'une sorte de contrat passé avec chacun d'entre nous dont voici, dans les
grandes lignes, le contenu.
Voici le contrat reconductible par tacite reconduction que vous signez
chaque matin en vous réveillant simplement et ne faisant rien Mes chers
amis,
Le 11 septembre marque le triste anniversaire d'une catastrophe hautement
symbolique pour l'humanité.
Peu importe nos croyances ou nos idées politiques, le système mis en place
dans notre monde libre repose sur l'accord tacite d'une sorte de contrat
passé avec chacun d'entre nous, dont voici dans les grandes lignes le
contenu :
1) J'accepte la compétition comme base de notre système, même si j'ai
conscience que ce fonctionnement engendre frustration et colère pour
l'immense majorité des perdants,
2) J'accepte d'être humilié ou exploité a condition qu'on me permette a
mon tour d'humilier ou d'exploiter quelqu'un occupant une place inférieure
dans la pyramide sociale,
3) J'accepte l'exclusion sociale des marginaux, des inadaptés et des
faibles car je considère que le prise en charge de la société a ses
limites,
4) J'accepte de rémunérer les banques pour qu'elles investissent mes
salaires à leur convenance, et qu'elles ne me reversent aucun dividende de
leurs gigantesques profits (qui serviront a dévaliser les pays pauvres, ce
que j'accepte implicitement). J'accepte aussi qu'elle prélèvent une forte
commission pour me prêter de l'argent qui n'est autre que celui des autres
clients,
5) J'accepte que l'on congèle et que l'on jette des tonnes de nourriture
pour ne pas que les cours s'écroulent, plutôt que de les offrir aux
nécessiteux et de permettre à quelques centaines de milliers de personnes
de ne pas mourir de faim chaque année,
6) J'accepte qu'il soit interdit de mettre fin à ses jours rapidement, en
revanche je tolère qu'on le fasse lentement en inhalant ou ingérant des
substances toxiques autorisées par les états,
7) J'accepte que l'on fasse la guerre pour faire régner la paix. J'accepte
qu'au nom de la paix, la première dépense des états soit le budget de la
défense. J'accepte donc que des conflits soient créés artificiellement
pour écouler les stocks d'armes et faire tourner l'économie mondiale,
8) J'accepte l'hégémonie du pétrole dans notre économie, bien qu'il
s'agisse d'une énergie coûteuse et polluante, et je suis d'accord pour
empêcher toute tentative de substitution, s'il s'avérait que l'on découvre
un moyen gratuit et illimité de produire de l'énergie, ce qui serait notre
perte,
9) J'accepte que l'on condamne le meurtre de son prochain, sauf si les
états décrètent qu'il s'agit d'un ennemi et nous encouragent à le tuer,
10) J'accepte que l'on divise l'opinion publique en créant des partis de
droite et de gauche qui passeront leur temps à se combattre en me donnant
l'impression de faire avancer le système. j'accepte d'ailleurs toutes
sortes de divisions possibles, pourvu qu'elles me permettent de focaliser
ma colère vers les ennemis désignés dont on agitera le portrait devant mes
yeux,
11) J'accepte que le pouvoir de façonner l'opinion publique, jadis détenu
par les religions, soit aujourd'hui aux mains d'affairistes non élus
démocratiquement et totalement libres de contrôler les états, car je suis
convaincu du bon usage qu'ils en feront,
12) J'accepte l'idée que le bonheur se résume au confort, l'amour au sexe,
et la liberté à l'assouvissement de tous les désirs, car c'est ce que la
publicité me rabâche toute la journée. Plus je serai malheureux et plus je
consommerai : je remplirai mon rôle en contribuant au bon fonctionnement
de notre économie,
13) J'accepte que la valeur d'une personne se mesure à la taille de son
compte bancaire, qu'on apprécie son utilité en fonction de sa productivité
plutôt que de sa qualité, et qu'on l'exclue du système si elle n'est plus
assez productive,
14) J'accepte que l'on paie grassement les joueurs de football ou des
acteurs, et beaucoup moins les professeurs et les médecins chargés de
l'éducation et de la santé des générations futures,
15) J'accepte que l'on mette au banc de la société les personnes âgées
dont l'expérience pourrait nous être utile, car étant la civilisation la
plus évoluée de la planète (et sans doute de l'univers) nous savons que
l'expérience ne se partage ni ne se transmet,
16) J'accepte que l'on me présente des nouvelles négatives et terrifiantes
du monde tous les jours, pour que je puisse apprécier a quel point notre
situation est normale et combien j'ai de la chance de vivre en occident.
je sais qu'entretenir la peur dans nos esprits ne peut être que bénéfique
pour nous,
17) J'accepte que les industriels, militaires et politiciens se réunissent
régulièrement pour prendre sans nous concerter des décisions qui engagent
l'avenir de la vie et de la planète,
18) J'accepte de consommer de la viande bovine traitée aux hormones sans
qu'on me le signale explicitement. J'accepte que la culture des OGM se
répande dans le monde entier, permettant ainsi aux trusts de
l'agroalimentaire de breveter le vivant, d'engranger des dividendes
conséquents et de tenir sous leur joug l'agriculture mondiale,
19) J'accepte que les banques internationales prêtent de l'argent aux pays
souhaitant s'armer et se battre, et de choisir ainsi ceux qui feront la
guerre et ceux qui ne la feront pas. Je suis conscient qu'il vaut mieux
financer les deux bords afin d'être sûr de gagner de l'argent, et faire
durer les conflits le plus longtemps possible afin de pouvoir totalement
piller leurs ressources s'ils ne peuvent pas rembourser les emprunts,
20) J'accepte que les multinationales s'abstiennent d'appliquer les
progrès sociaux de l'occident dans les pays défavorisés. Considérant que
c'est déjà une embellie de les faire travailler, je préfère qu'on utilise
les lois en vigueur dans ces pays permettant de faire travailler des
enfants dans des conditions inhumaines et précaires. Au nom des droits de
l'homme et du citoyen, nous n'avons pas le droit de faire de l'ingérence,
21) J'accepte que les hommes politiques puissent être d'une honnêteté
douteuse et parfois même corrompus. je pense d'ailleurs que c'est normal
au vu des fortes pressions qu'ils subissent. Pour la majorité par contre,
la tolérance zéro doit être de mise,
22) J'accepte que les laboratoires pharmaceutiques et les industriels de
l'agroalimentaire vendent dans les pays défavorisés des produits périmés
ou utilisent des substances cancérigènes interdites en occident,
23) J'accepte que le reste de la planète, c'est-à-dire quatre milliards
d'individus, puisse penser différemment à condition qu'il ne vienne pas
exprimer ses croyances chez nous, et encore moins de tenter d'expliquer
notre Histoire avec ses notions philosophiques primitives,
24) J'accepte l'idée qu'il n'existe que deux possibilités dans la nature,
à savoir chasser ou être chassé. Et si nous sommes doués d'une conscience
et d'un langage, ce n'est certainement pas pour échapper à cette dualité,
mais pour justifier pourquoi nous agissons de la sorte,
25) J'accepte de considérer notre passé comme une suite ininterrompue de
conflits, de conspirations politiques et de volontés hégémoniques, mais je
sais qu'aujourd'hui tout ceci n'existe plus car nous sommes au summum de
notre évolution, et que les seules règles régissant notre monde sont la
recherche du bonheur et de la liberté de tous les peuples, comme nous
l'entendons sans cesse dans nos discours politiques,
26) J'accepte sans discuter et je considère comme vérités toutes les
théories proposées pour l'explication du mystère de nos origines. Et
j'accepte que la nature ait pu mettre des millions d'années pour créer un
être humain dont le seul passe-temps soit la destruction de sa propre
espèce en quelques instants,
27) J'accepte la recherche du profit comme but suprême de l'Humanité, et
l'accumulation des richesses comme l'accomplissement de la vie humaine,
28) J'accepte la destruction des forêts, la quasi-disparition des poissons
de rivières et de nos océans. J'accepte l'augmentation de la pollution
industrielle et la dispersion de poisons chimiques et d'éléments
radioactifs dans la nature. J'accepte l'utilisation de toutes sortes
d'additifs chimiques dans mon alimentation, car je suis convaincu que si
on les y met, c'est qu'ils sont utiles et sans danger,
29) J'accepte la guerre économique sévissant sur la planète, même si je
sens qu'elle nous mène vers une catastrophe sans précédent,
30) j'accepte cette situation, et j'admets que je ne peux rien faire pour
la changer ou l'améliorer,
31) J'accepte d'être traité comme du bétail, car tout compte fait, je
pense que je ne vaux pas mieux,
32) J'accepte de ne poser aucune question, de fermer les yeux sur tout
ceci, et de ne formuler aucune véritable opposition car je suis bien trop
occupé par ma vie et mes soucis. J'accepte même de défendre à la mort ce
contrat si vous me le demandez,
33) J'accepte donc, en mon âme et conscience et définitivement, cette
triste matrice que vous placez devant mes yeux pour m'empêcher de voir la
réalité des choses. Je sais que vous agissez pour mon bien et pour celui
de tous, et je vous en remercie.
Fait par amitié sur la Terre, le 11 septembre 2003.
Quand ils sont venus chercher les communistes, je n’ai pas protesté parce que je ne suis pas communiste.
Quand ils sont venus chercher les Juifs, je n’ai pas protesté parce que je ne suis pas Juif.
Quand ils sont venus chercher les syndicalistes, je n’ai pas protesté parce que je ne suis pas syndicaliste.
Quand ils sont venus chercher les catholiques, je n’ai pas protesté parce que je ne suis pas catholique.
Et lorsqu’ils sont venus me chercher, il n’y avait plus personne pour protester. »
MARTIN NIEMÖLLER, DACHAU
Chapitre 1
Il y eut un Maître venu sur la terre, né dans le pays sacré d'Indiana, élevé dans les montagnes mystiques, à l'est de Fort Wayne.
Le Maître apprit de ce monde dans les écoles publiques d'Indiana puis, lorsqu'il grandit, dans son métier de mécanicien d'automobiles.
Mais le Maître reçut des enseignements venant d'autres pays et d'autres écoles, venant d'autres vies qu'il avait vécues. Il se les rappelait, et, se rappelant, il devint sage et fort si bien que d'autres virent sa force et vinrent à lui pour des conseils.
Le Maître crut qu'il avait pouvoir de s'aider et d'aider toute l'humanité, et comme il avait foi, pour lui il en fut ainsi, si bien que d'autres virent sa force et vinrent à lui pour être guéris de leurs soucis et de leurs nombreuses maladies.
Le Maître crut que c'était bon pour tout homme de se penser soi-même fils de Dieu, et comme il avait foi, il en fut ainsi; et les magasins et les garages où il travaillait se remplirent et se comblèrent de ceux qui recherchaient son enseignement et son contact; et les rues à l'entour débordèrent de tous ceux qui désiraient seulement que son ombre en passant puisse tomber sur eux et changer leurs vies.
Et il advint, en raison des foules, que plusieurs contremaîtres et directeurs invitèrent le Maître à laisser ses outils et à passer son chemin, car il était serré de si près que ni lui ni aucun autre mécanicien n'avait de place pour travailler sur les automobiles.
C'est ainsi qu'il s'en fut dans la campagne, et les gens le suivirent, commençant à l'appeler Messie et faiseur de miracles; et, comme ils avaient foi, il en fut ainsi.
Si un orage survenait tandis qu'il parlait, pas une seule goutte d'eau ne tombait sur la tête de l'assistance. Le dernier dans la foule entendait ses paroles aussi clairement que le premier, quels que fussent l'éclair et le tonnerre à l'entour dans le ciel. Et toujours il s'adressait à eux en paraboles.
Et il leur dit : « Au sein de chacun de nous se trouve le pouvoir de consentir à la santé et à la maladie, à la richesse et à la pauvreté, à la liberté et à l'esclavage. C'est nous qui maîtrisons cela et nul autre. »
Un ouvrier prit la parole et dit : « Facile à dire pour toi, Maître, car tu es guidé et nous ne le sommes point et tu n'as pas besoin de faire effort comme nous faisons effort. Un homme doit travailler pour vivre dans ce monde-ci. »
Le Maître répondit : « Il y avait jadis, dans un village sur le fond d'un grand fleuve de cristal, des créatures.
« Le courant de ce fleuve glissait au-dessous de tous, jeunes et vieux, riches et pauvres, bons et méchants, et le courant allait son propre chemin, ne connaissant que sa propre nature de cristal.
« Chaque créature à sa manière, s'accrochait étroitement aux branches et aux rochers du fond du fleuve, car s'accrocher était leur mode de vie, et résister au courant, tout ce que chacun d'eux avait appris depuis sa naissance.
« Mais une créature dit à la fin : « Je suis las de m'accrocher. Bien que je ne puisse pas le voir de mes yeux, je crois que le courant sait où il va. Je lâcherai et me laisserai entraîner où il veut. À rester accroché, je mourrai d'ennui. »
« Les autres créatures éclatèrent de rire et dirent : Idiot ! Lâche donc, et ce courant que tu vénères te jettera, ballotté et meurtri, contre les rochers; tu en mourras et plus vite que d'ennui.
« Mais l'autre ne tint pas compte de ces quolibets, et retenant son souffle, il lâcha et fut aussitôt ballotté et meurtri par le courant contre les rochers.
« Or bientôt, comme il refusait de s'accrocher de nouveau, le courant le souleva et le libéra du fond, et il ne fut plus bousculé ni blessé.
« Et les créatures vivant en aval, pour lesquelles il était un étranger, se mirent à crier : Voici un miracle ! Une créature comme nous-mêmes, et pourtant elle vole ! Voici le Messie venu pour nous sauver tous !
« Et celui que le courant portait dit : Je ne suis pas plus Messie que vous. Le fleuve se plaît à nous soulever et à nous libérer, si seulement nous osons lâcher. Notre véritable tâche c'est ce voyage, cette aventure.
« Mais les autres criaient de plus belle : Sauveur ! Sauveur ! Tout en s'accrochant aux rochers, et lorsqu'ils levaient la tête une deuxième fois, celui que le courant portait s'en était allé; alors, restés seuls, ils fabriquaient des légendes à propos d'un Sauveur. »
Or il advint ceci. Il vit que la multitude s'amassait autour de lui chaque jour davantage, plus serrée, plus proche et plus féroce que jamais; il vit qu'ils le pressaient sans relâche de les guérir, et de les nourrir sans cesse par ses miracles; alors, pour apprendre pour eux et pour vivre leurs vies, il partit seul ce jour-là sur le sommet d'une montagne…
Et il dit en son cœur : Être Radieux Infini, si telle est ta volonté,
éloigne de moi cette coupe, tiens moi à l'écart de cette tâche
impossible. Je ne peux pas vivre la vie d'une seule autre âme, et voici
que dix-mille implorent de moi la vie. Je regrette d'avoir permis à tout
cela d'advenir.
Si telle est ta volonté, laisse moi retourner à mes moteurs et à mes
outils, et permets-moi de vivre comme les autres hommes.
Et une voix lui parla sur le sommet de la montagne, une voix ni mâle ni femelle, ni forte ni faible, une voix infiniment douce. Cette voix lui dit : Ta volonté soit faîtes, non la mienne. Car ce qui est ta volonté est ma volonté pour toi. Va ton chemin comme les autres hommes et sois heureux sur la Terre.
Et le Maître entendit cela et s'en réjouit ; il rendit grâce, puis redescendit du sommet de la montagne en fredonnant une petite chanson de mécanicien. Et lorsque la foule le pressa de ses doléances, l'implorant de guérir pour elle, d'apprendre pour elle, de la nourrir sans cesse de son savoir et de la distraire avec ses merveilles, il sourit à la multitude et il leur dit plaisamment : J'abandonne .
Pendant un instant la multitude demeura sans voix, frappée de stupeur.
Et il leur dit : Si un homme disait à Dieu qu'il désire plus que tout aider le monde souffrant, quel qu'en soit le prix pour lui-même, et si Dieu répondait et lui disait ce qu'il doit faire, cet homme devrait-il faire ce qui lui a été dit ?
Bien sûr Maître ! cria la foule. Ce devrait être un plaisir pour lui de souffrir toute les tortures de l'enfer même, Dieu l'ayant demandé.
Quelles que soient ces tortures ? Quelles que soit la difficulté de la tâche ?
Quels honneur d'être pendu ! Quelle gloire d'être cloué à un arbre et brûlé si c'est là ce que Dieu a demandé dirent-ils.
Et que feriez-vous, dit le Maître à la multitude si Dieu vous parlait droit dans les yeux et disait : JE VOUS COMMANDE D'ÊTRE HEUREUX DANS LE MONDE AUSSI LONGTEMPS QUE VOUS VIVREZ, que feriez-vous dans ce cas ?
Et la multitude demeura silencieuse ; pas une voix, pas un son ne s'éleva des pentes de collines, par dessus la vallée où ils se tenaient.
Et le Maître dit au silence : C'est en suivant le chemin de notre bonheur que nous recevons l'enseignement pour lequel nous avons choisi cette vie. Voilà ce que j'ai appris en ce jour, et j'ai choisi de vous laisser maintenant, pour que vous marchiez sur votre propre voie, selon ce qu'il vous plaira.
Et il alla son chemin à travers les foules et les quitta, puis il retourna au monde quotidien des hommes et des machines.
Ne changez pas vos croyances parce que vous voudriez que d'autres gens
changent les leurs. Changez vos croyances parce que vos nouvelles
croyances annoncent plus exactement qui vous êtes.
Pourtant, même pendant que vous modifiez vos croyances, ne soyez pas
surpris si d'autres gens changent, et si le monde change autour de vous.
Car votre changement agira comme un catalyseur dans la production de
changement chez les autres. Non pas parce que vous aurez cherché à
produire des changements, mais, plus probablement, parce que vous ne
l'aurez pas cherché.
Les gens ne changent pas parce qu'on leur dit de changer. Les gens
peuvent modifier temporairement leur comportement parce que ceux qui ont
un pouvoir sur eux leur ont dit de le faire, mais ce n'est pas un
véritable changement. C'est plutôt un changement superficiel de
comportement en surface. Mais la Vérité intérieure n'a pas bougé.
Dès que le pouvoir qui était exercé sur eux a été levé, ou ne peut plus
être exercée, les comportements reviennent à ce qui est motivé par leur
vérité intérieure.
Le parent de chaque adolescent sait cela.
Le Changement est un acte de liberté, pas un acte de respect.
L'obéissance n'est pas la création, et la création est le seul acte de
l'évolution.
Ne Cherchez donc pas à changer le monde. Chercher à ÊTRE le changement
que vous souhaitez voir dans le monde.
N.D.Walsch dans nouvelles révélations
Les commentaires de Gitta Mallazs sont en italiques, la lettre
L. Signifie que la question est posée par Lili.
Les textes sans autre mention émanent directement de l'ange, les capitales
signalant un moment d'intensité particulière.
Lili: Pouvons-vous
quelque chose contre les horreurs de la guerre ?
Lili est arrêtée net par un geste fulgurant de défense.
- NON ! LA GUERRE EST L'HABITUEL.
IMPOSSIBLE DE LUTTER CONTRE LE PASSE.
TOURNEZ-VOUS VERS LE JAMAIS-ENTENDU !
Je comprends que seule la Force nouvelle à venir peut transformer le
vieil instinct de tuer.
Tu te mens encore.
Le mensonge est peur.
Mais tu n'as pas de raison d'avoir peur.
Sois attentive !
Le chemin n'est pas pesant...
Sois légère !
(...)
Si c'est pesant pour toi, tu t'égares.
La ville est coquille vide,
elle n'est plus, elle est malédiction pétrifiée,
même sa poussière est malédiction,
car rien n'y pousse.
Je vais te dire un secret :
La LUMIERE est la même que la lumière,
seule l'intensité est différente.
JE NE SUIS PRESENT QUE DANS LA JOIE.
Le vrai sentiment est immobile,
IL AIME TOUT ET RAYONNE.
Chacun est responsable de sa propre voix.
Ainsi elle ne peut pas être fausse.
Le Destructeur ne peut pas s'y glisser -
Seul dans le faux il le peut.
LA PAROLE EST PORTEUSE DE LUMIERE.
LA PAROLE VRAIE A SON POIDS.
LA PAROLE MENSONGERE EST SANS POIDS.
Le Destructeur se réjouit de la faille,
lui, le père de tous les mensonges,
il effrite, démolit.
Ce n'est pas la violence qui détruit les murs,
mais le mensonge.
L'ILLUMINATION, C'EST S'ÉLEVER AU-DELÀ DE LA PENSÉE
La pensée n'est-elle pas indispensable pour survivre en ce monde ?
Votre mental est un outil, un instrument qui est là pour servir à
l'accomplissement d'une tâche précise. Une fois cette tâche effectuée,
vous déposez votre outil. Je dirais ceci : telles que sont les choses,
environ quatre-vingt à quatre-vingt-dix pour cent de la pensée chez
l'humain est non seulement répétitive et inutile, mais aussi en grande
partie nuisible en raison de sa nature souvent négative et
dysfonctionnelle.
Il vous suffit d'observer votre mental pour constater à quel point cela
est vrai. La pensée involontaire et compulsive occasionne une sérieuse
perte d'énergie vitale. Elle est en fait une accoutumance.
Et qu'est-ce qui caractérise une habitude ? Tout simplement le fait que
vous sentiez ne plus avoir la liberté d'arrêter. Elle semble plus forte
que vous. Elle vous procure également une fausse sensation de plaisir
qui se transforme invariablement en souffrance.
Pourquoi serions-nous des drogués de la pensée ?
Parce que vous êtes identifiés à elle et que cela veut dire que vous
tirez votre sens du moi à partir du contenu et de l'activité du mental.
Parce que vous croyez que si vous vous arrêtez de penser, vous cesserez
d'être. Quand vous grandissez, vous vous faites une image mentale de qui
vous êtes en fonction de votre conditionnement familial et culturel. On
pourrait appeler ce « moi fantôme », l'ego. Il se résume à l'activité
mentale et ne peut se perpétuer que par l'incessante pensée. Le terme «
ego » signifie diverses choses pour différentes gens, mais quand je
l'utilise ici, il désigne le faux moi créé par l'identification
inconsciente au mental.
Aux yeux de l'ego, le moment présent n'existe quasiment pas, car seuls
le passé et le futur lui importent. Ce renversement total de la vérité
reflète bien à quel point le mental est dénaturé quand il fonctionne sur
le mode « ego ». Sa préoccupation est de toujours maintenir le passé en
vie, car sans lui qui seriez-vous ? Il se projette constamment dans le
futur pour assurer sa survie et pour y trouver une forme quelconque de
relâchement et de satisfaction. Il se dit : « Un jour, quand ceci ou
cela se produira, je serai bien, heureux, en paix. »
Même quand l'ego semble se préoccuper du présent, ce n'est pas le
présent qu'il voit. Il le perçoit de façon totalement déformée, car il
le regarde à travers les yeux du passé. Ou bien il le réduit à un moyen
pour arriver à une fin, une fin qui n'existe jamais que dans le futur
projeté par lui. Observez votre mental et vous verrez qu'il fonctionne
comme ça.
Le secret de la libération réside dans l'instant présent. Mais vous ne
pourrez pas vous y retrouver tant et aussi longtemps que vous serez
votre mental.
Vous n’êtes pas votre mental Je ne veux pas perdre ma capacité d'analyse
et de discernement. Je ne suis pas contre le fait d'apprendre à penser
plus clairement, de façon plus pénétrante, mais je ne veux pas perdre ma
tête. Le don de la pensée est la chose la plus précieuse que nous ayons.
Sans elle, nous ne serions qu'une autre espèce animale.
La prédominance de la pensée n'est rien d'autre qu'une étape dans
l'évolution de la conscience. Il nous faut passer à l'étape de toute
urgence. Sinon, le mental nous anéantira, car il est devenu un véritable
monstre. Je reparlerai de ceci plus en détail un peu plus loin. Pensée
et conscience ne sont pas synonymes.
La pensée n'est qu'un petit aspect de la conscience et elle ne peut
exister sans elle. Par contre, la conscience n'a pas besoin de la
pensée.
Atteindre l'illumination signifie s'élever au-delà de la pensée, ne pas
retomber à un niveau situé en dessous de la pensée, soit celui du règne
végétal ou animal. Quand vous avez atteint ce degré d'éveil, vous
continuez à vous servir de votre pensée au besoin. La seule différence,
c'est que vous le faites de façon beaucoup plus efficace et pénétrante
qu'avant. Vous vous servez de votre mental principalement pour des
questions d'ordre pratique. Vous n'êtes plus sous l'emprise du dialogue
intérieur involontaire, et une paix profonde s'est installée. Lorsque
vous employez le mental, en particulier quand vous devez trouver une
solution créative à quelque chose, vous oscillez toutes les quelques
minutes entre la pensée et le calme, entre le vide mental et le mental.
Le vide mental, c'est la conscience sans la pensée. C'est uniquement de
cette façon qu'il est possible de penser de manière créative parce que
c'est seulement ainsi que la pensée acquiert vraiment un pouvoir.
Lorsqu'elle n'est plus reliée au très grand royaume de la conscience, la
pensée seule devient stérile, insensée, destructrice.
Essentiellement, le mental est une machine à survie. Attaque et défense
face à ses « congénères », collecte, entreposage et analyse de
l'information, voilà ce à quoi le mental excelle, mais il n'est pas du
tout créatif. Tous les véritables artistes, qu'ils le sachent ou pas,
créent à partir d'un état de vide mental, d'une immobilité intérieure.
Puis, c'est le mental qui donne forme à l'impulsion
ou à l'intuition créative. Même les plus grands savants ont rapporté que
leurs percées créatives s'étaient produites dans des moments de quiétude
mentale.
Une enquête effectuée à l'échelle nationale auprès des plus éminents
mathématiciens américains, Einstein y compris, a donné des résultats
surprenants.
Questionnés au sujet de leurs méthodes de travail, ils ont répondu que
la pensée ne « jouait qu'un rôle secondaire à l'étape brève et
déterminante de l'acte créa tif lui-même'». Je dirais donc que la simple
raison pour laquelle la majorité des scientifiques ne sont pas des gens
créatifs, c'est qu'ils ne savent pas s'arrêter de penser et non pas
qu'ils ne savent pas comment penser !
Ce n'est pas la pensée, le mental, qui est à l'origine du miracle de la
vie sur terre ou de votre corps. Et ce n'est pas cela non plus qui les
sustente. De toute évidence, il y a là l’œuvre une intelligence qui est
bien plus grande que le Le pouvoir du moment présent mental. Comment une
seule cellule humaine mesurant 1/2500 de centimètre de diamètre
peut-elle contenir dans son ADN des informations qui rempliraient un
millier de livres de six cents pages chacun ? Plus nous en apprenons au
sujet du fonctionnement du corps, plus nous réalisons le caractère
grandiose
de l'intelligence qui est à l’œuvre en lui et la petitesse de notre
savoir. Lorsque le mental se remet en contact avec cette réalité, il
devient le plus merveilleux des outils et sert alors une cause bien plus
grande que lui.
LES ÉMOTIONS, UNE RÉACTION DU CORPS AU MENTAL
Qu'en est-il des émotions ? Je me laisse plus souvent prendre par mes
émotions que par mon mental.
Dans le sens selon lequel j'emploie le terme, le mental ne fait pas
seulement référence à la pensée. Il comprend également vos émotions
ainsi que tous les schèmes réactifs inconscients mettant en rapport
pensées et émotions.
Les émotions naissent au point de rencontre du corps et du mental. Une
émotion est la réaction de votre corps à votre mental, ou encore le
reflet de votre mental dans le corps. Par exemple, une pensée agressive
ou hostile crée dans le corps une accumulation d'énergie que nous
appelons colère. Le corps s'apprête à se battre. La pensée d'être menacé
physiquement ou psychologiquement
occasionne une contraction dans le corps. C'est l'aspect physique de ce
que nous appelons la peur. Les recherches ont prouvé que les émotions
fortes peuvent même modifier la biochimie du corps. Ces modifications
biochimiques constituent l'aspect physique ou matériel de l'émotion.
Bien sûr, vous n'êtes généralement pas conscient de tous vos schèmes de
pensée et ce n'est souvent qu'en observant vos émotions que vous pouvez
les amener à la conscience.
Plus vous vous identifiez à vos pensées, à vos goûts, à vos jugements et
à vos interprétations, c'est-à-dire moins vous êtes présent en tant que
conscience qui observe, plus grande sera la charge émotionnelle. Et
ceci, que vous en soyez conscient ou non. Si vous ne réussissez pas à
ressentir vos émotions, si vous en êtes coupé, vous en ferez
l'expérience sur un plan purement physique, sous la forme d'un problème
ou d'un symptôme physique. Étant donné qu'on a écrit énormément sur ce
sujet au cours des dernières années, nous n'avons pas besoin de nous y
attarder. Un profond schème émotionnel inconscient peut même se
manifester sous la forme d'un événement qui semble simplement vous
arriver. Par exemple, j'ai observé que les gens qui portent
inconsciemment en eux une grande colère et qui ne l'expriment pas sont
plus susceptibles de se faire attaquer verbalement ou physiquement par
d'autres gens pleins de colère, souvent sans raison évidente. Il émane
de ces premiers une forte vibration de colère qui entre en résonance
avec la colère d'autres personnes et qui la déclenche.
Vous n’êtes pas votre mental Si vous avez de la difficulté à ressentir
vos émotions, commencez par centrer votre attention sur le champ
énergétique de votre corps. Sentez votre corps de l'intérieur. Ceci vous
mettra aussi en contact avec vos émotions.
Nous explorerons cela plus en détail plus tard.
À suivre …
Mais que sont ces étoiles qui vont tomber ?
N’est ce pas ce que nous avons mis au plus haut ?
La science par exemple (j’entends la science matérialiste) en effet le
mythe de la sciences triomphante qui va tout solutionner commence à
s'effriter, personne ne peut nier que la science nous a fait faire des
progrès, mais c'est aussi la science qui nous a permis de détruire notre
environnement en développant notre technologie. Il reste vrai que
science sans conscience n'est que ruine de l'âme.
Autre exemple : La religion, j’entends surtout par la la religion
dominante dans notre pays à savoir la religion catholique qui est
certainement la religion la plus carnassière qui ai jamais existé. elle
a réussi à transformer le message d'amour du christ en une vaste
entreprise de domination de l'homme par (certains) hommes, n'hésitant
pas à exterminer au fil des siècles tous les courants de pensée
spirituels qui la dépassaient (inquisition). Vous me direz
qu'aujourd’hui elle s'est calmée et montre patte de velours mais je
pense que les instincts carnassiers demeurent sous la tiède apparence
(sans parler de son attitude et son laxisme par rapport aux problèmes du
sexe).
Ma mère me témoignait qu'étant jeune, elle était menacée par sa mère de
vivre toute sa vie dans les flammes de l'enfer si elle était
désobéissante ! donc cela est encore très récent dans l'histoire !
Heureusement de plus en plus de gens se détournent d'une telle
terreur et même en étant revenu à des message d'apparence plus douce, la
chute continue. Cela n'empêche pas que l'on trouve des hommes d'église
ici ou la qui sont vraiment admirables (mais aveugles quand à leur
institution)
Le troisième grand exemple est la politique. le communisme s'est déjà
presque écroulé, le capitalisme commence à vaciller et même la
démocratie est en crise. De plus en plus de gens se détournent des
institutions politiques traditionnelles complètement engluées dans des
conservatismes et des schémas de pensée d'un autre âge. En face de ça,
les mouvements alternatifs comme les alter mondialistes ou les
écovillageois n'arrivent pas à créer un réel effet d'entraînement, eux
mêmes restant dans des schémas très matérialistes .
L'art lui même n'est il pas en décomposition ? je vous laisse juge.
Naturellement toutes ces hécatombes ne sont que les signes avant
coureurs d'un réel renouveau car la suite du message est qu'il y aura un
nouveau ciel et une nouvelle terre
01- Tu t’acceptes tel que tu es et tu t’aimes afin de te rendre
meilleur.
02- Tu t’affranchis de tout sentiment de culpabilité tout en
reconnaissant tes erreurs.
03- Tu t’observes en permanence et avec lucidité.
04- Tu acceptes les émotions, mais sans t’y complaire, et tu en es le
maître.
05- Ta personnalité est plus importante que ton apparence.
06- Tu penses par toi-même et non en fonction de la pensée des autres.
07- Tu exprimes sans crainte ta nature profonde en agissant conformément
à ta propre réalité.
08- Tu es conscient de l’ange en toi comme aussi de la bête.
09- La fidélité à tes valeurs est supérieure à ton vécu immédiat.
10- Tu acceptes comme une simple information ce qu’on t’affirme mais que
tu ne peux pas vérifier.
11- Tu portes une appréciation sur une information seulement après
vérification ou expérimentation.
12- Ta parole est ferme et précise car elle exprime ta juste pensée.
13- Tu acceptes de blesser ton prochain si la cause est juste et
profitable à tous ou à lui-même.
14- Tu vis dans l’équilibre et l’harmonie, et tu fais pleinement ce que
tu fais.
15- Tu es sans préjugés et sans à-priori.
16- Tu donnes ou reçois, tu acceptes ou refuses, cela d’un même cœur et
uniquement parce que tu estimes que c’est juste de le faire.
17- Ta conscience vole au dessus des conditionnements et des limitations
que se donnent les humains.
18- Lucide et unifié, tu décides, tu expérimentes et tu assumes.
19- Adulation et flatteries comme insultes et haine laissent ton pas sûr
et ton regard serein.
20- Ta conscience est ton seul maître, ton seul guide, ton seul juge.
21- Tu aimes la Vie car tu en es une manifestation unique et précieuse à
ses yeux.
22- Ta compassion pour l’humanité te permet de comprendre ses faiblesses
et t’incite à lui tendre la main.
Les choses qui s'écroulent sont une sorte d'épreuve, mais aussi
une sorte de guérison.
Pema Chödrön
Prendre pour permanent ce qui n'est que transitoire est comme l'illusion
d'un fou.
Kalou Rinpotché
Un mot prononcé avec bienveillance engendre la confiance.
Une pensée exprimée avec bienveillance engendre la profondeur.
Un bienfait accordé avec bienveillance engendre l'amour.
Lao Tseu
On dit souvent qu’il n’y a pas d’erreur dans la Voie.
Quoiqu’il arrive est supposé arriver, c’est la volonté Divine.
Dalaï Lama
Quand votre esprit est étroit, les petites choses vous agitent facilement.
Faites de votre esprit un océan.
Lama Thubten Yeshe
Produire et faire croître, produire sans s'approprier,
Agir sans rien attendre, guider sans contraindre, c'est la vertu suprême.
Lao Tseu
Il y a plus de larmes versées sur la terre qu'il n'y a d'eau dans l'océan.
Bouddha
Notre vie n'est qu'un rêve ...
Les gens souffrent à cause de leur esprit empli d'illusions, de folies et
de peurs ;
mais tout cela n'est qu'images dans un miroir, sans réelle existence.
Taisen Deshimaru
Rien à faire Rien à forcer Rien à vouloir
Et tout se fait tout seul.
Guendune Rinpoché
J’ai regardé au loin .J’ai vu quelque chose qui bougeait .Je me suis
approché
J’ai vu un animal .Je me suis encore approché. J’ai vu un homme .
Je me suis encore approché .Et j’ai vu que c’était mon frère.
Parabole du Tibet
Nous devrions chaque matin avoir pour première pensée
le désir de consacrer la journée qui commence au bien-être de tous
Dilgo Khyentsé Rinpotché
Ceux qui savent ne parlent pas. ceux qui parlent ne savent pas.
Lao Tseu
Si tu veux vivre heureux, promène-toi avec deux sacs,
l'un pour donner, l'autre pour recevoir.
Proverbe chinois
Ce qui est sain est simple
René Mey
Ne priez pas pour être protégé des dangers mais pour pouvoir les
affronter.
Rabindranath Tagore
Ainsi va la vie : elle nous propose une version de l'existence sans point,
ni virgule,
c'est à nous de la ponctuer... et c'est cette ponctuation qui fera toute
la différence.
Dariosah
Servir le passage … voilà le défi !
Michel Arcturius
Si tu es d'accord, aime-moi.
Si tu n'es pas d'accord, aime-moi plus fort encore.
Amadou Hampaté Ba
Ceux qui font du mal aux autres sont sous l'emprise de trois poisons
mentaux :
l'ignorance, la haine et le désir et ils ne contrôlent pas leur esprit.
Dalaï- Lama
Vous ne pouvez pas trouver le surnaturel sans passer par la nature
Arnaud Desjardins
Cultivons l’amour et la compassion, ces deux choses qui donnent
véritablement un sens à la vie. Le reste est accessoire.
Voilà la religion que je prêche, davantage que le bouddhisme. Elle est
simple.
Son temple, c’est le cœur. Sa doctrine, l’amour et la compassion.
Sa morale, aimer et respecter les autres, quels qu’ils soient.
Principes du Dalaï Lama
Oeil pour œil Et le monde Finira Aveugle
Ghandi
Si tu peux voir détruit l’ouvrage de ta vie
Et sans dire un seul mot te mettre à rebâtir,
Ou perdre en un seul coup le gain de cent parties
Sans un geste et sans un soupir,
Si tu peux être amant sans être fou d’amour ;
Si tu peux être fort sans cesser d’être tendre
Et , te sentant haï, sans haïr à ton tour,
Pourtant lutter et te défendre ;
Si tu peux supporter d’entendre tes paroles
Travesties par des gueux pour exciter des sots,
Et d’entendre mentir sur toi leurs bouches folles,
Sans mentir toi-même d’un mot ;
Si tu peux rester digne en étant populaire,
Si tu peux rester peuple en conseillant les Rois
Et si tu peux aimer tous tes amis en frères,
Sans qu’aucun d’eux soit tout pour toi ;
Si tu sais méditer, observer et connaître,
Sans jamais devenir sceptique ou destructeur
Rêver, sans laisser ton rêve être ton maître,
Penser, sans n’être qu’un penseur ;
Si tu peux être dur sans jamais être en rage,
Si tu peux être brave et jamais imprudent,
Si tu peux être bon, si tu sais être sage,
Sans être moral ni pédant ;
Si tu peux rencontrer triomphe après défaite
Et recevoir ces deux menteurs d’un même front,
Si tu peux conserver ton courage et ta tête
Quand tous les autres les perdront ;
Alors les Rois, les Dieux, la Chance et la Victoire
Seront à tout jamais tes esclaves soumis
Et, ce qui vaut bien mieux que les Rois et la Gloire,
Tu seras un Homme, mon fils.
Rudyard KIPLING
Au nom de quelle philosophie, au nom de quelle morale un couple devrait
il durer ?
Je pose la question sans avoir de réponse, ce qui ne remet pas question
la critique du consumérisme faite par Lena_27
[Début de citation]
Les couples cassent en partie parce que la société dans laquelle on vit
nous pousse à une perpétuelle insatisfaction, en nous faisant miroiter
l'idéal d'un mieux-être à portée de main (en gros, celui qui se contente
de peu est un looser, puisque la modernité est - soi -disant -
susceptible de lui fournir assez facilement ce dont il rêve, pour peu
qu'il s'en donne les moyens)... Tu fais l'amour une fois par semaine ?
Ma pauvre, ton homme te néglige, la moyenne nationale est de 3...Ton mec
a pris 10 kilos ? Dégage-le, c'est qu'il n'a pas de volonté (avec Alli,
plus d'excuses) On est devenu incapable de supporter un instant de
silence ou d'inactivité à deux, parce qu'on se dit que c'est le symptôme
du dépérissement du couple (un couple moderne normal est un couple actif
: cf modèle Bruni/Sarkozi ) Un auteur, dont je tairai le nom (parce
qu'on va finir par se rendre compte que je ne cite que lui lol) dit dans
son livre que pour qu'un couple dure, il faut auparavant que chacun
accepte de se faire chier à deux. Il faut cesser de vouloir meubler,
combler (l'absence, le silence) et accepter le vide comme une composante
normale et essentielle de la vie (vie en couple, mais aussi en solo).
Après, l'autre impératif en vogue comme je le disais, c'est de vouloir
trouver mieux - démarche basée sur des critères purement subjectifs (
mieux à quel niveau ? plus beau ? plus riche ? plus drôle ? etc etc) et
totalement vaine puisque, à moins de se taper toute la planète, on
n'aura jamais la certitude d'avoir choisi le/la meilleur(e).
Facile à dire, quand on est soi même victime du consumérisme
ambiant...Je pense que, pour qu'un couple dure, il faut beaucoup de
sagesse et de lucidité....la notion de devoir , qui constituait une
valeur suffisante pour nos grands-parents, n'a désormais plus de sens.
Enfin, les gens se jettent trop facilement dans une vie de couple
(toujours en vertu de cet impératif moderne : si t'es seul, c'est que
t'es un râté), sans avoir réellement pris le temps de savoir si l'être
élu leur correspondait vraiment. D'où la séparation, inévitable.
[Fin de citation]
Lorsqu'il n'y a plus d'affinités, plus de désir, rester pour se
sacrifier est ce de l'amour ?
Comme image du couple, j'ai celle d'un grand feu ou brûlent de
nombreuses bûches, si on retire une bûche du feu et qu'on la pose à une
certaine distance, elle va s'éteindre, si par contre on prend deux
bûches et qu'on les pose en vis à vis à une certaine distance du feu,
elle vont s'entretenir mutuellement et continuer de brûler. C'est ça la
magie du couple, être capable pour chacun d'entretenir le feu de l'autre
la ou seul il périrait.
Naturellement, un être humain est infiniment plus complexe qu'une bûche,
on pourrait dire qu'il est composé de plusieurs feux, le physique, le
mental, l'émotionnel, le spirituel.
Quand un couple se forme, il y a souvent un ou deux plans dans lesquels
les échanges sont très forts et viennent masquer les déficits des autres
plans. Au bout d'un certain temps, une fois les feux principaux
consumés, les déficits deviennent évidents et quelquefois
insupportables.
Cela devrait nous inciter à plus de sagesse, c'est à dire à ne pas nous
déterminer uniquement par les feux de la passion dont on sait qu'ils ne
durent pas, sauf s'il y a à coté des potentiels d'accomplissement qui
vont progressivement faire passer les échanges passionnels vers des
échanges plus raisonnés.
Sans en revenir aux mariages arrangés de l'ancien temps, il faut
constater que les mariages par passion de notre époque moderne
conduisent à un nombre considérable de divorces. La morale de conclusion
serait peut être : Connais toi toi même et tu connaîtra un couple
heureux
La citation originale étant : Connais toi toi même et tu connaîtra
l'univers et les dieux Mais peut on se connaître soi faire sans faire
l'expérience du couple et peut on éviter de faire des erreurs avant de
trouver la vérité ?
Le couple n'est il pas le passage obligé pour retrouver notre unité ou
notre divinité originelle ?
1 J'abandonne chacune de mes attentes à propos de mon évolution
spirituelle et de mes progrès. Je vis chaque jour dans le moment en
concentrant mes efforts sur un but : ramener l'équilibre et l'harmonie
dans mon corps, mon esprit et mes émotions, le tout avec mon sur-moi
2 Je romps tous les accords avec ma mère, mon père, mes enfants, mes
beaux-enfants, mon mari (ou ma femme), mon ex-femme (ou ex-mari) ou toute
autre personne qui me retiendrait dans la réalité de la 3ème dimension.
3 J'abandonne tous concepts invalides à propos de ma valeur, de ma
perception de l'Amour, de la Joie, de la Paix, de la Sécurité, de
l'Harmonie, de l'Abondance, de la Créativité, de la vitalité, de la
Jouvence, de la Santé et du Bien-être, de la Vieillesse et de la Mort.
4 J'abandonne ce besoin de vouloir sauver le monde ou toute autre personne
s'y trouvant. Je réalise que ma mission est d'accepter ma maîtrise et de
vivre comme un exemple vivant et aimant pour tous sans attente aucune de
leur part.
5 Je me libère de tout pré conditionnement et de mémoires cellulaires à
propos de ma forme corporelle. Je réclame mon droit divin à la beauté, à
la vitalité, la santé et le bien-être sachant qu'ils sont mon état naturel
et que je n'ai qu'à suivre les incitations de l'esprit pour manifester
cette perfection .
6 J'abandonne toute attente à propos de ma créativité et de mon travail.
Je travaille et crée pour le plaisir et je sais que l'abondance et les
ressources viennent de l'Esprit et de ma foi en moi, pas uniquement de mes
efforts.
7 J'abandonne tout élément de la 3ème dimension que les structures
gouvernementales ou autres veulent m'imposer. Ils ne me contrôlent pas,
tout comme ils ne contrôlent pas mon abondance ou ma sécurité. Je suis
totalement capable de manifester la sécurité, d'être indépendant et en
contrôle de ma propre destinée.
8 Je me libère de tout résidu ou dette karmiques ainsi que des énergies
inadéquates se trouvant en moi ainsi que dans les corps physique,
émotionnel et astral. Je résous tous les conditionnements avec grâce et
aisance pour étendre la lumière et rejoindre les co-créateurs du Paradis
sur Terre.
9 Je me libère de toutes conceptions erronées à propos de ma capacité à
attirer la connaissance, la sagesse et des informations pertinentes en
provenance de l'Esprit et des dimensions suprêmes. J'attire ainsi de
nouvelles connaissances, concepts et sagesse afin d'apprendre, grandir et
servir d'exemple vivant.
10 J'abandonne tout jugement, toute idée préconçue ou attente des Autres,
sachant qu'ils sont à leur place et évolution parfaites. Je leur donne
l'Amour et les encouragements et me contente de leur offrir les
informations seulement quand ils me le demandent en prenant la précaution
de leur rappeler que ma vérité peut ne pas être la leur.
Bravo pour la comparaison entre la tour de babel et celle de DUBAI, sur ma
page web concernant le caducée,
je fais un détail sur le sens symbolique de la verticale, symbole de
puissance.
Il semble que nous soyons en train de revivre en accéléré les grands
épisodes de l'ancien et même du nouveau testament
Le déluge : Fonte des glaciers et réchauffement climatique qui
entraînera la montée du niveau des mers
Le peuple juif en esclavage chez pharaon : tous les travailleurs
du capitalisme se font exploiter au profit d'un petit nombre
Cain tue Abel : les hommes s’entre tuent en masse (les guerres du
20 ème siècle ont été terrifiantes)
L'épisode du veau d'or : les hommes modernes laissent tomber les
anciennes valeur de spiritualité et se donnent à fond à la consommation de
biens matériels, source de plaisir immédiat et facile.
La conquête de la terre promise : Les hommes politiques et leurs
valets les scientifiques matérialistes promettent des lendemains qui
chantent (de la croissance) à qui veut bien les entendre.
David tue Goliath : la vérité et l'amour fissent par triompher dans
le cœur et l'esprit des hommes (cet épisode est pour l'instant en
préparation).
Il semble que l'enseignement de la bible soit plus symbolique que
historique, il y aurait des grands cycles qui nous font jouer les mêmes
scénarios à des époques différentes et à des amplitudes différentes.
Les gens sont déraisonnables,illogiques et égocentriques Aimez-les tout de
même !
Si vous faites le bien, les gens vous prêtent des motifs égoïstes ou
calculateurs Faites le bien tout de même !
Si vous réussissez, vous gagnerez de faux amis et de vrais ennemis
Réussissez tout de même !
Le bien que vous faites sera oublié demain Faites le bien tout de même !
L'honnêteté et la franchise vous rendent vulnérable Soyez honnête et franc
tout de même !
Ce que vous avez mis des années à construire peut être détruit du jour au
lendemain Construisez tout de même !
Les pauvres ont vraiment besoin de votre secours mais certains peuvent
vous attaquer si vous les aidez Aidez-les tout de même !
Si vous donnez au monde le meilleur de vous-même vous risquez d'y laisser
des plumes Donnez ce que vous avez de mieux tout de même.
Un simple copain, quand il vient chez toi, agit comme un invité.
Un véritable ami ouvre ton frigo et se sert.
Un simple copain ne t'as jamais vu pleurer.
Un véritable ami a les épaules trempées de tes larmes.
Un simple copain ne connaît pas les prénoms de tes parents.
Un véritable ami a leurs numéros de téléphone dans son carnet d'adresses.
Un simple copain apporte une bouteille de vin à tes fêtes.
Un véritable ami arrive tôt pour t'aider à cuisiner et reste tard pour
t'aider à nettoyer.
Un simple copain déteste quand tu appelles après qu'il soit allé se
coucher.
Un véritable ami te demande pourquoi tu as mis tant de temps à appeler.
Un simple copain pense que l'amitié est finie quand vous avez une dispute.
Un véritable ami t'appelle après une dispute.
Un simple copain s'attend que tu sois toujours là pour lui.
Un véritable ami est toujours là pour toi.
Un simple copain lit ce message et le supprime.
Un véritable ami le fait passer et te le renvoie.
Bonjour à tous
le temps de la dénonciation de l'arnaque de la grippe A est terminé.
Le temps de la dénonciation du danger du vaccin est terminé.
Le temps de la mise en garde des médicaments contre la grippe A est
terminé.
Le temps de la colère est terminé.
Le temps de la peur est terminé.
Le temps est venu de co-créer une nouvelle réalité.
Le temps est venu de co-créer le plus grand flop de l'histoire de la
manipulation !
Oui ! Visualisons tous ce grand flop ! Visualisons ce fiasco !
Dès aujourd'hui parlons de ce grand flop ! Parlons de ce fiasco !
Il est temps d'utiliser le pouvoir, la puissance de nos pensées, tous
ensemble réunis.
Une seule pensée commune : le canular est déjoué. Le flop est réalité.
Personne n'est vacciné. Cela n'est plus utile. La vie reprend de plus
belle.
Les humains reprennent espoir en demain et confiance en eux comme jamais
dans l'histoire
Les humains découvrent enfin leur pouvoir suprême et cessent d'être des
moutons.
Les humains deviennent des Hommes.
Des Hommes Libres. Libérés de la peur. Libérés des manipulateurs.
Libérés de la limitation.
Vous rêvez,comme moi, d'un monde rénové ? D'un monde en relation avec
le Cœur ? Un monde enfin Humain ?
Alors rêvons de ce monde chaque jour, visualisons le chaque jour,
plusieurs fois par jour.
Affirmons le dans nos paroles, affirmons le dans nos actes.
Le temps est venu à la Lumière de prendre place et d'éclairer l'ombre et
celle-ci alors naturellement disparaîtra.
Elle disparaît déjà laissant place à plus de Lumière. Plus de Joie. Plus
de Cœur. Plus d'Amour. Plus d'Humanité.
Le temps est venu de co-créer le plus beau des mondes. Passons en
vitesse 5 !
Commençons dès maintenant, tout de suite !
Faites circuler ce mail !
Internet va amplifier notre co-création.
Nous avons l'outil le plus puissant disponible et gratuit pour faire de
ce flop, de ce fiasco la preuve de notre pouvoir.
La libération commence maintenant !
Avec le cœur, le courage et l'amour.
Anne GIVAUDAN
Qu'est ce qui vous surprend le plus dans l'humanité ? Il a répondu :
Les hommes...
parce qu'ils perdent la santé pour accumuler de l'argent, ensuite ils
perdent de l'argent pour retrouver la santé...
et penser anxieusement au futur,
ils oublient le présent de telle sorte qu'ils finissent par ne vivre ni
le présent ni le futur...
ils vivent comme s'ils n'allaient jamais mourir
et meurent comme s'ils n'avaient jamais vécu.
Considérez la construction d'une maison, toute la structure (les
fondations, les murs et le toit) s'unissent pour que l'on puisse au
final
mettre une ampoule électrique au sommet du plafond, mais la, l'ampoule
va éclairer toute la maison, toutes les parties vont en profiter
La morale est que le tout peut se mobiliser pour favoriser une partie,
sachant que cette partie rendra service à tous (à toutes les parties du
tout)
Il peut acheter une maison
Mais pas un foyer
Il peut acheter un lit
Mais pas le sommeil
Il peut acheter une horloge
Mais pas le temps
Il peut acheter un livre
Mais pas la connaissance
Il peut acheter une position
Mais pas le respect
Il peut payer le médecin
Mais pas la santé.
Il peut acheter du sang
Mais pas la vie
Il peut acheter du sexe
Mais pas de l'amour
J'entends beaucoup de gens proposer une vision comptable du problème :
A quel âge, combien d'année de cotisation, quel taux de prélèvement
mettre ici ou la ?
Cette vision ne serait elle que la partie visible de l'iceberg ?
Pour ma part je me pose d'autres questions
Pourquoi tant de gens partent le matin au travail la peur au ventre et
non la joie au cœur ?
Pourquoi tant de gens surveillent la pendule pendant la journée en
attendant qu'il soir 18 h pour rentrer chez eux ?
Pourquoi tant de gens ont hâte d'être vendredi soir pour bénéficier du
week end ?
Pourquoi tant de gens attendent impatiemment le mois d’août pour partir
en vacances ?
Pourquoi tant de gens aspirent à être à la retraite pour quitter ce
travail qu'il n'aiment pas ou plus ?
Quelle société avons nous construit pour rendre le travail si mal aimé ?
A noter que le mot travail vient du latin TRIPALLIUM qui était un
instrument de torture, d'ailleurs les romains ne travaillaient pas, ils
avaient des esclaves, nous avons un peu remis au goût du jour cette
pratique en faisant travailler à notre place des pays sous développés
que nous payons au lance pierre.
Bien sur je n'ai pas de solution miracle à proposer, j'espère tout au
plus avoir apporté ma modeste pierre au débat.
Le meilleur moyen de ne pas tomber dans l'extrémisme ou dans
l'exagération, n'est il pas de travailler notre équilibre ?
L'équilibre n'étant pas une position statique entre deux limites mais
une libre circulation dans le champ des possibles, quitte à tutoyer les
extrêmes pour au moins les connaître, tout en gardant la vision globale
qui permet à tout instant de trouver la position juste.
Dans équilibre, il y a "equi" dont l'origine latine veut dire "égal" et
"libre" dont vous devez avoir une notion.
Il ne nous manque que la fraternité, auquel cas nous aurions : Liberté,
égalité, fraternité.
Savez vous que la marche à pieds qui est un éminent exercice
d'équilibre, mobilise environ 25% de nos 605 muscles soit 150 muscles !
Vous avez ci dessous la marche à suivre pour vous muscler et pour vous
entraîner à l'équilibre sans pour autant devenir équilibriste.
Malgré toutes mes recherches, je n'ai pas encore trouvé l'équivalent des 150
muscles à contracter puis à décontracter.
Equilibrer entre l'homme et la femme.
Equilibrer entre l'amour et la sagesse.
Equilibrer entre le yin et le yang.
Equilibrer entre la verticale et l'horizontale.
Equilibrer entre donner et recevoir.
Equilibrer entre le concave et le convexe (sans être vexé).
Equilibrer entre l'excitation et l'incitation.
Equilibrer entre le tout et la partie.
Equilibrer entre l'absolu et le relatif.
Equilibrer entre le continu et le discontinu.
Equilibrer entre les pensées et les sentiments.
Equilibrer entre le fond et la forme.
Equilibrer entre ignorance et connaissance.
Equilibrer entre contracté et reposé.
Equilibrer entre l'esprit et la matière.
Equilibrer entre le local et le global.
Equilibrer entre David et Goliath.
Equilibrer entre actif et passif.
Equilibrer entre la chèvre et le choux.
Equilibrer entre sujet et objet.
Equilibrer entre la logique et l'analogique.
Equilibrer entre conduire et isoler.
Equilibrer entre tradition et innovation.
Equilibrer entre l'alpha et l’oméga.
Equilibrer entre santé et sobriété.
Equilibrer entre prosaïque et poétique.
Equilibrer entre le collectivisme et l'individualisme.
Equilibrer entre l'ordre et le chaos.
Equilibrer entre le nouveau et l'ancien.
Equilibrer entre le cercle et le carré.
Equilibrer entre perdre et gagner.
Equilibrer entre ouvrir et fermer.
Equilibrer entre la majorité et la minorité.
Equilibrer entre l'ombre et la lumière.
Equilibrer entre la qualité et la quantité
Equilibrer entre le ciel et la terre.
Equilibrer entre le fixe et le mobile.
Equilibrer entre la liberté et le lien.
Equilibrer entre le temporel et l'éternel.
Equilibrer entre la simplicité et la complexité.
Equilibrer entre la théorie et la pratique.
Equilibrer entre l'oral et l'écrit.
Equilibrer entre le bien et le mal.
Equilibrer entre le pire et le meilleur.
Equilibrer entre le statique et le dynamique.
Equilibrer entre la créature et le créateur.
Equilibrer entre le trivial et le paradoxal.
Equilibrer entre être concentré et être relaxé.
Equilibrer entre le dur et le souple.
Equilibrer entre le vide et le plein.
Equilibrer entre le sublime et le médiocre.
Equilibrer entre la technique et la sensibilité.
Equilibrer entre le généraliste et le spécialiste.
Equilibrer entre l'intérieur et l'extérieur.
Equilibrer entre le hasard et la nécessité.
Equilibrer entre la suggestion et l'objection.
Equilibrer entre le symbolique et le concret.
Equilibrer entre la hauteur et la profondeur.
Equilibrer entre s'adapter au monde et adapter le monde à notre goût.
Equilibrer entre le mode série et le mode parallèle.
Equilibrer entre la grossièreté et le raffinement.
Equilibrer entre le temps et l’espace.
Equilibrer entre le microcosme et le macrocosme.
Equilibrer entre le jeune et le vieux.
Equilibrer entre le luxe et l'austérité.
Equilibrer entre la fantaisie et la rigueur.
Equilibrer entre la lenteur et la vélocité.
Equilibrer entre le cas général et le cas particulier.
Equilibrer entre le semblable et le différent.
Equilibrer entre l'ego et le soi.
Equilibrer entre le contenant et le contenu.
Equilibrer entre dispersion et concentration.
Equilibrer entre le centre et la périphérie.
Equilibrer entre l'imaginaire et le réel.
Equilibrer entre la stabilité et l’alternance.
Equilibrer entre l'offre et la demande.
Equilibrer entre s’éclater et rester entier.
Equilibrer entre le contrôle et le lâcher prise.
Equilibrer entre moi et les autres.
Equilibrer entre le passé et le futur.
Equilibrer entre pile et face.
Equilibrer entre la prose et les vers.
Equilibrer entre nature et culture.
Equilibrer entre expliquer et impliquer.
Equilibrer entre le côté cour et le côté jardin.
Equilibrer entre le big bang et le big crunch.
Equilibrer entre conducteur et isolant.
Equilibrer entre le four et le moulin.
Equilibrer entre le laboratoire et l'oratoire.
Equilibrer entre être et avoir.
Equilibrer entre le chat et la queue du chat (sans courir).
Equilibrer entre le mouvement et l’immobilité.
Equilibrer entre le soleil et le trou noir.
Equilibrer entre les chiffres et les lettres.
Equilibrer entre l’intégration et la désintégration.
Equilibrer entre l'agitation et le calme.
Equilibrer entre le profane et le sacré.
Equilibrer entre le subtil et l'épais.
Equilibrer entre le loup et l'agneau.
Equilibrer entre émetteur et récepteur.
Equilibrer entre la carotte et le bâton.
Equilibrer entre le droit chemin et le chemin des écoliers.
Equilibrer entre homogène et hétéroclite.
Equilibrer entre utopie et pragmatisme.
Equilibrer entre inclure et exclure
Equilibrer entre orient (pour s'orienter) et occident (pour s'oxyder ou
s'occire)
Equilibrer entre immanence et transcendance.
Equilibrer entre communion et séparation.
Equilibrer entre éros et thanatos.
Equilibrer entre harmonie et cacophonie.
Equilibrer entre intérêt et altruisme.
Equilibrer entre le bord droit et le bord gauche de la chaussée
Equilibrer entre la raison et la passion.
Equilibrer entre la locomotive et les wagons.
Equilibrer entre la compression et la détente.
Equilibrer entre le droit et le courbe.
Equilibrer entre le frein et l’accélérateur.
Equilibrer entre la séduction et l’authenticité.
Equilibrer entre tout ou rien.
Equilibrer entre le besoin et l'envie.
Equilibrer entre les pleins et les déliés.
Equilibrer entre papillonner et rester scotché.
Equilibrer entre les doutes et les certitudes.
Equilibrer entre les racines et les feuilles (ou les ailes).
Equilibrer entre le stock et le flux.
Equilibrer entre la nonchalance et l’implication.
Equilibrer entre l’arbre et la graine.
Equilibrer entre le nivellement (par le bas) et l'élitisme (par le
haut).
Equilibrer entre minuscule et majuscule.
Equilibrer entre l’homme et Dieu.
Equilibrer entre la décadence et la gloire.
Equilibrer entre la fission et la fusion.
Equilibrer entre diverger et converger.
Equilibrer entre l’occupation et la vacance.
Equilibrer entre être éveillé et être éteint.
Equilibrer entre la parole et le silence.
Equilibrer entre la source et l’objet (notion informatique).
Equilibrer entre l’analyse et la synthèse.
Equilibrer entre le son et l’image.
Equilibrer entre l’entrée et la sortie.
Equilibrer entre le rat des villes et le rat des champs.
Equilibrer entre capteur et actionneur.
Equilibrer entre détachement et désir.
Equilibrer entre l’unité et la dualité (ou la diversité).
Equilibrer entre le monothéisme et le polythéisme.
Equilibrer entre le détail et l'essentiel.
Equilibrer entre évaporer et condenser.
Equilibrer entre le fragile et le résistant.
Equilibrer entre commander et servir.
Equilibrer entre le logiciel et le matériel.
Equilibrer entre dresser et étaler.
Equilibrer entre chaud et froid.
Equilibrer entre le droit et le devoir.
Equilibrer entre le flux et le reflux.
Equilibrer entre l’inné et l’acquis.
Equilibrer entre intimité et publicité.
Equilibrer entre envelopper et développer.
Equilibrer entre la retenue et l’extravagance.
Equilibrer entre extraverti et introverti.
Equilibrer entre affirmer et douter.
Equilibrer entre l'évidence et le pardoxe.
Equilibrer entre réfléchir et foncer.
Equilibrer entre doser et oser (la vie en rose ?)
Equilibrer entre la pudeur et l’exhibition.
Equilibrer entre le code et la conduite.
Equilibrer entre vectoriel et matriciel.
Equilibrer entre ésotérisme et exotérisme.
Equilibrer entre explication et implication.
Equilibrer entre la méditation et l'anxiété.
Equilibrer entre cacher et révéler.
Equilibrer entre abscisse et ordonnée.
Equilibrer entre la franchise et la dérobade.
Equilibrer entre la force motrice et la force d’inertie.
Equilibrer entre accumuler et disperser.
Equilibrer entre la sécurité et l'aventure.
Equilibrer entre thème et version.
Equilibrer entre instinct et la discipline.
Equilibrer entre périodique et aléatoire.
Equilibrer entre se soumettre et imposer.
Equilibrer entre Confucianisme et Taoïsme
Equilibrer entre extravagance et conformisme.
Equilibrer entre informer et exciter.
Equilibrer entre modestie et audace.
Equilibrer entre maître et élève
Equilibrer entre abandon et contrôle.
Equilibrer entre séparer et réunir.
Equilibrer entre la cigale et la fourmie.
Equilibrer entre la crête et le creux (même si ça vous semble vague).
Equilibrer entre Mars et Venus.
Equilibrer entre le sens et les sensations.
Equilibrer entre ennui (en nuit) et enjoué (en jour).
Equilibrer entre le haut et le bas.
Equilibrer entre ceci et cela.
Equilibrer entre une vie de bohème et une vie trop réglée.
Equilibrer entre le censé, les cenceurs et le sensible (enfin un ménage à trois)
Equilibrer entre le centre de gravité et le centre de légèreté.
Equilibrer entre ici bas et la haut.
Equilibrer entre relation et délation (défaire la relation).
Equilibrer entre annoncer et dénoncer.
Equilibrer entre tourner autour du pot et dépoter.
Traduction : Tourner autour du pot veut dire hésiter avant d'aller au
fond des choses, de pénétrer au cœur d'une situation, avant d'y aller
plein pot pour être au top et dépoter (sortir l'énergie qui était cachée
au fond de la mine).
Equilibrer entre l'équilibre et le déséquilibre
Epilogue : Tous ces équilibres pourraient se représenter par une roue de bicyclette dont les rayons auraient tous un opposé et qui au global demanderaient un nouvel équilibre pour que la roue reste parfaitement circulaire, sans qu'aucun rayon ne dépasse (pour éviter les chaos).
un électricien pour rétablir le courant entre ceux qui ne se parlent
plus,
une infirmière pour soigner les bleus de l’âme,
un opticien pour changer les regards,
un démineur pour désamorcer les disputes,
un fossoyeur pour enterrer la hache de guerre,
un maçon pour bâtir la paix,
un agronome pour promouvoir la culture de la non-violence,
un aiguilleur pour retrouver le bon sens,
un musicien pour adoucir les mœurs,
un cuisinier pour partager la nourriture à toute l’humanité,
un modérateur pour calmer la consommation,
une couturière pour raccommoder le tissu social,
un instituteur pour apprendre à compter les uns sur les autres,
un informaticien pour sauvegarder la création,
une femme de ménage pour dépoussiérer les vieilles théories,
un journaliste pour répandre la Bonne Nouvelle
un horticulteur pour semer les fleurs d’espérance.
un artiste pour dessiner un sourire sur tous les visages.
On dit que la croyance n'est jamais celle d'un individu, mais toujours celle des gens qui l'entourent. Comme les grandes religions établies de l'Occident sont essentiellement fondées sur une foi et des croyances ne prêtant pas à discussion, on comprend aisément pourquoi nous sommes en règle générale si paresseux pour tout ce qui concerne notre vie spirituelle.
Quand un enfant pose des questions essentielles - D'où est-ce que je viens? , Qu'est-ce que je suis ? , Qui m'a fait ? ou encore Où est-ce que l'on va quand on est mort ? - rares sont ceux d'entre nous qui ont le courage de lui répondre franchement qu'ils n'en savent rien.
La plupart du temps, nous préférons puiser les réponses dans l'arsenal d'arguments tous faits, usés et rabâchés, mais rassurants, de notre système de croyances et les présenter telles quelles à son jeune esprit avide de révélations. Ces explications d'adultes sûrs d'eux-mêmes, qu'il a du mal à contester, le satisfont généralement, et très peu d'enfants ont alors assez de curiosité pour pousser plus loin leurs investigations.
Les séries de question qui suivent définissent 4 manières fondamentales d'aborder les questions de Dieu, de la vie et de la mort.
Vous pouvez aussi préciser votre approche en choisissant l'illustration qui vous inspire le plus. Quels que soient les résultats que vous obtiendrez, n'oubliez pas qu'ils n'impliquent aucun jugement de valeur. Aucune de ces attitudes n'est meilleure, plus juste ou plus sacrée que les autres. Elles sont seulement différentes et méritent toutes le même respect.
Evaluation
Répondez par oui ou par non aux questions qui suivent. Si les oui d'une même colonne dépassent de plus de 4 les oui des autres colonnes, vous pouvez considérer que l'attitude envers Dieu et le divin qu'elle décrit sommairement est bien la vôtre.
Sélectionnez une catégorie : Croyant - Agnostique - Athée - Chercheur
CROYANT
Pensez-vous que :
1. La religion que vous avez choisie est la seule vraie religion ?
2. Vous étiez prédestiné à naître et grandir dans votre religion ?
3. Vous êtes sur Terre pour suivre la voie que Dieu vous a indiquée ?
4. Votre foi n'est pas discutable, parce que les vérités qu'elle énonce
n'ont pas besoin d'être démontrées ?
5. Une foi inébranlable est la première qualité requise en matière de
religion ?
6. La vie religieuse doit s'appuyer sur des renseignements clairs,
compréhensibles par tous ?
7. La sincérité de votre foi vous conduira à Dieu ?
8. Les fidèles doivent se soumettre à l'autorité des prêtres, imams et
rabbins selon leur religion ?
9. Les bienfaits que vous accomplissez ici-bas seront récompensés au
paradis ?
10. Votre âme continuera de vivre après la mort ?
11. Les personnes qui professent une autre religion que la vôtre sont
dans l'erreur ?
12. La communion et la prière en commun sont essentielles pour un
croyant ?
AGNOSTIQUE
Pensez-vous que :
1. Il est impossible de prouver l'existence ou la non existence de Dieu
?
2. Il faut garder un esprit ouvert pour tout ce qui concerne Dieu ?
3. Les représentations de Dieu proposées par les diverses religions ne
peuvent pas être toutes exactes ?
4. La foi des croyants n'est pas une preuve de l'existence de Dieu ?
5. Si Dieu existait, il serait tout simplement inconnaissable ?
6. Seul le monde matériel, mesurable peut-être connu ?
7. Il est possible d'apprécier pleinement la vie sans se poser
d'inutiles questions sur Dieu ?
8. Rien n'indique d'une manière convaincante qu'il y ait un Dieu
omnipotent au dessus de nous ?
9. Dieu peut être une hypothèse de travail quand on réfléchit à
l'existence, mais rien de plus ?
10. Il n'y a aucune raison de croire en un Dieu unique, mâle de surcroît
?
11. La plupart des gens monothéistes sont simplistes et infantiles ?
12. Les gens qui disent accomplir l'œuvre de Dieu s'illusionnent
eux-mêmes ?
ATHÉE
Pensez-vous que :
1. Il n'y a pas besoin d'un créateur pour expliquer la vie ?
2. La science fournit toutes les explications suffisantes pour rendre
compte de l'existence de l'univers ?
3. Les affirmations qui ne s'appuient pas sur des faits véritables ne
méritent pas d'être retenues ?
4. Les croyants sont des gens qui prennent leurs désirs pour des
réalités ?
5. Les souffrances du monde entier rendent absurde l'idée d'un Dieu
amour et de bonté ?
6. Les religions sont des vestiges d'époques révolues de l'évolution
humaine ?
7. La croyance en un Dieu salvateur est révélatrice d'un manque de
maturité ?
8. L'homme a crée Dieu à son image- et non l'inverse ?
9. Il faut se méfier des gens qui essaient de vendre aux autres l'image
de leur Dieu ?
10. La plupart des gens ne croient en Dieu que parce que l'idée du
paradis les rassure ?
11. Ceux qui croient que seul leur Dieu est omnipotent sont de dangereux
illuminés ?
12. Une bonne philosophie vaut mieux que toutes les religions du monde ?
CHERCHEUR
Pensez-vous que :
1. On ne peut croire au divin que lorsqu'on en fait l'expérience
directe ou dit autrement on ne peut connaître Dieu qu'en le rencontrant
à l'intérieur de soi ?
2. La foi est aveugle, seuls des aveugles peuvent croire ?
3. Il ne faut jamais prendre pour argent comptant les croyances des
autres ?
4. Chacun devrait s'interroger sur sa propre nature au lieu d'interroger
les autres ?
5. La méditation (être un témoin détaché des pensées et des émotions)
est essentielle à la spiritualité authentique ?
6. Il vaut mieux être soi-même vrai que croire à une quelconque vérité ?
7. Toute religion qui demande de croire sans se poser de questions est
suspecte ?
8. La paix, la vérité et le bonheur se trouvent dans l'ici et maintenant
quand nous sommes simplement en accord avec nous même et avec la vie ?
9. Vous avez besoin de découvrir par vous-même qui vous êtes et d'où
vous venez ?
10. Il faut se méfier de tous ceux qui prétendent être envoyés par Dieu
?
11. Le Connais-toi toi même de Socrate est une forme supérieure de
sagesse ?
12. Se soumettre à une religion établie est une capitulation ?
J'ai envie de commencer par un exemple simple :
Prenons une ampoule électrique non raccordée, cette ampoule a une
certaine vie matérielle , on peut la voir, la toucher, lui faire émettre
des sons en la cognant.
Maintenant raccordons la sur une prise de courant, à ce moment, elle va
absorber le flux électrique et produire un flux lumineux.
Cette transformation de flux peut être assimilée à une vie spirituelle,
disons qu'elle en constitue un exemple, une incarnation, qui n'est
cependant pas a niveau par rapport à ce que peut être la vie spirituelle
d'un être humain.
Il y a cependant une curieuse ressemblance avec les icônes des saints
qui sont représentés avec un halo de lumière autour du visage.
Vous avez certainement remarqué que le fœtus qui se développe dans
l'utérus de sa mère, développe tous les organes dont il aura besoin à la
naissance. Le cœur devient fonctionnel très rapidement, dès les
premières phases du développement mais les poumons, bien que
parfaitement développés, ne peuvent fonctionner qu'après la naissance.
Si nous extrapolons, pouvons nous dire qu'un être adulte
(physiologiquement parlant) possède des corps subtils qu'il n'utilise
pas ou peu et qui attendent leur maturation pour devenir fonctionnels ou
conscients
Le rôle des initiations , des révélations serait de faire passer ces
corps du niveau inconscient au niveau conscient.
Socrate avait, dans la Grèce antique, une haute opinion de la sagesse.
Quelqu'un vient un jour trouver le grand philosophe et lui dit : Sais-tu
ce que je viens d'apprendre sur ton ami ?
- Un instant, répondit Socrate. Avant que tu me racontes, j'aimerais te
faire passer un test, celui des 3 passoires :
- Les 3 passoires ? Mais oui , reprit Socrate. Avant de me raconter
toutes sortes de choses de choses sur les autres, il est bon de prendre
le temps de filtrer ce que l'on aimerait dire. C'est ce que j'appelle le
test des 3 passoires. La première passoire est celle de la vérité. As-tu
vérifié si ce que tu veux me dire est vrai ?
- Non. J'en ai simplement entendu parler...
- Très bien. Tu ne sais donc pas si c'est la vérité. Essayons de filtrer
autrement en utilisant une deuxième passoire, celle de la bonté. Ce que
tu veux m'apprendre sur mon ami, est-ce quelque chose de bon ?
- Ah non ! Au contraire.
- Donc, continua Socrate, tu veux me raconter de mauvaises choses sur
lui et tu n'es même pas certain si elles sont vraies. Tu peux peut-être
encore passer le test, car il reste une passoire, celle de l'utilité.
Est-il utile que tu m'apprennes ce que mon ami aurait fait ?
- Non. Pas vraiment. Alors, conclut Socrate, si ce que tu as à me
raconter n'est ni vrai, ni bien, ni utile, pourquoi vouloir me le dire ?
J'ai longtemps pensé que le fait d'aimer un amoureux et d'être aimée
par lui tenait plus de l'envie que du besoin, mais tout à l'heure j'ai
pris conscience qu'il s'agit d'un BESOIN VITAL pour moi.
Je pense que j'ai longtemps feint à moi-même d'ignorer ce besoin en
prétextant Je n'en ai pas envie/besoin, je ne suis pas prête pour ça de
toutes façons! afin d'éloigner de moi la souffrance dûe à cette carence,
parce qu'une voix en moi me susurrait que je n'étais de toutes façons
pas aimable, donc pour supprimer le manque, nier le besoin était la
stratégie que j'avais mise en place.
Mais ce besoin d'aimer et d'être aimée, c'est le besoin d'être en
relation. Un besoin relationnel donc. Jacques Salomé décline plusieurs
besoins relationnels que je rêve de voir réciproquement comblés dans une
relation d'amour.
le besoin de se dire avec mes propres mots
le besoin d'être entendu(e) sur la même longueur d'onde que sur laquelle
je parle
le besoin d'être reconnu(e) tel(lle) que je suis réellement
le besoin d'être valorisé(e) et derrière ce besoin c'est le besoin de
sentir que nous avons notre place dans la société, dans sa famille etc.
qui s'exprime.
le besoin de rêver que demain sera meilleur qu'aujourd'hui et
qu'après-demain sera meilleur que demain.
Pour moi, le mariage c'est quand la clé ouvre la serrure, mais beaucoup
d'hommes agissent différemment, ils prennent une clé, puis une serrure
qui semble assortie, il font un joli nœud autours et prononcent la
sentence : je vous déclare unis par les liens du mariage, signez la
La suite ne dis pas si la clé arrive vraiment à ouvrir la serrure, il
faut souvent plusieurs années pour s'apercevoir des dégâts.
Pour moi, la réincarnation, ça peut se résumer par :
Prenons une ampoule électrique reliée au secteur, d'un côté elle absorbe
de l'énergie électrique et de l'autre côté elle produit de l'énergie
lumineuse.
Considérons que cette capacité à transformer l'énergie la rend vivante
Evidemment les végétaux font ça de manière beaucoup plus sophistiquée
grâce à la chlorophylle et à la photosynthèse.
Maintenant cassons l'ampoule, elle devient morte puisqu'elle n'absorbe
plus d'énergie et n'en produit plus.
Mais l'énergie qui circulait dans l'ampoule, as t elle disparue ?
Apparemment oui puisqu'il n'y a plus de lumière visible produite, mais
en réalité, l'énergie ne se détruit jamais, elle ne fait que changer de
forme, changer d'aspect, certaines formes nous sont visibles, d'autres
non. L'énergie est certainement partie ailleurs pour aller alimenter
d'autres circuits (se réincarner ?)
Vous avez certainement déjà vu des corridas avec le torero qui attire
le taureau en faisant bouger une cape rouge, le taureau fonce vers ce
qu'il croit être son ennemi mais se retrouve le bec dans l'eau car le
torero (son véritable ennemi), s'est mis sur le coté sans que le taureau
ne s'en aperçoive.
Et dans la vie, vous êtes de quel coté ? du coté du torero ou du coté du
taureau ?
Réfléchissez au nombre de fois ou vous avez été attirés par quelque
chose, puis ou vous avez foncé sur cette chose, puis ou vous avez été
déçus ou dépités.
C'est un principe vieux comme le monde, le renard flatte le corbeau pour
qu'il laisse tomber son fromage.
Les publicitaires attirent votre attention pour vider votre porte
feuille.
Les populistes flattent vos instincts les plus bas pour obtenir le
pouvoir.
Les journalistes excitent votre goût du morbide ou vos peurs pour vendre
leurs journaux et vous détourner de sujets plus profonds qui pourraient
vous faire évoluer.
C’est un principe naturel, vous ne pouvez pas le changer, mais vous
pouvez être vigilant et ne plus tomber dans le premier filet venu.
Notez qu'il y a deux principales sortes d'effet torero, celui qui essaie
de vous envoyer dans la direction opposée ou vous souhaitiez aller et
celui qui essaie de vous détourner légérement de votre objectif, avec
l'expérience vous arriverez à détecter quel est le type auquel vous avez
à faire.
Et voici une vertion plus moderne de l'effet torero concernant les
avions de combat ou même les avions civils qui veulent se protèger de
l'attaque des missiles.
L'installation de dispositifs lance-leurres sur les appareils civils est
plus contraignante parce qu'ils doivent être couplés à un détecteur de
missiles et qu'ils imposent la manipulation de munitions pyrotechniques
pouvant entraîner des risques d'incendie dans les zones où ils sont
utilisés. Pourtant, lorsque l'approche d'un missile est détectée, les
leurres, constituent le plus souvent une solution très efficace : ils
déploient hors des aéronefs des charges pyrotechniques plus attractives
pour les missiles infrarouges que les points chauds des moteurs. Il
existe essentiellement deux types de leurres :
- les leurres infrarouges que l'on appelle les Flares. Ils
créent une sorte de nuage de chaleur, comme un feu d'artifice, de
manière à détourner de leur trajectoire les missiles à guidage
infrarouge. En effet, ces missiles - comme le SAM 7 - sont autonomes
après lancement ;
- les leurres électromagnétiques appelés Chaffs : ils créent
un nuage de paillettes mécaniques générant un écho hors de l'avion.
Cette solution permet de traiter la menace des radars (radar de
détection et radar de poursuite des avions de combat ou des missiles à
guidage radar).
Il était une fois une famille qui possédait une boule noire depuis la
nuit des temps. Chaque génération la transmettait à la suivante en
disant à chaque fois : Cette boule noire est très importante pour notre
famille, la couleur noire nous a toujours porté chance et tu doit garder
et protéger cette boule et la transmettre a tes enfants .
Mais un beau jour, un enfant à qui on avait confié la boule eut quelques
doutes et se mit à l'examiner de près. Oh surprise, il découvrit que la
boule était simplement peinte en noir mais qu'en fait toute la masse de
la boule était blanche.
Il essaya d'en informer les membres de sa famille mais on se moqua de
lui. Il persévéra en apportant des preuves de ses dires mais la il fut
carrément l'objet d'attaques violentes. Au final il réussi cependant à
convaincre quelques personnes et au bout d'un temps assez long tout le
monde fit semblant d'admettre que la boule avait toujours été blanche.
Moralité 1 : Méfiez vous des apparences, ne soyez pas superficiels (ou
que superficiels).
Moralité 2 : Allez au fond des choses (au centre de la boule, au cœur
des choses).
Moralité 3 : Ne croyez pas systématiquement ce qu'on vous dit, vérifiez
par vous même.
Moralité 4 : Soyez patients et persévérants, la vérité finit toujours
par triompher.
Il est tentant (voir le torero ci dessus) de croire que l'herbe est
plus verte ailleurs ou que demain on rase gratis ou que l'avenir nous
promet des lendemains qui chantent.
Mais quand nous serons arrivés Là-bas ou au terme de notre projection
temporelle, que ferons nous ? il y a fort à parier qu'après un moment de
satisfaction, la machine à désir se remette en marche vers un autre
ailleurs ou un autre temps.
C'est la situation du chat qui se mord la queue et c'est peut être un
des principaux moteurs qui fait tourner le monde.
Alors libre à vous de continuer à tourner en rond ou de vous décider à
être ici et maintenant , ce qui ne veut pas dire être statique.
Essayons maintenant une image ou l'homme serait une guitare.
Faire vibrer une seule corde lui donnerait du plaisir.
Faire vibrer deux cordes lui donnerait un grand plaisir.
Faire vibrer trois cordes lui donnerait un très grand plaisir.
Mais seule la mise en branle des six cordes lui donnerait le vrai
bonheur.
Une autre image serait celle de l'oignon et de ses différentes couches,
sachant qu'il faut atteindre la couche la plus profonde (aller au cœur
des choses).
Lorsque cette réalité n’est pas comprise (ou mal comprise), l’homme
essaie de compenser son manque de profondeur (sa superficialité) par un
enfermement dans un cercle vicieux ou il va chercher la quantité,
l’intensité, la ou c’est la qualité ou la complétude qui pêche, ceci
étant à rapprocher de la notion d'énergie
subtile, ou à la graduation des énergies.
Pour moi la majorité des phénomènes est régie par la loi des cycles,
par exemple, le cycle jour/nuit qui porte bien son nom de cycle
puisqu'il est du à la rotation de la terre. Il y a aussi le cycle de
l'année avec ses quatre saisons lui aussi du à la révolution de la terre
autour du soleil. Certain cycles sont beaucoup plus courts comme la
révolution d'un électron autour du noyau de l'atome, et d'autres
beaucoup plus long, comme la vie d'un homme ou la vie d'une
civilisation.
Les étapes principales d'un cycle sont :
La naissance, la croissance, l'atteinte d'un maximum, la décroissance
(souvent beaucoup plus courte que la croissance), la mort.
A noter que la mort est le pendant de la naissance et non de la vie qui
elle est éternelle.
Pendant le cycle, il y a aussi une période de création ou de
reproduction qui permet à l'énergie de perdurer au delà de la mort.
Notre civilisation est peut être à la fin d'un cycle et beaucoup de
changements se préparent ou arrivent à maturité.
Pour moi, les deux polarités principales sont la polarité masculine et
la polarité féminine que l'on pourrait également appeler la polarité
émissive et la polarité réceptive.
A noter qu'il s'agit bien de polarité, sachant que chaque homme ou que
chaque femme possède les deux polarités avec cependant les différences
que vous connaissez.
Comme exemple ou comme modèle de la polarité masculine, j'ai envie de
citer le soleil, qui est éminemment émissif (il nous envoie sa lumière,
son énergie), et comme exemple de polarité féminine, j'ai envie de citer
la terre ou plus précisément un arbre (ou un végétal), qui reçoit de
l'énergie et grandit grâce à ça.
Le soleil est en expansion (il envoie son énergie vers l'univers et
cette énergie rayonne de plus en plus loin), les arbres reçoivent cette
énergie (ils sont réceptifs) et ensuite, en bénéficiant de cette
énergie, ils vont à leur tour se mettre en expansion (grandir). Cette inversion de polarité semble être
un principe général, on la retrouve au niveau d'une guitare, au départ,
elle est réceptive, elle attend l'impulsion du guitariste, et une fois
cette impulsion arrivée, la corde vas devenir émisse (elle produit un
son).
Tentons maintenant un comparatif simpliste avec la psychologie de l'être
humain. L'homme (le mâle) est émissif, il envoie ses spermatozoïdes vers
toutes le femmes (c'est le moyen qu'il a trouvé pour grandir, n'arrivant
plus à le faire par lui même). La femme reçoit ce spermatozoïde et vas
le faire grandir en elle. De même, lorsque nous recevons une pensée qui
nous touche, nous la chérissons, nous la faisons se développer en nous.
L'homme (le mâle) est comme le soleil, il voudrait envoyer sa lumière
vers tout l'univers (que tout le monde le comprenne, l'aime et le
suive), la femme (l'arbre) est satisfaite de la lumière reçu par un seul
mais elle souhaite que cette lumière dure, soit stable, la nourrisse
suffisamment longtemps pour mener à bien son projet de création ou de
croissance.
WIKIPEDIA indique :
Le déphasage entre deux ondes est la différence entre leurs phases.
Souvent, on mesure cette différence de phases à un même instant pour les
deux ondes, mais pas toujours au même endroit de l'espace.
La phase indique la situation instantanée dans le cycle, d'une
grandeur qui varie cycliquement.
Pour dire ça plus simplement, on pourrait prendre comme exemple un
phénomène cyclique connu, à savoir l'année. Donc le mois de janvier et
le mois de mars ne correspondent pas à la même phase du cycle annuel
(leur avancement dans l'année est différent) et le déphasage (ou
décalage) entre janvier et mars est de deux mois.
Ce phénomène de déphasage est assez universel ainsi lorsque q'un éclair
tombe sur le sol, la partie lumineuse (visible) peut être perçue quasi
instantanément (à quelques kilomètres à la ronde) alors que le son
produit (le tonnerre) ne sera perçu que quelques secondes plus tard.
En politique, les grecs avaient inventé la démocratie il y a bien
longtemps mais il a fallu attendre des centaines d'années avant de la
voir se généraliser. On voit donc le déphasage entre une idée et son
application pratique. Même pour une chose mineure, se laver les dents
par exemple, on commence par y penser et on met en pratique quelques
instants plus tard.
On retrouve également ce déphasage dans le bâtiment, un projet est
d'abord conçu dans l'esprit de l'architecte (plan subtil) ensuite avec
ses assistants, il vas faire des plans sur papier (plan intermédiaire)
et quand les plans sont finis, on peut les donner aux artisans pour
qu'ils incarnent le projet dans la pierre (plan concret).
Il y a beaucoup d'autres exemples à trouver et je vous en laisse le
soin.
Qu'est ce que l'amour ? Peut être la vie l'âme ?
Mais alors qu'est ce que l'âme ? Ce qui nous anime , ce qui nous donne
le mouvement ?
J'ai envie de tenter la comparaison avec le courant électrique, il
arrive chez vous à un endroit donné, ensuite il se répartit et donne ici
de la lumière (au travers de l'ampoule électrique), la une image (au
travers du téléviseur), la de la musique (au travers de votre chaîne
haute fidélité), la de la chaleur (au travers de votre plaque de
cuisson).
Cette vision laisse supposer qu'il n'y aurait qu'une seule âme (de même
qu'il n'y a qu'un seul réseau électrique en France).
Revenons à l'amour, ne dis ton pas brûler d'amour.
J'ai envie de tenter la comparaison avec un grand feu où brûleraient de
nombreuses bûches. Si vous enlevez une bûche de ce feu pour la placer à
quelques mètres, elle vas s'éteindre rapidement, mais si vous prenez
deux bûches en les maintenant cote à cote, elles vont continuer à brûler
(à s'aimer ?).
Voila pourquoi il faut être deux (ou plus) pour s'aimer.
Une autre vision serait de dire que l'amour est à l'âme ce que le
coutant électrique est à l'ampoule électrique.
Il était une fois deux jardiniers qui s'occupaient chacun d'un jardin
mais avec des méthodes très différentes.
Le premier était obsédé par les mauvaises herbes, il passait sa journée
entière à les traquer dans les moindres recoins. Pour cela, il disposait
d'un arsenal impressionnant, des binettes, des faux, des serpes, des
sécateurs, des bêches. La technologie moderne lui avait même donné de
nouvelles armes, des désherbants, des défoliants, des inhibiteurs de
croissance.
Le problème était que les mauvaises herbes devenaient de plus en plus
résistantes aux produits chimiques et qu'il fallait employer de plus en
plus de produit ou des nouvelles génération de produit encore plus
virulents. Ceci n'est pas sans rappeler la fameuse escalade
entre l'obus et la cuirasse. On pourrait aussi rappeler la guerre
des antibiotiques ou les bactéries deviennent de plus en plus
résistantes aux antibiotiques.
Maintenant il était en passe de mettre au point l'arme absolue : un
radar couplé à un émetteur de micro ondes. Le radar très perfectionné
est capable de détecter les graines de mauvaises herbes qui sont encore
dans le sol, ceci grâce à un logiciel informatique embarqué avec le
radar, ensuite l'ordinateur dirige un faisceau concentré de micro ondes
qui arrive à pénétrer dans le sol pour détruire la graine.
Inutile de vous dire à quoi ressemblait son jardin : un champ de mine,
un désert, les quelques plantes qui survivaient devaient être forcées
par des engrais chimiques, ce qui les rendaient malades et sensibles aux
parasites et il fallait aussi envoyer des pesticides et des fongicides
pour essayer de lutter contre les parasites.
Le deuxième n'était obsédé que par une chose : préparer le terrain,
semer, arroser, mettre de l'engrais (naturel).
Il faisait ça avec une grande industrie, il y passait tout son temps, il
y mettait tout son amour. La moindre parcelle libre était aussitôt
préparée et plantée.
Il avait compris que si les plantes amies occupaient le terrain, il n'y
aurait plus de place pour les mauvaises qui plus est, les quelques
mauvaises plantes pouvaient être acceptées car elles avaient souvent des
vertus médicinales.
L'attitude ce ces deux jardiniers illustre en fait l'attitude que nous avons vis à vis du bien et du mal.
Si vous marchez vers un mur, comme vous n'avez pas envie de vous faire
mal, vous allez, le moment venu arrêter ou détourner votre course, mais
maintenant, regardez un aveugle, il avance vers le mur mais sans le
voir, il n'a que sa canne pour tâter le terrain et c'est uniquement
lorsqu'il entrera en contact physique qu'il prendra conscience de
l'obstacle.
De même, les gens subtils qui savent utiliser leur sensibilité et leur
raison voient les problèmes arriver de loin et modifient en conséquences
leurs actes, leurs pensées ou leurs sentiments.
Les moins évolués ne voient pas, même si vous leur dite, ils attendrons
d'être confronté physiquement aux problèmes pour pouvoir admettre leur
existence.
Alors ne vous étonnez pas de voir tant de problèmes de par le monde, il
faut que chacun évolue à son niveau. La prise de concience se fait
toujours mais plus ou moins vite selon les individus.
Quelques images pour illustrer le lâcher prise :
Couper le cordon ombilical (bien que la, ça ne soit pas volontaire ).
Quitter une marche d'escalier pour rejoindre la suivante.
Quitter une idéologie pour en adopter une autre.
S'abandonner aux bras de morphée.
Arrêter une addiction.
Laisser tomber une graine en terre.
Faire taire son mental pour être mieux réceptif aux sensations (du corps
?).
Le guitariste maîtrise sa guitare (il lui donne une impulsion) mais
ensuite il lâche prise pour que la corde puisse vibrer à son aise.
La guitare est alternativement passive puis active , cette inversion
de polarité semble être une loi fondamentale de l'univers.
L'homme étreint la femme, mais ensuite il lâche prise pour qu'elle
puisse enfanter.
J'aime l'idée (peut être taoïste
?) qu'il faille une alternance entre le contrôle et le lâcher prise ,
comme nous avons besoin de l'alternance entre nos deux jambes pour
pouvoir marcher.
En fait il y a plusieurs types de guerre :
La guerre armée à laquelle chacun pense spontanément, mais il y a aussi
les guerres économiques (les commerciaux n'ont ils pas repris à leur
compte tout un langage guerrier comme conquérir des territoires, des
parts de marché, l'espionnage industriel).
Il y a aussi les guerres idéologiques notamment celles liées aux
conceptions religieuses ou scientifiques.
Et enfin citons les guerres ou les conflits qui s'exercent à l'intérieur
d'un même individu, ces conflits peuvent être entre la raison et les
sentiments ou entre le corps et les sentiments.
Tous ces conflits cités précédemment s'engendrent et s'amplifient
mutuellement, ce qui pourrait s'appeler un cercle vicieux.
Pour rétablir la situation, je propose de reconnaître qu'il y a aussi en
nous et dans la société des cercles vertueux, en prendre conscience et
se concentrer dessus permet d'en amplifier l'effet.
Considérez un ouvrier dans une usine en place derrière sa machine. Son
contremaître arrive et lui indique une tâche à faire pour le lendemain,
une heure plus tard, un cadre faisant partie de la direction vient le
voir et lui demande une autre tâche à faire pour le lendemain
(incompatible avec la première), deux heures plus tard, le PDG de
l'entreprise vient le voir et lui demande encore une autre tâche à faire
pour le lendemain (incompatible avec la première et la deuxième).
Que va faire cet ouvrier ? Il est tiraillé entre le désir de satisfaire
ces trois personnes, sachant qu'il ne peut vraiment en satisfaire
qu'une.( Mt.6:24 Nul ne peut servir deux maîtres. Car, ou il haïra l'un,
et aimera l'autre; ou il s'attachera à l'un, et méprisera l'autre. Vous
ne pouvez servir Dieu et Mamon)
N'est pas le cas que chacun vis lorsqu'il est tiraillé entre ses pensées
et ses sentiments ?
Jusqu’ou faut il monter pour trouver l’harmonie entre les deux ?
la philosophie
qui vient de philos = amour et sophia = sagesse est peut être la pour
nous aider sur ce chemin ?
Mettez deux tas de matériaux cote à cote avec le même contenu dans
chaque tas (ciment, briques, tuiles, portes, tuyaux, câbles....)
Ensuite formez deux équipes composée chacune d'un architecte et d'un
groupe d'artisans, et demandez leur de construire une maison, chaque
équipe avec son propre tas de matériaux.
Croyez vous que vous obtiendrez la même maison dans les deux cas ?
Alors pensez vous qu'en mangeant telle et telle nourriture, vous
obtiendrez le même résultat qu'un autre ayant le même régime ?
Pensez vous qu'en suivant tel ou tel enseignement, il vous transformera
de la même manière qu'un autre suivant le même enseignement ?
Notre époque regorge de moyens de communication, nous avions
l'imprimerie de longue date et les signaux de fumée, puis sont apparus
le télégraphe
Chappe, la transmission télégraphique
Morse, le téléphone à fil, la radio transmission par ondes
hertziennes, la télévision hertzienne, l'informatique, le réseau
internet.
Mais il ne faut pas confondre les moyens de communication (qui sont un
support), avec la communication proprement dite.
Les informations échangées au travers des moyens de communication, ne
sont pas non plus la véritable communication.
Dans communication, il y a commun qui pourrait se lire (comme un) et
pour moi ce n'est que lorsque l'on se sent relié à l'autre (comme un)
avec la sensation de faire un avec l'autre, d'être sur la même longueur
d'onde (comme dit le langage populaire) ou encore d'avoir des atomes
crochus.
L'échange ou la transmission d'informations (au travers des moyens de
communication) est une chose essentiellement mentale ou intellectuelle,
alors que la communication fait intervenir les tripes (anagramme de
esprit) et les fibres sensibles de l'être, les acteurs qui préfèrent le
théâtre au cinéma sont bien conscient de cela.
Bien sur les aspects mentaux et sensibles sont toujours présents plus ou
moins ensembles, mais l'un peut dominer l'autre ce qui peut causer des
troubles. Et c'est un peu le travail du philosophe (philos = amour) et
(sophia = sagesse) que de concilier la sphère spirituelle (esprit,
mental, pensées, idéaux, aspiration, raisonnement) avec la sphère
terrestre (instincts, passions, pulsion, sentiments, ressentis,
émotions). Ce lien ciel terre est assez bien représenté par le caducée
et les phases de la transformations peuvent être mieux comprises par
l'études des 4 éléments (ou
des 4 états)
La communication se passe s'il y a un commun (le monde sensitif) mais il
faut aussi une différence, comme en électricité ou il faut une
différence de potentiel entre entre point A et un point B pour que le
courant circule, pour l'homme, les différences sont nombreuses et les
occasions de communiquer le sont aussi avec cependant une restriction,
lorsque les différences sont trop grandes ou percues comme telles, elles
peuvent provoquer un blocage, un replis sur soi.
La philosophie semble souvent rébarbative parce qu'on la confond avec
l'érudition philosophique qui elle est un travail quasi purement
intellectuel. Ceci n'est que mon point de vue qui ne sera peut être pas
partagé par les philosophes professionnels mais je peux aussi dire qu'en
fait tout le monde est philosophe car tout le monde est confronté assez
souvent avec l'antagoniste entre ses pensées et ses sentiments (relisez
les tragédies de Racine).
Vous noterez aussi que l'on peut être un érudit en saut à la perche
(journaliste sportif par exemple) tout en étant un piètre sauteur soi
même.
Prenons un autre exemple : Demandez aux gens qui vous entourent s'ils
font de la physique nucléaire ou de la biologie moléculaire.
Vous allez certainement avoir une réponse négative mais en fait un être
humain est constitué d'atomes, et tous les atomes de son corps
connaissent et appliquent les lois de la physique nucléaire, de même un
être humain est composé de cellules et toutes ses cellules connaissent
et mettent en pratique les lois de la biologie moléculaire.
En fait, les gens ont répondu à la question est ce que
intellectuellement parlant vous vous préoccupez de questions de physique
nucléaire et de biologie moléculaire ?
Ceci montre que nous avons tendance à nous identifier à ce que nous
pensons.
Même Bouddha à déclaré : Nous sommes ce que nous pensons. Tout ce que
nous sommes de nos pensées. Avec nos pensées, nous bâtissons notre
monde.
Petite exagération à mon avis.
Beaucoup d'érudits philosophes tombent dans le même panneau, ils sont
amoureux de la pensée, du raisonnement, de la sagesse, mais négligent le
reste.
Certes la pensée a un rôle irremplaçable dans le cours de l'évolution, à
condition de ne pas rester centrée sur elle même.
Un grand nombre de leaders le sont non pas grâce à brillance de leur
discours mais grâce à leur charisme, c'est à dire leur capacité à
toucher la fibre sensible des masses, ce qui peut aussi mener à des
catastrophes dont l'histoire du 20éme siècle regorge.
Encore une fois si la lucidité du mental n'est pas la pour contrecarrer
les excès de l'échauffement des sens, il y a danger.
De même si la froideur du mental n'est pas réchauffée par la joie du
cœur (et du corps), il y a danger.
Votons tous pour l'équilibre.
Vous avez certainement déjà entendu cette phrase Mieux vaut vivre seul
que mal accompagné
Ce n'était certainement pas l'avis de Socrate qui avait épousé
Xanthippe, dont le caractère acariâtre est passé en proverbe. On
prétendait que le philosophe l'avait épousée pour s'exercer à la
patience.
Peut on en déduire qu'il y aurait deux sortes d'hommes, l'homme
ordinaire qui cherche une compagne ou un compagnon qui va lui donner le
maximum de plaisirs et de satisfactions (comme les enfants qui
recherchent des nourritures douces et sucrées), et l'homme adulte qui
fait face aux difficultés, quitte à les provoquer (comme le sportif qui
s'impose des exercices hors norme pour progresser ou comme le marin qui
préfère sortir par gros temps pour manœuvrer un maximum et donc
progresser dans son art).
Loin de moi de vous conseiller de choisir comme conjoint la pire des
personnes que vous puissiez trouver, mais la, la vie est beaucoup plus
maligne que nous et quelquefois, en croyant choisir la personne la plus
délicieuse, elle se révélera à terme être celle qui nous apportera les
plus grandes des difficultés.
Retournons un instant dans la préhistoire au moment ou l'homme
réalisait des pierres taillées.
Si un journaliste avait interrogé ces hommes pour leur demander comment
ils voyaient l'avenir, ils auraient certainement répondu : Des pierres
taillées, de plus en plus de pierres taillées, plus fines, plus
efficaces, plus belles, plus grandes, adaptées pour chaque usage.
Passons maintenant au moyen âge au moment ou l'homme construisait des
cathédrales, et posons la même question, qui aurait comme réponse : Des
cathédrales, de plus en plus de cathédrales, plus grandes, plus hautes,
plus décorées.
Terminons au 20ème siècle et posons la même question, qui
aurait comme réponse : Des ordinateurs, de plus en plus d'ordinateurs,
plus puissants, plus petits, plus efficaces, moins chers, adaptés pour
tous les usages.
Examinons maintenant ce problème sous un autre angle.
Si, par un coup de baguette magique, un homme du moyen âge se trouvait
propulsé dans la préhistoire et tentait d'expliquer aux habitants du
moyen âge ce que sera leur vie dans quelques siècles, il y fort à parier
qu'il serait incompris et peut être recevrait il un coup de gourdin sur
la tête. Pourtant, l'homme de la préhistoire va évoluer et un jour il
construira des cathédrales.
Prenons maintenant l'homme du 20ème siècle et projetons le au
moyen âge, aura t il plus de succès dans sa tentative de décrire
l'avenir ? Il y fort à parier qu'il serait incompris et il y a même une
forte présomption pour penser qu'il serait conduit sur le bûcher de
l'inquisition. (Dieu n'avait pas prévu les ordinateurs !)
Mais maintenant que croyez vous qu'il advienne si un être de l'an 3000
débarquait dans notre monde actuel ? Vous pensez peut être que
maintenant nous sommes des êtres évolués, ouverts et donc tout à fait
capables d'entendre la description de ce que serait notre vie en l'an
3000. Personnellement, je pense que non, notre voyageur temporel serait
moqué et peut être même convié à rejoindre l'hôpital saint Anne.
Pourtant la vérité existe toujours à l'avance chez un petit nombre. Il
fut un temps ou l'immense majorité des gens pensaient que la terre était
plate, mais un tout petit nombre savait déjà qu'elle était ronde, au fil
du temps la vérité a fini par triompher.
Il fut un temps ou l'immense majorité des gens pensaient que le soleil
tournait autour de la terre, mais un tout petit nombre savait déjà que
c'est la terre qui tourne autour du soleil (Copernic),
au fil du temps la vérité a fini par triompher.
D'après Arthur Schopenhauer : Toute
vérité
franchit trois étapes. D'abord, elle est ridiculisée. Ensuite, elle
subit une forte opposition. Puis, elle est considérée comme ayant été
une évidence.
Une difficulté peut être expliquée par l'analogie de l'escalier : Si
quelqu'un se trouve au milieu d'un escalier et qu'il est quelque peut
bloqué, vous pouvez éventuellement l'aider à passer à la marche
supérieure en lui montrant que la marche supérieure est beaucoup mieux
et qu'en plus il pourra revenir la ou il était si cette marche ne lui
plait pas. Vous pouvez même lui faire franchir deux marches d'un et
pourquoi pas trois, mais si vous tentez de lui faire franchir dix
marches en une seule fois, vous n'avez pratiquement pas de chance de le
convaincre.
Or la vie se manifeste à nous selon deux rythmes :
Un rythme lent que j'appellerais évolution (par exemple on connais tous
l'évolution du véhicule automobile depuis la création de Joseph
Cugnot)
Un rythme rapide que j'appellerais création dont l'exemple le plus
célèbre est le big bang (pour les scientifiques matérialistes) ou la
création par Dieu (selon les religions). Bien sur il existe aussi des
tas de créations de moindre ampleur.
L'évolution est assez simple à percevoir, ainsi la loi
de moore prévoyait un doublement du nombre de transistors sur une
puce tous les 18 mois, ce qui s'est avéré assez vrai mais cela n'est
plus vrai maintenant.
Les créations ou re créations (apocalypse) sont par contre plus
difficiles à percevoir car elles ont un caractère global : Voici je fais
toutes choses nouvelles Apocalypse 21,7
Le vous épargnerai ma vision.
Un autre aspect de l'évolution rapide est le changement de paradigme.
On peut prendre l'exemple du fœtus qui se forme à l'intérieur de
l'utérus, il est assez limité en perceptions et entièrement alimenté à
travers le cordon ombilical. Mais à la naissance, il va brusquement
avoir accès à un autre monde (l'extérieur de l'utérus mais qui en fait
était déjà la depuis longtemps) et va surtout devoir avoir un tout autre
rapport par rapport à son environnement, le cordon est coupé et il doit
impérativement respirer et s'alimenter par la bouche.
Transférez (si possible) ce changement de paradigme à l'homme adulte qui
en fait n'est pas encore né par rapport à des réalités plus subtiles que
celles de notre monde physique observable , et qui va émerger
dans un monde nouveau (nouveau par rapport à ses perceptions mais
qui en fait était déjà la de toute éternité) et qui va devoir déployer
des corps subtils dont il n'était jusqu'à présent que partiellement
conscient.
Avez vous remarqué le soin que prennent beaucoup d'industriels pour
emballer leur produit de façon à les rendre plus attrayants ?
On pourrait faire un parallèle avec le soin que mettent beaucoup
d'hommes et de femmes pour se présenter sous leur meilleur aspect, ceci
allant du vêtement en passant par les parfums et le maquillage et
pouvant aller jusqu'à la chirurgie esthétique.
Je ne parlerais pas des grandes surfaces qui pratiquent la remballe
.
Je me souviens avoir visité plusieurs appartements ou maisons dans les
années 1978 chez un même marchand de biens et j'avais constaté qu'il y
avait la même moquette neuve dans pratiquement tous ces lieux. Le
vendeur n'avait fait aucun travaux dans ces lieux mais il avait
simplement mis une moquette neuve (achetée en gros certainement car
c'était la même partout) pour donner une apparence de neuf et inciter à
la location.
Ces exemples nous montrent que nous sommes peut être trop captifs de
l'aspect extérieur des choses.
A l'inverse, des archéologues qui font des fouilles sont ravis de
trouver une pièce ancienne même si elle est couverte de terre et même si
elle est incomplète.
De même ceux qui cherchent des pierres précieuses pour s'enrichir ne
sont pas regardant sur l'aspect extérieur, ils savent qu'après un
nettoyage et une bonne taille, leur découverte vaudra de l'or.
Vous avez certainement déjà entendu cette phrase : Moi je suis croyant
mais pas pratiquant
La pratique c'est quoi ? passer quelques instants dans un lieu de culte
chaque semaine en récitant une prière, en assistant à un office et puis
retourner vaquer à ses occupations en abandonnant toute préoccupation
spirituelle ?
Chaque pensée, chaque acte, chaque parole que l'on fait du matin au soir
ne compte t elle pas pour notre évolution spirituelle ? Cela a t il un
effet pour nous rapprocher ou nous éloigner de notre partie divine ?
Dans ce cas, tout est une pratique.
Un homme tomba dans un trou et se fit très mal.
Un Cartésien se pencha et lui dit : Vous n’êtes pas rationnel, vous
auriez dû voir ce trou.
Un Spiritualiste le vit et dit : Vous avez dû commettre quelque péché.
Un Scientifique calcula la profondeur du trou.
Un Journaliste l’interviewa sur ses douleurs.
Un Yogi lui dit : Ce trou est seulement dans ta tête, comme ta douleur.
Un Médecin lui lança deux comprimés d’aspirine.
Une Infirmière s’assit sur le bord et pleura avec lui.
Un Thérapeute l’incita à trouver les raisons pour lesquelles ses parents
le préparèrent à tomber dans le trou.
Une Pratiquante de la pensée positive l’exhorta : Quand on veut, on peut
!
Un Optimiste lui dit : Vous auriez pu vous casser une jambe.
Un Pessimiste ajouta : Et ça risque d’empirer.
Puis un enfant passa, et lui tendit la main…
Anonyme.
Parce qu'il y a toujours un peu de vérité derrière les « je rigole »
...
Un peu de curiosité derrière les « je demandais juste » ...
Un peu de savoir derrière les « je sais pas » ...
Un peu de mensonge derrière les « je m'en fous » ...
Un peu de souffrance derrière les « ça va merci » ...
« Il était une
fois 4 individus qu'on appelait »
Tout Le monde - Quelqu'un - Chacun - et Personne.
Il y avait un important travail à faire,
Et on a demandé à Tout Le monde de Le faire.
Tout Le monde était persuadé que Quelqu'un Le ferait.
Chacun pouvait l'avoir fait, mais en réalité Personne Le fit.
Quelqu'un se fâcha car c'était Le travail de Tout Le monde !
Tout Le monde pensa que Chacun pouvait Le faire
Et Personne se doutait que Quelqu'un Le ferait
En fin de compte, Tout Le monde fit Des reproches à Chacun
Parce que Personne avait fait ce que Quelqu'un aurait pu faire.
*** MORALITÉ ***
Sans vouloir faire de reproche à Tout Le monde,
Il serait bon que Chacun fasse ce qu'il doit faire
Sans nourrir l'espoir que Quelqu'un Le fera à sa place.
Car l'expérience montre que là où on attend Quelqu'un,
Généralement on trouve Personne !
Je transfère ce qui précède à Tout Le monde
Afin que Chacun puisse l'envoyer à Quelqu'un sans oublier Personne.
La solitude nous fait grandir.
la graine qui a été mise dans le sol par le paysan, le sait bien, elle
attend que les conditions soient favorables pour aller puiser au plus
profond d'elle même l'énergie pour germer.
Elle va ensuite réussir à joindre les deux bouts (les racines vers la
terre et une feuille vers le ciel) et pouvoir partir à la conquête du
monde (ou du soleil ?).
Dans solitude, il y a sol (comme le sol ou vous marchez) et le sol qui
est de début de sol-eil, avec ces deux (clefs ?) de sol, vous pouvez
parcourir l'axe ciel terre.
Il y a aussi itude, comme dans altitude !
Dernier conseil, enlevez le tu (le tu tue ? comme disait le petit rat de
l'opéra, ra
étant le nom du soleil chez les égyptiens, et l'opéra étant le
lieu ou opère le ra (le soleil)!).
Donc je résume solitude - tu = solide incroyable non !
Donc maintenant vous pouvez repartir sur de bonnes bases (fini de
construire sur du sable, ce qui vous faisait atterrir sur la paille et
ne vivre que des feux de paille).
PS : Philosophie = prendre de l'altitude sans perdre pied.
Après concertation avec moi même, je vous livre le fruit (plus défendu)
de mon imagination.
Je peux dissoudre du sucre dans l'eau, mais au bout d'un moment l'eau va
s'évaporer et le sucre va réapparaître !
Ce phénomène s'appelle la cristallisation. Et dans cristallisation,
il y a (presque) christ,
bizarre bizarre.
La réalité peut nous apparaître sous différentes formes, sous différents
états, et il est bon de réfléchir sur l'ancienne notion des quatre
éléments, que j'ai renommé les quatre états qui sont développés sur la page
suivante.
Donc oui, le sucre (ou Dieu) est soluble mais seulement en apparence
(l'eau sucrée a le même aspect que la non sucrée), mais celui qui sait
goûter se rendra vite compte si l'eau est sucrée ou pas (ou s'il est
devant quelqu'un de plus ou moins évolué ou divin ).
La solution contient sol
comme le sol de notre terre mais aussi
comme le début de soleil. Ceci peut nous
inviter à faire un voyage entre la terre et le ciel (le soleil), et quoi
de mieux pour cela qu'une étude sur le caducée
?
Peut être y a t il la solution in fine ?
Qu'il ne faut pas croire une chose simplement parce qu'on l'entend dire ; ni croire aux traditions car elles nous ont été transmises depuis l'antiquité ; ni croire aux rumeurs en tant que telles ; ni aux écrits des sages, parce que les sages les ont écrits ; ni aux imaginations inspirées, pensons-nous par un Déva (inspiration supposée spirituelle) ; ni croire aux conclusions tirées de quelque supposition faite par nous au hasard ; ni croire une chose parce qu'elle semble devoir être vraie par analogie ; ni croire sur la simple autorité de nos instructeurs et maîtres. Mais nous devons croire la chose écrite ou parlée, ou la doctrine, si elle est corroborée par notre propre raison et notre propre conscience. C'est pour cela , dit-il en concluant, que je vous ai appris à ne pas croire une chose simplement parce que vous l'avez entendu dire ; mais quand vous croyez avec votre conscience, alors agissez en conséquence et abondamment.
RENE DUBOS a dit : Il importe de penser globalement et d'agir
localement.
Le local (ce que je fais ou pense ici et maintenant) est donc tout à
fait complémentaire de ce qui se passe au niveau global.
Je ne saurais me défosser de ma responsabilité locale et individuelle au
prétexte que certaines choses globales ne me plaisent pas.
Globalement, la terre tourne autour du soleil (ce pourquoi j'avais
proposé un sujet sur le soleil, mais beaucoup préfèrent rester dans
l'ombre), et personne ne conteste cela.
Par contre certains mouvements globaux, au niveau économique ou
technologique, ne sentent pas forcément très bon, ceci étant à
rapprocher du fait que souvent, l'apparition du nouveau est précédée par
la décomposition de l'ancien.
Noël est passé et pourtant j'ai l'impression que beaucoup croient encore
au père Noël, en s'imaginant que de créer telle structure (au niveau
mondial par exemple) va résoudre tous les problèmes.
Peut être faut il quelque structure ou quelque regroupement ici ou la,
je ne voudrais pas être extrémiste sur ce point, mais je crois surtout
en la parole de Gandhi qui a déclaré Soyez vous même le changement,que
vous désirez voir dans le monde.
Ce sujet a été traité au café Tao le 12 février 2011.
Ce sujet a un coté jeu de mot ou pourquoi pas gag, mais pour moi c'est
vraiment un sujet.
Quand j'ai commencé à m'intéresser à la philosophie, il y a 5 ou 6 ans
(avant je ne m'intéressai qu'à la spiritualité et à l'ésotérisme), j'ai
survolé l'étymologie en comprenant que philosophie vient de philos
(amour) et sophia (sagesse). Pour moi je mettais les deux mots à part
égale et je pouvais aussi bien dire philo sophia que sophia philo.
Mais rapidement, en fréquentant les cafés philos, j'ai bien vu qu'il
s'agissait de sagesse uniquement et pire de connaissance liée à la
sagesse, car pour moi on peut très bien être sage sans avoir aucune
connaissance intellectuelle sur les textes des philosophes anciens ou
modernes.
A l'extrême, on pourrait considérer un journaliste sportif connaissant
tout du saut à la perche mais n'étant lui même qu'un piètre sauteur.
Les débats purement intellectuels ont la fâcheuse tendance à tourner à
la querelle d'ego, ce qui peut être illustré par la phrase d'Aristote
«L'ignorant affirme, le savant doute, le sage réfléchit».
J'ai essayé d'équilibrer cette polarité en fréquentant d'autres groupes
plus psycho, centrés sur l'intériorisation et l'expression du ressenti
de chacun.
Pourtant je ne désespère pas de pouvoir joindre les deux bouts, c'est à
dire allier les sentiments, le ressenti avec le monde des idées et de la
sagesse.
D'un point de vue symbolique, je représenterais l'amour (et le monde
sensoriel en général) par un cercle (le symbole du cœur ressemble à deux
cercles en train de fusionner), et le monde de la sagesse (et le monde
de la pensée logique en général) par un carré. Le carré est stable
(table, chaise, brique, maison). On dit avoir les idées au carré.
La complémentarité entre les deux est bien illustrée par le tanka
tibétains, constitué d’une alternance de cercles et de carrés
emboîtés les uns dans les autres et au centre (fusion entre les deux
pôles) on trouve le bouddha.
L'amour serait il la vie de l'âme ou l'énergie qui circule entre deux
pôles (monde sensoriel et monde de la pensée, ou esprit et matière, ou
ciel et terre)
Dans un câble électrique, la partie centrale en cuivre
qui conduit l'électricité est appelée l'âme, de même dans une
poutrelle métallique, la partie centrale verticale qui relie la partie
basse et la partie haute, se nomme l'âme.
Donc l'idée de voir l'âme et l'amour comme un flux d'énergie entre deux
pôles, me convient, même si ce n'est qu'une approche mentale qui ne
saurait remplacer le véritable ressenti.
Une autre illustration serait de considérer un grand feu avec de
nombreuses bûches, l'énergie échangée entre les différentes bûches
permet de maintenir un haut niveau de température nécessaire à la
combustion, appelons ce feu amour universel.
Maintenant que se passe t il si un bûche désireuse de faire l'expérience
de l'individualité, se mette en dehors du feu ? L’expérience montre
qu'elle va s'éteindre rapidement.
Mais si deux bûches sortent en même temps et restent à proximité l'une
de l'autre, alors, elles peuvent durer dans leur élan, ce qui tendrait à
monter que l'amour se pratique à deux (au moins à deux).
Beaucoup d'expressions utilisent l'image du feu : brûler d'amour,
déclarer sa flamme, les feux de la passion, l'amour est une flamme qui
dévore, se sentir embrasé.
Cette image nous ramène aux quatre éléments de la tradition : la
terre, l'eau, l'air et le feu.
Le feu n'est pas à confondre avec la flamme (qui est un gaz ionisé donc
qui se rapproche de l'élément air) mais serait plutôt l'énergie
rayonnante crée par le feu, comme la lumière du soleil ou les ondes
électromagnétiques des téléphones portables.
Dans cette optique, le rôle de l'âme en tant qu'agent de liaison entre
le ciel et la terre ou entre la pensée et les sentiments prend tout son
sens.
La célèbre formule des alchimistes Solve et coagula; dissous et coagule
ou encore sépare et réunis, peut donner l'image de la respiration.
Cette respiration existe certainement entre les pensées et les
sentiments mais tantôt est nous est perceptible, tantôt elle ne l'est
pas.
Une pensée complètement détachée de tout sentiment pourrait elle exister
? J'ai plutôt l'impression que non, il me semble au contraire que
lorsque je dis cela est vrai pour parler d'une propriété mathématiques
par exemple, et bien le cela est vrai est une sensation, une perception.
La pensée ou la sagesse serait en quête de sens et l'amour ou les
sentiments seraient en quête de sensations, le sens serait il la
sensation ultime ?
J'ai aussi l'impression que si nous avons un avis logique sur un certain
nombre de choses, c'est parce que nous les avons vécues concrètement,
sous entendu dans une relation affective ou émotionnelle.
C'est ce qu'affirme l'expression c'est le métier qui rentre lorsque
quelqu'un apprend dans la douleur.
Maintenant, en quoi la sagesse ou la connaissance peuvent nous guider
sur la voie de l'amour ? C’est ce qu'il vous appartient de découvrir.
Ce sujet a été traité aux café
philo des phares le 30/01/2011 animé par Sylvie Pétin.
Je vais tenter une approche métaphysique.
La dualité sujet/objet est pour moi incluse dans la dualité
esprit/matière.
On trouve donc deux approches :
Celle des scientifiques matérialistes qui prétendent que la matière
pré-existe (big bang) et qu'elle est allée en se complexifiant jusqu'à
faire apparaître l'esprit .
Celle des religions qui prétendent que l'esprit (aussi appelé Dieu)
pré-existe et qu'il a créé le monde physique (création, incarnation) en
7 jours (que je traduis par 7 phases).
Nous sommes typiquement dans le problème de l'œuf et de la poule, chacun
est comme ue fourmie qui décrit une partie de l'éléphant en partant soi
de la queue, soit de la trompe.
Le coté pile et le coté face de la pièce existent de façon concomitante
mais nous n'arrivons à en percevoir qu'une face à la fois (Que je
traduis par : notre monde conceptuel et notre monde perceptuel
n'arrivent pas (pas encore) à fonctionner de façon synchrone
les objets que nous créons sont peut être des béquilles qui tentent de
rétablir l'état de créateur ou nous étions avant la "chute" .
Chacun de ces objets incarnerait une de nos possibilités spirituelle,
qui nous montre à l'extérieur ce qui est une possibilité intérieure
qu'il nous sera donné de recouvrer le moment venu.
C'est d'ailleurs très grisant de se sentir créateur, mais ne créer que
sur le plan matériel produit un décalage, une pollution (accentuation
vers un pôle).
Le recouvrement de nos capacités spirituelles passe certainement par le
plein épanouissement de notre compréhension du monde, du moins dans ses
principes généraux (unité, dualité, trinité) avec l'association de nos
perceptions subtiles.
Tant que nous laissons notre spiritualité au bord du chemin, nous serons
de plus en plus envahis et dépendants (sous l'emprise) des différents
objets que nous produisons, tant sur le plan physique que sur le plan
des concepts (les objets de la pensée). Les chimères de la pensée
pourrons se dissoudre dans les claires perceptions obtenues par la
réunion de notre esprit créateur et de notre sensibilité subtile.
Il y a un changement de pôle à effectuer (inversion des pôles) ou un
changement de paradigme.
Et si nous passions de l'emprise à la surprise ?
Pour éviter l'emprise des sens, qui serait tomber de charybde en sylla,
donnons du sens ou percevons du sens !
La relation entre esprit et matière est détaillée sur la page des 4
éléments ou des 4 états.
Un complément sur la notion de matière est indiqué sur la page Ma
vision de l'électron .
Albert Einstein a déclaré :
«Placez votre main sur un poêle une minute et ça vous semble durer une
heure. Asseyez vous auprès d'une jolie fille une heure et ça vous semble
durer une minute. C'est ça la relativité.»
Plus sérieusement, il nous a présenté deux formes de relativité : la relativité
restreinte et la relativité
générale.
Pour moi, une distinction semblable existe pour la prostitution, il y a
la prostitution restreinte, à laquelle tout le monde pense spontanément
et qui consiste à vendre des services sexuel pour de l'argent, et il y a
la prostitution générale qui consiste à faire quelque chose uniquement
pour de l'argent et sans amour.
Le 15/04/2011 Message de M.... (une amie)
Je suis croyante, pratiquante.
Tu te dis spirituel mais à mon sens, tu n'es pas du tout dans le sens de
l'église qui prone la fidélité conjugale dans le mariage chrétien.
L'église dit que l'adultere et les relations extra conjugales sont des
péchés mortels. A mon sens, ta spiritualité n'est pas conforme à celle
de l'église chrétienne.
Je te voyais pour la 1ère fois seul à seule et j'ai été vraiment été
très étonnée .
Voilà, j'avais envie de te le partager. Nous ne partageons pas du tout
les mêmes gouts, ni les mêmes valeurs.
Réponse de Yves :
Comme j'ai dû te le dire, j'ai abandonné la religion catholique vers
l'âge de douze ans et depuis chacun de nous deux vie sa vie de son côté.
Je reste cependant sensible à beaucoup de paroles de Jésus qui n'a
jamais condamné personne pour "péché mortel" (voir l'épisode de la femme
adultère) !
Maintenant chacun chacun croie ce qu'il a envie de croire.
Ma mère me raconte que quand elle était petite, sa mère (ma grand-mère
donc) la menaçait de brûler éternellement en enfer si elle n'était pas
obéissante !
On est vraiment à des
années lumière des paroles d'amour de Jésus.
Ces menaces et cette culpabilisation à outrance font encore de gros
dégâts de nos jours, heureusement ma mère n'a pas reproduit sur moi
cette perversité, ce qui me permet de rester à peu pré équilibré, j'ai
aussi eu la chance de croiser dans mon enfance des curés
"progressistes".
Pour ce qui est de partager les mêmes valeurs, je pense que c'est une
illusion en ce sens que cela peut sembler vrai si on se contente d'un
point de vue "extérieur" par exemple en ayant des pratiques communes
comme aller à la messe à telle date.
Mais dès que l'on va plus en profondeur on s'aperçoit (je dis on mais
c'est uniquement mon point de vue) que les gens sont vraiment très
différents, ils n'ont ni la même compréhension des textes (du moins pour
les rares qui les ont lus), ni les mêmes valeurs et ils ne font pas les
mêmes choix dans leur vie.
J'ai quand même fréquenté des catholiques longtemps, d'ailleurs une des
raisons qui m'a fait partir c'est l'écœurement que j'ai eu en voyant
tous ces gens venir à la messe pour pavaner.
Maintenant je suis devenu plus tolérant !
J'ai aussi constaté que les catholiques (les autres religions aussi pour
le peu que je
les ait fréquentées) ne se témoignent pas plus d'amour entre
eux (pas moins non plus soyons honnêtes) que les athées ou que tout
autre groupement humains.
Pourtant, jésus a déclaré : Jean 13:35
A ceci tous connaîtront que vous êtes
mes disciples, si vous avez de l'amour entre vous.
Et aussi : Ephésiens 2.8-10 Alors, à la question : comment
reconnaître un vrai disciple de Christ ? La réponse est : par la qualité
du fruit qu'il porte.
La parole de jésus n'est pas "Suivez aveuglement les dogmes et les lois
établies par d'autres et auxquels vous ne comprenez rien"
La parole de Jésus est : Jn 8, 32 "la vérité vous libérera"
Mais la vérité ne s'obtient pas en suivant bêtement le troupeau, ni en
essayant de se rassurer par un conformisme de surface.
Certes le petit sentier qui consiste à écouter la voie de sa conscience
intérieure, est plus étroit et inconfortable que l'autoroute de la
médiocrité ou les foulent se précipitent.
Dernier point, j'ai l'impression que tu confonds église (ou religion)
avec spiritualité.
Jésus est venu nous parler de la venue
du royaume des cieux (cieux et spirituel sont de la même famille) en
nous donnant des conseils pour y parvenir, mais l'église catholique (qui
au départ était une secte dans le sens de "section" ou "partie" comme il
en existait de nombreuses au temps de jésus) s'est empressée de
construire un royaume bien "matériel" avec des biens, des terres, des
églises, des dogmes, des rituels....
Quand un de ses membres développe de vraies facultés spirituelles, comme
Padre Pio par
exemple, ou des mystiques, ou les miraculés de Lourdes ou certaines
apparitions de la Vierge, l'église se trouve un peu gênée et ne sait pas
quoi faire, un peu comme une poule qui verrait que l'un de ses œufs
devient un canard.
C'est en effet bizarre de professer que l'homme peut se développer dans
un certain sens (la spiritualité) alors que ceux qui le professent n'ont
pas réalisé eux-même
ce développement et qu'en plus ils vont jusqu'à nier voir combattre
(comme dans l'inquisition) ceux qui spontanément manifestent plus ou
moins un tel développement !
La religion catholique (pour moi) c'est du "prêt à consommer" on te dit
: tout est écrit dans ce grand livre, croyez, suivez toutes les lois et
les dogmes et vous serez sauvés.
Sauvés évidemment après la mort comme cela personne ne viendra raconter
qu'un tel programme ne marche pas.
Mais pour ceux qui n'ont ni la possibilité de réfléchir eux-même ou les capacités de le faire, ça
leur permet de faire un bout de chemin.
La spiritualité c'est : Après examen, croyez ce que vous avez
expérimenté vous-mêmes et reconnu raisonnable (citation de Bouddha).
Ce qui est beaucoup moins confortable que de suivre le troupeau, mais
cela demande un certain degré
d'évolution et de conscience.
Pour finir je dirais qu'il faut de tout pour faire un monde, alors je
t'apprécie comme tu es, ne change pas, le soleil éclaire de la même
façon tous les végétaux de la création.
Bonne route à toi.
Mesdames, veuillez répondre à la question suivante :
Si vous savez que vous allez voir un homme en particulier ou que vous
allez dans un endroit ou vous êtes sure de rencontrer des hommes,
comment allez vous vous préparer ?
Quel temps allez vous consacrer à la prépration physique (bain,
maquillage, shampooing, parfum, vêtements, coiffure, parures) ?
Quel temps allez vous consacrer à la préparation émotionnelle ?
Quel temps allez vous consacrer à la préparation intellectuelle ?
Quel temps allez vous consacrer à la préparation spirituelle ?
Maintenant, pourquoi vous étonner que les hommes s'intéressent en priorié à l'aspect de vous pour lequel vous avez passé le plus de temps à vous préparer !
Il meurt lentement
celui qui ne voyage pas,
celui qui ne lit pas,
celui qui n’écoute pas de musique,
celui qui ne sait pas trouver grâce à ses yeux.
Il meurt lentement
celui qui détruit son amour-propre,
celui qui ne se laisse jamais aider.
Il meurt lentement
celui qui devient esclave de l’habitude refaisant tous les jours les
mêmes chemins,
celui qui ne change jamais de repère,
Ne se risque jamais à changer la couleur de ses vêtements
Ou qui ne parle jamais à un inconnu
Il meurt lentement
celui qui évite la passion et son tourbillon d’émotions
celles qui redonnent la lumière dans les yeux
et réparent les cœurs blessés
Il meurt lentement
celui qui ne change pas de cap
lorsqu’il est malheureux au travail ou en amour,
celui qui ne prend pas de risques pour réaliser ses rêves,
celui qui, pas une seule fois dans sa vie,
n’a fui les conseils sensés.
Vis maintenant !
Risque-toi aujourd’hui !
Agis tout de suite !
Ne te laisse pas mourir lentement !
Ne te prive pas d’être heureux !
Le gourou (ou le patron, le chef, le dirigeant...), n'est pas laid ou
repoussant, il est souvent beau, séduisant, charmeur voir charismatique
et c'est à partir de ces qualités qu'il va exercer son emprise pour vous
manipuler.
Donc ne prenez plus les vessies pour des lanternes et sachez à quel
saint vous vouer (le droit ou le gauche ?)
Toute vérité n'est pas bonne à dire (à n'importe qui ?).
Avant de parler, il faut tourner sa langue sept fois dans sa bouche
(proverbe que me rappelaient mes parents et grands parents et qui
signifie peut être : mettre en accord les sept plans de notre être avant
de s'exprimer).
Ci dessous le parcours de la vérité :
D'abord, ils nieront la chose. Ensuite, ils la minimiseront. Enfin, ils
diront que cela se savait depuis longtemps. (Alexander von Humbolt)
On peut rire de tout mais pas avec n'importe qui. (Pierre Desproges)
Rien ne peut arrêter une idée dont l'heure est venue. (Victor Hugo
?)
La vérité est têtue.
La vérité est une maîtresse, pas une servante.
Puisque toutes ces choses nous dépassent, feignons d'en être les
organisateurs. (Jean Cocteau)
Ne donnez pas les choses saintes aux chiens, ni ne jetez vos perles
devant les pourceaux, de peur qu’ils les les piétinent de leur pieds, et
que, se retournant, ils ne vous déchirent. (Matt 7:6)
On ne fait pas boire un âne qui n'a pas soif (proverbe de la
campagne moins élégant que la parole de jésus précédente mais aussi
efficace).
La vérité sort de la bouche des enfants ? Peut être en prenant le mot
enfant dans le sens de "pur" comme disait jésus : En vérité,
je vous le dis: Si vous ne vous retournez pas et ne devenez comme des
petits enfants vous n'entrerez pas dans le Royaume des Cieux.
(Matthieu 18, 3)
Ce qui est aujourd'hui un paradoxe pour nous sera pour la postérité
une vérité démontrée. (Diderot)
Les vérités sont des illusions dont nous avons oublié qu'elles sont
telles. (Friedrich Nietzsche)
Nous connaissons la vérité non seulement par la raison mais encore par
le coeur. (Blaise Pascal)
Le don de vérité est un don qui surpasse tous les autres. (Bouddha)
Ce n'est pas parce que vous avez dénoncé un mensonge que vous avez
trouvé une vérité. (moi)
On croit que le diable raconte des mensonges or c'est faux, car les
mensonges tout le monde sait les repérer, le diable prend une vérité et
lui donne une imperceptible torsion. (Sri Aurobindo)
Toute vérité franchit trois étapes. D'abord, elle est ridiculisée.
Ensuite, elle subit une forte opposition. Puis, elle est considérée
comme ayant été une évidence. (Arthur Schopenhauer)
La vérité appartient à ceux qui la cherchent et non à ceux qui
prétendent la détenir. (Marie Jean Antoine de Caritat, marquis de
Condorcet)
Seule la vérité est révolutionnaire. (Lénine)
Vous connaîtrez la vérité et la vérité vous affranchira. (Jean.
8, 31-32)
Lorsque la vérité est remplacée par le silence, le silence devient
un mensonge. (Yevgeny Yevtushenko)
Vérité en deçà des Pyrénées, erreur au-delà. (Pascal)
Lorsqu'une problématique nouvelle apparaît sur terre, des clans se
forment, chacun affirmant détenir la vérité et étant souvent prêt à
combattre pour imposer sa vision aux autres. Après un certain temps et
après avoir essayé les solutions des uns et des autres et surtout après
s'être aperçu qu'aucune ne fonctionne parfaitement, on en vient à
écouter les gens qui ont un point de vue plus haut, plus subtil, qui
savent faire la part des choses entre les différents points de vue. Ceci
est bien résumé dans la citation d'Aristote : L'ignorant affirme,
le savant doute, le sage réfléchit.
La vérité ne se laisse pas enfermer dans un cage, même si les barreaux
sont dorés.
Or c'est ce que les hommes n'arrêtent pas de faire, il créent des
dogmes, des lois, des textes, des sytèmes, des habitudes et finissent
par se retrouver prisonniers de tout ce fatras.
Il y a même une croissance énorme de cette production, aujourd'hui, le
Journal officiel compte 23 000 pages, pour seulement 15 000 dans les
années 1980, seuls des spécialistes arrivent à se retrouver dans cette
jungle, et encore spécialité par spécialité ! Nous sommes loin du temps
de Moïse ou il n'y avait que 10 commandements.
Un jour, apparut un petit trou dans un cocon.
un homme, qui passait à tout hasard, s’arrêta de longues heures à
observer le papillon, qui s’efforçait de sortir par ce petit trou.
Après un long moment, c’était comme si le papillon avait abandonné, et
le trou demeurait toujours aussi petit.
On dirait que le papillon avait fait tout ce qu’il pouvait, et qu’il ne
pouvait plus rien faire d’autre.
Alors l’homme décida d’aider le papillon : il prit un canif et ouvrit le
coccon. Le papillon sortit aussitôt.
Mais son corps était maigre et engourdi ; ses ailes étaient peu
développées et bougeaient à peine.
L’homme continua à observer, pensant que, d’un moment à l’autre, les
ailes du papillon s’ouvriraient et seraient capables de supporter le
corps du papillon pour qu’il prenne son envol.
Il n’en fut rien ! Le papillon passa le reste de son existence à se
traîner par terrre avec son maigre corps et ses ailes rabougries. Jamais
il ne put voler.
Ce que l’homme, avec son geste de gentillesse et son intention d’aider,
ne comprenait pas, c’est que le passage par le trou étroit du coccon
était l’effort nécessaire pour que le papillon puisse transmettre le
liquide de son corps à ses ailes de manière à pouvoir voler. C’était le
moule à travers lequel la vie le faisait passer pour grandir et se
développer.
Parfois, l’effort est exactement ce dont nous avons besoin dans notre
vie.
Si l’on nous permettait de vivre notre vie sans rencontrer d’obstacles,
nous serions limités. Nous ne pourrions pas être aussi forts que nous le
sommes. Nous ne pourrions jamais voler.
J’ai demandé la force ...
Et la vie m’a donné les difficultés pour me rendre fort.
J’ai demandé la sagesse ...
Et la vie m’a donné des problèmes à résoudre.
J’ai demandé la prospérité ...
Et la vie m’a donné un cerveau et des muscles pour travailler.
J’ai demandé de pouvoir voler ...
Et la vie m’a donné des obstacles à surmonter.
J’ai demandé l’amour ...
Et la vie m’a donné des gens à aider dans leurs problèmes.
J’ai demandé des faveurs ...
Et la vie m’a donné des potentialités.
Je n’ai rien reçu de ce que j’ai demandé ...
Mais j’ai reçu tout ce dont j’avais besoin.
Vis la vie sans peur, affronte tous les obstacles et démontre que tu
peux les surmonter.
A priori, nous n'avons qu'un seul temps (le temps présent) alors que
peut bien signifier le terme "la fin des temps" ?
Si nous regardons notre montre, nous avons la trotteuse qui démarre à
zéro seconde puis une puis deux etc jusqu'à 60 secondes et la, elle a
fini son temps (de 60 secondes) et elle repart à zéro puis une puis deux
etc.
De même la grande aiguille commence à zéro minute puis une puis deux etc
jusqu'à 60 minutes et la elle a fini son temps (de 60 minutes) et elle
repart à zéro.
Maintenant que se passe t il le 31 décembre à minuit zéro minute zéro
seconde .
Et bien il se trouve que nous avons plusieurs "comptages" qui finissent
simultanément leur période de comptage pour repartir à zéro (les
secondes, les minutes, les heures, les jours, les mois).
Ce synchronisme de fin de plusieurs comptages peut donc être considéré
comme une fin des temps dans le sens de fin de plusieurs temps qui vont
repartir à zéro ensemble, ce qui n'est pas du tout la fin absolue de
toute chose.
Mais dans notre exposé nous n'avons pas parlé des temps infiniment plus
petits que la seconde, par exemple, il y a 9 192 631 770 oscillations de
l'isotope de césium dans une seconde, et dans l'infiniment grand nous
avons la très belle Cosmologie hindoue, qui se compose de :
Les quatre âges de l’humanité par Raymonde Reznikov (d’après les
doctrines hindoues)
Krita Yuga (Age d’or) 1 728 000 ans
Tretâ Yuga (Age d’argent) 1 296 000 ans
Dvâpara Yuga (Age de bronze) 864 000 ans
Kali Yuga (Age noir) 432 000 ans (notre âge actuel)
Un Maha Yuga = 4 320 000 ans
1 000 Maha Yuga = Un Kalpa ou un jour de Brahma : 4 320 000 000 ans
Un jour et une nuit de Brahma = 8 640 000 000 ans
Une année de Brahma (360 jours) = 3 110 400 000 000 ans
Une vie de Brahma (100 années) = 311 040 000 000 000 ans
Tous ces nombres sont des multiples de 9. Oublions les zéros, et nous
avons :
432/9 = 48 ; 864/9 = 96 ; 1296/9 = 144 ; 1728/9 = 192 ; 31104/9 = 3456
Le jugement dernier arrive en principe en dernier c'est à dire à la fin
des temps (qui ne sont en fait que le retour à zéro de certains comptage
de temps, comme expliqué ci avant).
Qui aurait l'idée de juger un bébé qui arrive tout juste au monde et qui
n'a encore rien fait ?
Dans une usine de montage de téléviseurs (ou de tout autre appareil
technique), une fois arrivé en bout de chaîne (à la fin des temps de
montage), le fabricant procède à des tests, à des contrôles (le jugement
?).
Les appareils jugés bons partent mener la grande vie vers leur futur
propriétaire, les appareils jugés recyclables repartent vers la chaîne
de montage pour être remis à niveau (le purgatoire ?) et ceux jugés
irrécupérables partent au pilon (la deuxième mort ?). Ceci ressemble
beaucoup à la séparation entre le bon grain et l'ivraie dont parlait
Jésus, et il faut bien attendre la moisson (le bout de chaine) avant de
faire le tri.
Un détail à préciser est que les tests ne consistent pas seulement à
vérifier si les appareils marchent ou non, ils doivent montrer qu'ils
peuvent fonctionner dans des conditions bien plus sévères que les
conditions de fonctionnement normal.
Par exemple si un réseau de chauffage est prévu pour fonctionner à une
pression de 3 bars (1 bar = 10 mètres de hauteur de colonne d'eau), il
sera testé à une pression de 6 bars pendant deux heures soit à deux fois
sa pression de service.
Donc si vous êtes dans l'épreuve, gardez courage.
Maintenant, si le jugement dernier ne vous convient pas, vous pouvez
essayer une solution alternative, en pratiquant justement une inversion
de polarité ou une permutation, c'est à dire en passant du jugement
dernier au dernier jugement.
Ceci pourra se faire en pratiquant votre dernier jugement et ensuite à
remplacer le jugement par l'amour et la compréhension.
Et si vous téléphoniez à Dieu ? commencez par taper 9 chiffres et la,
rien ne va se passer car comme vous le savez, en France il faut taper 10
chiffres pour (espérer) avoir votre correspondant.
Donc, ce n'est qu'a la fin des temps (au dixième chiffre) que vous serez
jugés (que vous saurez si vous avez composé les bons chiffres).
Maintenant vous pouvez raccrocher sauf pour les accrocs qui n'avaient
pas encore décroché.
En utilisant la métaphore de l'aimant et de la limaille de fer, Olivier
Clerc montre que la médecine moderne, depuis pasteur, s'est développée
selon les mêmes lignes de force que la religion chrétienne, et plus
particulièrement catholique, dont elle a adopté les croyances, les
dogmes, les rites et pratiques, sous des formes à peine différentes,
devenant ainsi une sorte de religion masquée :
- le médecin a pris la place du prêtre ;
- la recherche de la santé remplace la quête du salut ;
- l'espoir de l'immortalité (par clonage, manipulations génétiques,
etc.) l'emporte sur l'attente de la vie éternelle ;
- la vaccination joue le même rôle initiatique que le baptême ;
- et un hypothétique vaccin universel sauvera demain l'humanité de
toutes les maladies, comme le Sauveur a racheté tous les péchés du
monde.
Le pouvoir médical est aujourd'hui allié à l'État, comme l'était hier
l'Église. Les « charlatans » sont poursuivis comme les « hérétiques »
d'autrefois, et le dogmatisme prévaut sur l'ouverture à des théories «
pas catholiques ». Un même esprit de déresponsabilisation caractérise le
discours médical actuel et les sermons du passé.
L'homme est aujourd'hui aliéné de son corps comme hier de son âme. Il
continue d'être manipulé par la peur et par des espoirs infantiles.
Vous pouvez télécharger
ce livre au format PDF.
La violence a deux visages, deux polarités opposées, dont une seule est
clairement identifiée à ce jour.
Paru chez Jouvence en 2004, ce livre est préfacé par Charles Rojzman.
On parle de « la » violence, comme s’il s’agissait d’un phénomène
unique.
En réalité la violence possède deux polarités, yin et yang, l’une
visible, l’autre cachée, auxquelles recourent aussi bien les hommes que
les femmes.
Là où l’une est évidente, l’autre est aussi présente, invisible.
A défaut de le voir, la société combat la violence manifeste, sans
prendre en compte celle cachée dans laquelle elle s’enracine.
D’où l’échec des méthodes visant à réduire la violence dans le monde,
qui ne s’attaquent qu’à ses manifestations superficielles et
symptomatiques.
Olivier Clerc nous fait découvrir ces deux polarités de la violence
(qu’il nomme métaphoriquement « le Tigre » et « l’Araignée), en
soulignant plus particulièrement la seconde, plus méconnue, bien
qu’aussi répandue et destructrice que la première.
Il met ensuite en évidence les interactions existant entre ces deux
polarités, qui forment ensemble le cycle infernal de la violence,
ouvrant ainsi la voie à des thérapeutiques de la violence qui
s’attaqueront aussi à ses racines profondes et non plus seulement à ses
manifestations les plus visibles.
Un regard inédit et passionnant sur l’un des grands fléaux de la
société.
Vous pouvez télécharger
ce livre au format PDF.
Rien n'est poison, tout est poison: seule la dose fait le poison.
Cette réflexion venue du monde médical, pourrait aussi s'appliquer sur
le plan de l'écologie, elle deviendrait alors :
Si 10% de la population mondiale possède une automobile, ça peut être un
bienfait (pour eux), mais si 90% de la population mondiale possèderait
une automobile, ça serait une catastrophe écologique au niveau de la
pollution et de l'épuisement des ressources.
Je vous laisse généraliser à d'autres domaines.
Si vos valises sont trop lourdes à porter, vous serez tentés de
les poser de loin en loin pour souffler un peu, pour reprendre des
forces.
Cette image des
valises se retrouve dans la vie concrète sous différents aspects.
Lorsque la vie devient insupportable à cause du stress, à causes des
difficultés de tout ordre, certains sont tentés d'utiliser des moyens de
soulagement pour retrouver au moins pour un instant un peu de quiétude,
de sérénité ou au contraire de l'excitation.
Pour certains ce moyen va être l'alcool, pour d'autres ce sera le tabac,
la drogue, la sexualité débridée, l'acharnement au travail, la pêche à
la ligne, la conquête amoureuse, la recherche de la gloire...
Toutes ces choses ne peuvent évidemment apporter un bonheur durable et
encore moins éternel, ils peuvent même faire entrer l'individu dans un
cercle infernal de dépendance.
Le maigre (mais réel) plaisir obtenu peut laisser imaginer qu'en en
faisant "encore plus", la satisfaction complète pourrait être obtenue et
le stress définitivement levé.
Quand la raison arrive un peu à contrôler cette dérive, un équilibre
peut être obtenu, sinon, c'est l'autodestruction qui est en vue.
Pour moi, il existe deux formes principales de suicide :
Le suicide rapide auquel tout le monde pense spontanément.
_Poison, médicaments.
_Saut dans le vide ou sur des rails.
_Arme à feu.
Le suicide lent, moins connu en tant que suicide mais infiniment
plus pratiqué.
_Manger une nourriture contenant des pesticides, des antifongiques, des
antibiotiques, des antiseptiques, des engrais chimiques, des
conservateurs, des OGM (organismes génétiquement modifiés).
_Vivre dans des bâtiments malsains : Amiante (interdite seulement depuis
1997 après 50 ans d'alertes lancées par les scientifiques), le
formaldéhyde qui fait partie de la famille des COV (composés organiques
volatils) largement utilisé dans la fabrication des matériaux de
construction (panneaux de bois agglomérés) et des différents éléments
qui équipent le logement (parquets, moquettes, isolation) classé en juin
2004 par le Centre International de Recherche sur le Cancer (CIRC)
dans la catégorie des cancérogènes avérés pour l’homme, au même titre
que le benzène.
Le radon qui est un gaz radioactif naturel (mais dangereux) qui émane
des roches du sous-sol, et qui atteint dans certaines maisons des taux
alarmants.
Mauvaise ionisation naturelle de l'air, allergènes, produits de
traitement du bois des charpentes.
_Se bourrer de médicaments à la moindre occasion sans même tenter les
médecines traditionnelles et si possible prendre des médicaments
inefficaces ou dangereux pour la santé.
_Vivre avec quelque-un qui vous pompe l'air, qui vous empêche de
respirer ou pire qui vous manipule ou vous maltraite.
_Vivre dans le stress en vous donnant des challenges qui n'apportent que
des satisfactions passagères et des problèmes durables.
_Regarder sans cesse des images de guerre, de violence, de meurtre, de
vol, de corruption, d'accident, de souffrance, de disparition,
d'enlévement, de magouille, de manipulation, de rapport de force, de
tromperie, de mensonge, de séduction.
_Cultiver en soi des idées noires, ne voir que le pire coté des choses
et surtout n'en parler à personne.
_Fuir toute chose qui pourrait vous faire redonner goût à la vie ou vous
faire entrevoir des possibilités ou des conceptions de la vie plus
harmonieuses.
Depuis mon enfance je cherche à percer les secrets de la vie, inutile
pour ça d'avoir un lieu secret ni un laboratoire, ma conscience, ma
sensibilité et mon raisonnement sont toujours avec moi.
Au début je passais souvent à l'action, le moindre objet qui se trouvait
sur mon chemin était démonté sans parfois savoir le remonter.
J'allais même jusqu'à redessiner le schéma de principe d'un poste de
radio en suivant patiemment les liaisons entre les composants avec mon
doigt.
Ensuite je suis progressivement passé des liaisons entre les parties
d'un objet, aux liaisons entre les individus qui sont autrement plus
complexes.
En mathématiques, un nombre complexe est un nombre qui a une partie
réelle et une partie imaginaire, du moins c'est nous qui lui attribuons
de telles propriétés.
Voila donc un effet bizarre des secrets de la vie, il semble que
certains choses n'existent que dans notre esprit, notre imaginaire,
c'est à dire que c'est nous qui les créons, alors que d'autres sont
visibles et observables par tous ce qui fait que nous sommes un peu
rapidement tentés de les appeler "la réalité".
Ma dernière phase fut de passer au symbolisme, les symboles ont aussi un
aspect complexe en ce sens qu'on peut les représenter par une figure
géométrique "réelle" observable par tous mais la signification que nous
leur attribuons pet varier à l'infini entre deux individus.
Les quatre éléments de la tradition (terre, eau, air, feu) furent pour
moi comme une pierre de rosette pour me permettre de relier le ciel et
la terre (ou le réel et l'imaginaire).
Ce canal dont le plus beau représentant est le caducée, ne m'a pas
encore conduit à Venise, mais il m'a fait évoluer depuis mes premières
amours vis à vis du soleil, symbole de lumière, de connaissance.
Maintenant, cette quête cherche à s'incarner, à redescendre sur terre
pour perpétuer la grande respiration cosmique.
PS : Ce texte a té rédigé lors d'un atelier d'écriture le 18 août 2011
organisé par Aella.
La reine des abeilles stérilise chimiquement ses ouvrières. Elle
produit une sécrétion ou phéromone appelée « substance royale ».
Les ouvrières absorbent cette substance lors des léchages et échanges
alimentaires (trophallaxies).
Cette substance sucrée est très attractive pour les ouvrières d’où cette
cour autour d’elle. De plus, elle sert de carte d’identité à chaque
reine.
Aucune ne sécrète la même.a phéromone royale bloque le développement
ovarien des ouvrières.
Cette stérilisation cesse si la reine disparaît. Si c’est le cas, les
ouvrières peuvent à nouveau pondre.
Mais, elles ne feront que des mâles. Cette bizarrerie de la nature, par
laquelle une cellule sexuelle femelle donne un mâle, caractérise les
Hyménoptères.
Fin de l'extrait de la vie passionnante des abeilles dont vous trouverez
la version intégrale
sur ce site.
Maintenant je m’interroge sur la comparaison qu'il y aurait à faire avec
la société humaine.
N'y a t il pas un phénomène semblable ou le "pouvoir ?" essaierait de
nous stériliser mais plutôt mentalement et émotionnellement, en nous
abreuvant de pensées et d'émotions frelatées.
A l'époque des Romains, JUVENAL disait que pour gouverner il faut donner
au peuple du pain et des jeux. De quoi se nourrir et se divertir.
Quand le pain est abondant et les jeux divertissants, le peuple,
pourrait-on dire endormi, ne se révolte pas.
En 850 ans d’histoire, les Romains ont conquis et géré un Empire qui
dépassait tout ce qui a été fait avant et depuis. Au début, le
gouvernement romain était au service du peuple.
Mais, au fil des ans, le pouvoir leur est monté à la tête. Nous avons
tous entendu parler des banquets, des orgies romaines et autres lupanars
qui n’étaient pas l’apanage du petit peuple mais plutôt celui des
empereurs, sénateurs et notables.
Le peuple romain auto-suffisant, courageux et souverain s’est peu à peu
transformé en une société dépendante du gouvernement et des notables
pour satisfaire ses besoins quotidiens.
Vers 140 A.D., l’historien Romain Fronto écrivait: « La société romaine
est préoccupée principalement par deux choses, ses ressources
alimentaires et ses spectacles ».
De nos jours point de distribution de farine mais pour un grand nombre
d’entre nous le minimum pour ne pas mourir de faim (RMI, RSA) ou autres
« providences » de l’Etat visant à nous garder sous son contrôle.
Les jeux du cirque ont aujourd’hui pris une autres forme mais les arènes
sont toujours là, on vient y admirer « les bleus », et les notables
romains ont des successeurs dans les orgies et les lupanars.
Ayons également une pensée pour la télé réalité , sans oublier les
célèbres jeux de Tf1.
Dans ce qui suit, je vous laisse découvrir les parallèles mais souvenez
vous c’était il y a 20 siècles!
Les taxes atteignirent des niveaux inégalés et paralysèrent
l’entreprenariat. Les entreprises bien établies s’en remettaient au
gouvernement pour assurer leur survie.
En 410 A.D., les Goths envahissent et saccagent Rome. L'Empire romain
n’était plus que le pâle reflet de la République qui avait conquis le
monde.
La corruption dominait le gouvernement et la bureaucratie. Les discours
et les promesses remplaçaient l’action.
Les Romains avaient graduellement échangé leur liberté au profit de
l’État-providence.
La population démoralisée attendait passivement que les politiciens
agissent. L’immobilisme dominait la société romaine. Du pain et des jeux
…
Malheureusement, un des effets pervers de la prospérité est de favoriser
la croissance de certains gouvernements.
Petit à petit, l’État gouverne au détriment des libertés individuelles.
Ce cycle se répète depuis le début des temps.
Pouvons-nous mettre fin à ce cycle? C’est-à-dire, pouvons-nous créer un
État dans lequel les libertés individuelles resteraient une valeur
durable?
Une personne libre, assume ses responsabilités, respecte la liberté des
autres et rejette tout pouvoir absolu.
Cette liberté ne peut pas être protégée seulement par des lois ou
imposée par la force. La liberté n’est pas gratuite. Elle exige un
effort continu et une vigilance de chaque instant.
PS : Ce texte est une citation de Céline
S.
Vous avez certainement quelques souvenirs des invasions
barbares apprises à l'école.
Ils portaient les doux noms de : Alains, Vandales,
Avars, Huns, Lombards,
Suèves, Angles,
Jutes, Frisons, Saxons, Burgondes,
Wisigoths, Ostrogoths, Vikings.
On se les imagine sur leur fier destrier, l'épée à la main.
Mais aujourd'hui (nous vivons une époque moderne) les apparences ont
bien changées, les nouveaux barbares ont un costume cravate, un attaché
case et un smartphone.
Ils viennent vous voir avec le sourire et vous disent "Regardez ce
papier, vous avez signé, vous devez rembourser avec tout l'intérêt,
sinon il faudra vendre vos biens que nous pourrons racheter à vil prix".
Pour vous inciter à rentrer dans ce cercle vicieux, ils sont venus comme
les vendeurs de drogue à la sortie des lycées, vous donnant les
premières doses et vous faisant payer après que vous soyez devenus
accros.
C'est la fameuse aventure des subprimes
qui a déclenché le début de l'écroulement du système financier
international.
Beaucoup sont complices en vous incitant à consommer à outrance avec la
promesse d'un bonheur factice et avec le crédit, le bonheur est immédiat
(pourquoi attendre ?).
Alors ouvrez l’œil et le cœur.
Cette opinion semble progresser mais je ne la partage pas, j'ai plutôt
la vision d'un monde en alternance entre le ciel et la terre.
Les religions du passé (et encore en partie présentes) étaient axées
vers le ciel (Dieu le père) cette vision semble avoir démarré avec
Akhenaton et le culte d'Aton (le disque solaire à prendre comme symbole
de la lumière, de la connaissance) mais elle s'est rapidement arrêtée
pour être reprise plus tard par les trois religions monothéistes.
Beaucoup plus loin dans le passé, on trouve le culte de la déesse (la
terre mère) dont très peu de traces nous sont parvenues.
Aujourd’hui l'alternance fait à nouveau son œuvre, beaucoup quittent les
religions "spirituelle, élevées, lointaines" pour retourner vers la
terre à travers le matérialisme .
Maât est d'abord de dimension divine, elle est la mère de Rê dont elle
est aussi la fille et l'épouse, elle est aussi la sœur mystique de
pharaon.
Matériel ou matière commencent comme maternel, mater veut dire mère en
latin. Le lien entre la terre (mère) et le matérialisme est assez
lisible.
Les adorateurs de l'argent, de la technologie, de la science, du pouvoir
temporel, voient leurs rangs grossir chaque jour. Ceci est bien un
basculement et non une élimination de toute forme de religion (de
liens).
Les excès qui en découlent font déjà apparaître une nouvelle alternance
qui sera certainement plus équilibrée.
L'épisode du veau d'or dans l'ancien testament nous rappelle que cette
alternance n'est pas née d'hier.
La nature la pratique depuis toujours avec l’alternance jour/nuit ou le
chemin de la sève entre les feuilles et les racines ainsi que mille
autres.
Lettre H :
Hulk est un personnage de fiction appartenant à
l'univers
de Marvel
Comics.
Créé par Stan
Lee et Jack
Kirby, il est apparu pour la première fois dans le comic The Incredible Hulk
#1 de mai 1962.
Il peut faire des sauts de 1 000 mètres
en hauteur, et d'une distance maximum de 6 kilomètres en longueur.
Il ne craint ni les chaleurs extrêmes ni le froid, et est immunisé
contre toutes les maladies terrestres.
Il peut survivre dans le vide et le froid de l'espace. Même blessé, ce
qu'une force suffisante peut faire, ses tissus se régénèrent à très
grande vitesse.
Il connait une force croissante en situation de colère.
Peter
David explique que Hulk vert est l'expression des peurs de
l'enfance.
En résumé, ce super héros est assez "brut de décoffrage", pas très évolué ni subtil, il n'est pas encore mur, peut être à cause de sa couleur verte.
Lettre S :
Superman est un personnage de fiction, un super-héros de comic de l’éditeur DC Comics et est considéré comme une icône
culturelle américaine.
Créé en 1932 par l’écrivain américain Jerry Siegel et l’artiste canadien Joe Shuster.
Les pouvoirs de Superman lui sont conférés par le soleil jaune de la
Terre dont il absorbe les radiations, et aussi par le fait que sa
constitution est adaptée à la pesanteur de Krypton, très supérieure à
celle de la Terre.
Tout Kryptonien exposé au Soleil de la même manière peut acquérir les
mêmes pouvoirs.
Il est doté d'une super-force, d'une super-vitesse, d'une
invulnérabilité, de la possibilité de voler à des vitesses
extraordinaires, d'une super-vision, d'une vision thermique, d'une
super-ouïe, d'un super-souffle, d'une super-mémoire, d'une
super-intelligence.
Spider-Man (L’Homme araignée) est un personnage de fiction, super-héros appartenant à l'univers de Marvel Comics.
Créé par le scénariste Stan Lee et le dessinateur Steve Ditko. Il apparaît pour la première fois dans le comic
book Amazing
Fantasy #15 en 1962.
Spider-Man peut s'accrocher à n'importe quelle surface par les mains,
son agilité, ses réflexes et son sens de l'équilibre sont similaires à
ceux d'une araignée, l'intégralité de ses capacités, qu'il s'agisse de
sa force, son endurance, sa résistance, ses réflexes ou ses capacités de
régénération sont supérieures à celles d'un humain ordinaire, des
appareils de sa création fixés sur ses poignets lui permettent lorsqu'il
presse un bouton sous son poignet, de créer et projeter de ses mains une
toile extrêmement solide et collante, il possède un « sens
d'araignée », sorte de don de précognition l'avertissant de tout
danger proche, dans la saga L’Autre, il avait acquis une
capacité de vision nocturne.
En résumé, ces deux super héros sont nettement plus subtils que Hulk
mais demeurent ancrés sur le plan de l'égo, leurs capacité sont
"personnelles" même s'ils veulent sauver le monde.
Lettre Z :
Zorro (mot qui signifie « renard » en espagnol) est un personnage de fiction créé en 1919
par Johnston
McCulley : c'est un justicier masqué vêtu de noir qui combat
l'injustice.
Aidé par son fidèle serviteur muet, Bernardo, et accompagné de son
cheval Tornado, il se vêt entièrement de noir.
Ce personnage, bien qu'étant le plus ancien de notre alphabet (1919) est
de beaucoup le plus subtil.
Il agit masqué et tout en noir, cet incognito montre qu'il ne cherche
pas à se mettre en valeur d'un point de vue personnel, il ne montre pas
son identité.
Son serviteur est muet (celui qui sait se tait "Lao Tse" ou encore le
bruit ne fait pas de bien et le bien ne fait pas de bruit "Saint Vincent
de Paul").
Il n'a aucun pouvoir autre que son courage, sa bravoure et son sens de
la justice.
Ses "accessoires" principaux sont l'épée et son cheval tornado, le
cavalier est celui qui a maitrisé sa partie animale (symbolisée par le
cheval et correspondant à la partie instinctive de l'homme).
Le nom de "Tornado" est un joli clin d'oeil, la tornade (de l'espagnol tornado, dérivé du verbe tornar,
tourner) est un vortex
(tourbillon) de vents extrêmement violents.
Il utilise une technique de pointe en signant de son initiale "Z" à la
pointe de son épée, l'épée pouvant être vue comme un symbole de vérité
puisqu'elle permet de séparer le vrai du faux.
L'essence même de cette vérité (la pointe ou la fine fleur) est à la
pointe, c'est le Z qui marque la fin de l'alphabet et peut être le début
d'un nouveau cycle. (La fin détend ou la fin des temps).
Il signe avec son initiale "Z" et initiale ou initié a le sens de
commencement (bien que Z soit à la fin) nous avons encore une fois
l'inversion de polarité à la fin des temps.
En enlevant le Z que nous venons d'étudier, il reste orro qui est un
palindrome tout comme rotor la partie essentielle d'un moteur.
Orro contient deux fois de l'or avec une inversion or -> ro ce qui
amplifie l'idée de fin de cycle avec un nouveau départ.
Orro peut aussi s'entendre comme de début de aurore (correspond au moment où le jour pointe à
l'horizon) donc encore l'idée d'un début, mais ne me parlez pas de Euro
qui semble sur le déclin.
Cerise sur la gâteau, zorro est proche de zéro (ou de héros) qui est lui
aussi un commencement ou un recommencement.
L'an 30 :« Ne donnez pas les choses saintes aux chiens, et ne jetez pas
vos perles devant les pourceaux, de peur qu’ils ne les foulent aux
pieds, ne se retournent et ne vous déchirent ». [Jésus]
L'an 1960 : « On ne fait pas boire un âne qui n'a pas soif ». [Ma
grand mère]
L'an 1980 : « J'parle pas aux cons, ça les instruit ». [
Michel Audiard ]
Parabole, hyperbole, symbole, vous voila avec beaucoup de bols,
heureusement vous êtes bien tombés (sur moi), est ce un coup de bol ?
La coupe n'est pas encore pleine alors commençons à la remplir.
Un petit nettoyage pour commencer car « il faut mettre le vin nouveau
dans des outres neuves » [Luc 5, 36-39].
Donc ôtez vous de la tête que l'étude du symbolisme soit comme
l'apprentissage scolaire d'un annuaire à deux colonnes ou il s'agirait
de mettre en correspondance un symbole avec sa définition en face,
établie une fois pour toutes.
C'est pourtant le cas pour certains types de symboles, notamment ceux
qui sont déterminés par la culture d'un peuple, comme les lettres de
l'alphabet Romain ou grec et encore pour les chiffres Romains ou Arabes
que nous utilisons.
Les plus simples des symboles (appelons les des "proto" symboles) sont
peut être le point, le segment de droite et la courbe, je vous laisse
faire les associations que vous voulez entre ces symboles et d'autre
polarités de la vie, comme le couple féminin/masculin.
Ensuite nous trouvons des figures géométriques simples mais avec une
sorte d'élaboration faite de régularité et de plénitude : Le cercle, le
carré, le triangle équilatéral, la sinusoïde.
Ils se déclinent ensuite en des variantes plus ou moins élaborées comme
l'ovale, le rectangle, le triangle quelconque, la courbe irrégulière
avec ou sans point d’inflexion.
Des combinaisons à l'infini peuvent de faire à partir des ces figures de
base, on pourra ainsi se rapprocher du monde réel complexe qui parle
plus à notre œil mais qui s'éloignent de la pureté et de la puissance
des origines.
Un des buts de l'étudiant sera de joindre les deux bouts que sont la
simplicité et le complexe.
A cet effet nous verrons que les symboles respirent, ils nous font
voyager du centre vers la périphérie et de la périphérie vers le centre.
Le mot respire contient déjà une partie du chemin puisqu'on y entend le
mot "spire" comme dans spirituel et que nous avons également le
transformateur électrique ou plutôt électro magnétique, constitué par
deux enroulements spiralés autour d'un noyau en matériau ferromagnétique. ceci étant une copie
pratiquement conforme du caducée.
En quittant progressivement le monde du trait ou de la géométrie, nous
allons trouver des représentations plus figuratives basées sur le monde
végétal, animal et plus rarement humain.
Il peut s’agir d'animaux réel ou mythologiques.
Au final nous trouverons des représentation abstraites, dans le sens ou
elles n'ont pas d'équivalent dans le monde physique observable.
C'est beaucoup le cas pour les logos d'entreprises.
Le monde des symboles et donc immense et les motivations de ceux qui les
utilisent peuvent aussi varier à l'extrême, allant d'une simple visée
commerciale d'identification rapide pour créer un réflexe d'achat ou
pour renforcer un sentiment de reconnaissance par rapport aux autres
possesseurs d'un certain produit, et en allant jusqu'à celui qui cherche
à percer les mystères de l'univers par une étude constante.
Les symboles sont vivants, pas dans le sens ou la feuille de papier ou
ils sont dessinés va se mettre à bouger toute seule, mais dans le sens
ou la compréhension que vous pouvez en avoir, va évoluer dans le temps.
An départ chaque symbole est vu comme étant complétement distinct des
autres, puis des ramifications apparaissent, des ponts sont jetés.
Les cinq continents autrefois séparés se réunissent pour passer de l'un
à l'autre à pied sec, comme si l'on avait aspiré cette étendue d'eau
avec une paille géante, la révélation (enlever le voile) est faite.
Les symboles peuvent stimuler notre imaginaire sans faire appel au
mental, mais celui ci reste indispensable pour recueillir les fruits et
les transcrire.
Ils sont comme des résumés ou des graines que l'on peut facilement
transporter sur soi (dans sa conscience) et ensuite les repiquer pour
retrouver l'unité originale.
Un paysan Chinois suscitait la jalousie des plus riches du pays parce
qu’il possédait un cheval blanc merveilleux.
Chaque fois qu’on lui proposait une fortune pour l’animal, le vieillard
répondait : " Ce cheval est beaucoup plus qu’un animal, pour moi, c’est
un ami, je ne peux pas le vendre."
Un jour, le cheval disparut. Les voisins rassemblés devant l’étable vide
donnèrent leur opinion : "Il était prévisible qu’on te volerait ton
cheval. Pourquoi ne l’as-tu pas vendu ? "
Le paysan se montra plus dubitatif : " N’exagérons rien", dit-il. Disons
que le cheval ne se trouve plus dans l’étable.
C’est un fait. Tout le reste n’est qu’une appréciation de votre part.
Comment savoir si c’est un bonheur ou un malheur ? Les gens se moquèrent
du vieil homme.
Ils le considéraient depuis longtemps comme un simple d’esprit. Quinze
jours plus tard, le cheval blanc revint.
Il n’avait pas été volé, il s’était tout simplement sauvé et
présentement ramenait une douzaine de chevaux sauvages avec lui.
Les villageois s’attroupèrent de nouveau. "Tu avais raison, ce n’était
pas un malheur mais une bénédiction." Je n’irai pas jusque là, fit le
paysan.
Contentons-nous de dire que le cheval blanc est revenu. Comment savoir
si c’est une chance ou une malchance ? Les villageois se dispersèrent,
convaincus que le vieil homme déraisonnait.
Recevoir douze chevaux était indubitablement un cadeau du ciel. Qui
pouvait le nier ? Le fils du paysan entreprit le dressage des chevaux
sauvages. L’un d’eux le jeta à terre et le piétina.
Les villageois vinrent une fois de plus donner leur avis : Pauvre ami !
Tu avais raison, ces chevaux sauvages ne t’ont pas porté chance.
Voici que ton fils unique est estropié. Qui donc t’aidera dans tes vieux
jours ? Tu es vraiment à plaindre.
Voyons rétorqua le paysan, n’allez pas si vite. Mon fils a perdu l’usage
de ses jambes, c’est tout.
Qui dira ce que cela nous aura apporté ? La vie se présente par petits
bouts, nul ne peut prédire l’avenir.
Quelques temps plus tard, la guerre éclata et tous les jeunes gens du
pays furent enrôlés dans l’armée, sauf l’invalide.
Vieil homme, se lamentèrent les villageois, tu avais raison, ton fils ne
peut plus marcher, mais il reste auprès de toi tandis que nos fils vont
se faire tuer.
Je vous en prie, répondit le paysan, ne jugez pas hâtivement. Vos jeunes
sont enrôlés dans l’armée, le mien reste à la maison, c’est tout ce que
nous puissions dire.
Dieu seul sait si c’est bien ou mal.
La quatrième prise de Conscience est aussi un enseignement de base du Bouddha. S’Il y a compréhension, il y a de l’Amour. Quand on comprend la souffrance de quelqu’un, on veut l’aider, ce qui libère les énergies d’amour et de compassion. Tout ce que l’on fait dans cet esprit sera pour le bonheur et la libération de l’être aimé. Mais il nous arrive parfois de détruire cette personne. Cela me fait penser au général américain qui a déclaré un jour que ses bombardiers devaient détruire la ville de Ben Tree pour la sauver. Nous devons pratiquer de telle sorte que tout ce que nous faisons pour les autres ne leur apporte que du bonheur. La volonté d’aimer ne suffit pas. Si deux êtres ne se comprennent pas mutuellement, il leur est impossible de s’aimer.
Quand on se marie, on forme une communauté de deux personnes pour pratiquer l’amour – prendre soin l’un de l’autre, faire en sorte qu’il puisse s’épanouir comme une fleur et faire du bonheur une réalité. Le bonheur n’est pas une affaire individuelle. Vous devriez pratiquer le sourire au moins une fois par jour, pas seulement pour vous-même mais aussi pour l’autre. Vous devriez pratiquer la méditation marchée, non seulement pour l’autre, mais aussi pour vous-même. Vous êtes lié à une multitude d’autres êtres. Chaque pas que nous faisons, chaque sourire a un impact sur tous ceux qui nous entourent. Votre bonheur est le bonheur de bien d’autres. Regardez un Chêne. Le chêne a l’air heureux et le bonheur du chêne est le bonheur des oiseaux et de nous tous. Nous profitons tous de sa présence. De même, votre présence et votre bonheur sont essentiels pour chacun de nous. Si vous êtes heureux, nous serons heureux. Si vous n’êtes pas heureux, nous ne serons pas heureux. Si vous pratiquez profondément les vœux que vous avez pris au cours de la cérémonie du mariage, le monde entier en profitera. Mais pour vous aider à réaliser vos vœux, vous avez besoin d’une communauté – du chêne, de la communauté et de chacun de nous.«À travers mon amour pour toi, je veux exprimer mon amour pour tout le cosmos, l’humanité tout entière et tous les êtres. En vivant avec toi, je veux apprendre à aimer chacun et toutes les espèces. Si J’arrive à t’aimer, je serai capable d’aimer tout le monde et toutes les espèces sur terre.» C’est le vrai message de l’amour. Comment pourrait-on faire de grands pas sans avoir fait des petits pas avant? Au cours de la première, de la deuxième ou de la troisième année, ce devrait être notre but – réaliser la paix, le bonheur et la joie dans cette petite communauté. En même temps, nous voyons notre petite communauté dans le contexte de la communauté élargie. Nous pratiquons avec l’aide de nos maîtres, de nos parents, de nos amis et de tous les êtres vivants dans les règnes animal, végétal et minéral. «J’exprime mon amour à la communauté plus vaste à travers toi. C’est pourquoi je doit être capable de t’aimer, de prendre soin de toi et de te rendre heureux.»
Pensez à pratiquez dans le cadre d’une communauté. Faites de votre mieux pour apporter du bonheur à l’air, à l’eau, aux cailloux, aux arbres, aux oiseaux, aux hommes. Si vous pratiquez dans cet esprit, votre alliance de mariage deviendra l’alliance de l’inter-être, de la solidarité de l’amour et de la compréhension. Vivez votre vie quotidienne de façon à sentir la présence de la communauté avec vous à chaque instant. Touchez le Bouddha, le Dharma et la communauté dans votre cœur et vous recevrez l’énergie dont vous avez besoin de votre pleine conscience de ce qui est. Votre union est pour vous une occasion de pratiquer plus profondément et de trouver le soutien dont vous avez besoin. En ce moment,il y a beaucoup de débats qui ne montent pas haut,
on se débat dans la médiocrité médiatique, dans les démos démocratiques
qui ne nous convainquent pas.
Les vainqueurs essaient en van de s'adresser à nos cœurs qui
restent de pierre alors Paul et Jacques venez à notre secours, ça ne
sera pas long.
Léo et Léa réagissez, sortez de votre coquille avec éclat,
montez le niveau, à bas le bas des débats, allez vers le haut sans
mettre de déo.
Gracias.
Et bien le vainqueur des prochaines élections présidentielles de 2012
est connu : C'est le changement.
Tout le monde le réclame et le proclame, tout le monde le vénère.
Jésus lui même en son temps n'a t il pas annoncé : "Voici, je fais
toutes choses nouvelles " (Apocalypse de Jean Chapitre 21-5)
Maintenant il nous faut aussi écouter la parole d’Einstein qui a déclaré
: "La folie est de toujours se comporter de la même manière et de
s'attendre à un résultat différent "
Or ceux qui attendent ou réclament le changement, le réclament ou
l'attendent en général depuis très longtemps (rappelez vous de mai 1981)
et bien que n'ayant rien obtenu, ils persistent.
Cette attitude est une preuve de continuité voir d'assiduité pour ne pas
dire de stagnation, mais en aucun cas elle ne témoigne du moindre
changement.
Ou alors ceux qui attendent ou réclament le changement, attendent que
celui ci vienne d’ailleurs, d'un sauveur providentiel.
Mais a t on, déjà vu de toute l'histoire de la république (et même de
bien avant) un homme politique providentiel arriver et résoudre les
problèmes des français ?
Les conditions de vie ont beaucoup changé depuis un siècle ou deux, mais
quasi exclusivement grâce aux " progrès ? " de la science et de la
technologie, et nos malheurs actuels viennent aussi beaucoup de la.
Pour vous remettre en mémoire tous ces changements ou plutôt ces
promesses de changement, je vous ai préparé un best off.
http://yvesaccard.free.fr/President/chang.html
Maintenant surtout ne changez pas, je vous aime comme vous êtes, mais
peut être que cette parole va provoquer un changement ?
Voici quelques faits qui méritent peut être réflexion.
1912 Le TITANIC coule au large de Terre-Neuve, lors de son voyage
inaugural de Southampton à New York (L'ancien monde et le nouveau monde
?).
On compte pas moins de quarante nationalités présentes à bord du navire.
Le désastre est un choc pour la communauté internationale car il prouve
à tous que l'homme et ses réussites technologiques peuvent être dépassés
par les puissances de la nature à une époque où le progrès scientifique
semblait impossible à arrêter.
Ce coulage à pic précède de peu la première guerre mondiale de 1914.
2012 (un siècle plus tard environ) Le CONCORDIA paquebot tête de série de la
classe Concordia percute un récif, s’échoue et fait naufrage à proximité
de l’île du Giglio, au large de Porto Santo Stefano sur le littoral sud
de la Toscane.
Le navire est surnommé « le temple du luxe et des
divertissements »
de par ses installations et ses nombreuses œuvres d'art.
Il hébergeait plus de 3 200 touristes de 60 pays différents à son
bord et un millier de membres d'équipage.
Concorde est une divinité des Romains, fille de Jupiter et de Thémis.
Le nom de ce bateau était en hommage à la concorde entre les peuples
Européens et les étages de ce navire portaient des noms de pays
Européens, ce que vous pouvez vérifier sur le
lien suivant.
Surtout ne coupez pas, la suite se corse.
Jean-Luc Godard, célèbre réalisateur, avait tourné son “Film Socialisme”
à bord du CONCORDIA en 2009
Voici un extrait de la critique du journal LA CROIX :
« Au final : une tentative, entre grandiloquence et hermétisme, mais
souhaite-t-il être compris ?, de relire le siècle passé et d'y déceler
la preuve d'un terrible échec civilisationnel. »
Maintenant une citations de Dominique Païni
« La manière de Godard de filmer le bateau ressemble à une sorte de
Disneyland, de lieu de loisir, de lieu consommation, c'est une vision
par Godard du monde d'aujourd'hui où au fond le socialisme serait
réalisé, mais c'est un socialisme de la consommation et du loisir
abrutissant.
Cela n'est pas sans rapport avec les loisirs de masse, le comportement
des gens dans les parcs d'attraction, une perversion du concept
d'exposition. »
Fin de citation.
Y a t il un lien à faire entre les orgies de l'empire Romain devenu
décadent avant de s'écrouler, et ce temple flottant du luxe qui coule en
Italie comme pour nous annoncer de profonds bouleversements ?
TITANIC et CONCORDIA sont ils une nouvelle incarnation de la tour de
Babel ?
Le prix des croisières de luxe avait atteint des sommets, maintenant les prix plongent, la compagnie Costa va proposer un forfait bradé à -50% funérailles incluses.
La vie est réglée par des cycles or la règle est droite et le cycle est rond et Cicéron ça empire !
L'arrogance et la prétention des hommes politiques n'a d'égal que la
crédulité de ceux qui les suivent.
Quelle est la différence entre la démocratie et la jungle ?
Dans la jungle, c'est le meilleur qui gagne, dans la démocratie c'est le
plus rusé.
Tirer un trait sur les traités pour ne pas être mal traité, ne nous
laissons pas traiter de tous les non !
la vie est à double sens, nous cherchons du sens et des sensations.
La quête du sens procure t elle des sensations ?
Les sensations ont elles un sens ?
Ce texte a été écrit à chaud suite à l'assasinat de trois enfants le 19
mars 2012.
Il n'est pas dans mes habitudes de surfer sur une actualité brulante
(qui est souvent oubliée quelques jours plus tard pour passer à une
autre), mais ça me démange trop.
Je veux parler de cet horrible assassinat d'enfants et je voudrais
profiter de cette occasion pour y associer d'autres enfants.
A coté de ces trois enfants partis par une mort violente, il y en a six
millions qui meurent chaque année à petit feu, de mort lente et
certaine, par la malnutrition, le manque d'eau ou de médicaments.
Leurs assassins sont connus, il ne portent pas d'arme à feu sur eux,
n'ont pas de trace de sang sur les mains, ils sont bien habillés et se
réunissent dans des restaurants de grande classe pour y organiser leur
forfait.
Leur seule arme c'est leur compte en banque et toute la corruption que
cela permet.
Aucune police n'est à leur trousse.
Ils mettent en place des dictateurs qui feront sur place les basses
besognes pour lesquelles ils ne veulent pas se salir.
Cela se fait avec la complicité (au moins passive) de nos "dirigeants ?"
qui ne disent pas beaucoup de choses sur le sujet et qui préfèrent
donner le change par des programmes d'aide qui sont souvent détournés
sur place mais qui leur donne bonne conscience.
Mais cela se fait aussi avec la complicité (au moins passive) de nous
tous, qui jetons des quantités énormes de nourriture (un peu dans les
foyers mais beaucoup dans la restauration collective ou dans les
surfaces de vente).
Autant il est difficile de contrôler un tueur psychopathe au
comportement imprévisible, autant une prise de conscience collective
pourrait aider des millions d'enfants et d'adultes évidemment.
Je rappelle qu'il suffirait de détourner 10% du budget de l'armement
mondial pour résoudre le problème de la faim dans le monde, car il n'y a
pas de pénurie de nourriture mais un problème de répartition de celle
ci.
Ce slogan n'est certes pas très "électoral" mais faute de diminuer les
armes "mécaniques" essayons au moins de désarmer notre égoïsme en
ouvrant notre cœur.
Allez vous à l'office Microsoft Windows pour que le monde (WORD) vous
traite de tous les non ?
Allez vous à l'office pour vous faire cuisiner (de bons petits plats
pour tomber à plat).
Allez vous à l'office (le haut fils) pour vous rapprocher du père ?
Allez vous à l'office religieux ?
Pour ma part, j'ai arrête à l'âge de 12 ans, écœuré par tous ces gens
qui venaient uniquement pour pavaner.
Ceci dit, rien, sauf peut être l'ignorance et la bigoterie, n'empêche de
se relier vraiment.
Citation de la bible Jean 4.19 à 4.23 (une femme s'adresse à jésus)
Seigneur, lui dit la femme, je vois que tu es prophète.
Nos pères ont adoré sur cette montagne; et vous dites, vous, que
le lieu où il faut adorer est à Jérusalem.
Femme, lui dit Jésus, crois-moi, l'heure vient où ce ne sera ni
sur cette montagne ni à Jérusalem que vous adorerez le Père.
Mais l'heure vient, et elle est déjà venue, où les vrais
adorateurs adoreront le Père en esprit et en vérité; car ce sont
là les adorateurs que le Père demande.
Cette citation est à rapprocher de la suivante :
Vous connaîtrez la vérité et la vérité vous affranchira. (Jean. 8,
31-32).
Commentaires : On distingue bien les anciennes attitudes (prier sur la
montagne ou prier dans un temple), qui sont factuelles (être ici ou être
la "physiquement") sans forcément vivre une relation intense, sans
forcément vibrer, avec la nouvelle alliance qui est proposée et même
demandée par jésus, à savoir d'être dans une relation de vérité (de vie
intérieure) avec le monde spirituel, le monde de l'esprit.
Le gros avantage de ce nouvel "office" est qu'il toujours avec vous pour
peut que vous lui prêtiez attention.
Voila, la messe est dite et c'est un ancien enfant de cœur qui vous
parle et qui espère devenir un futur enfant du cœur.
Les ouvriers Allemands qui ont construit les camps de
concentration et les chambres à gaz, étaient certainement des ouvriers
efficaces, compétents, professionnels, obéissants, performants,
consciencieux, respectueux de la hiérarchie, ils aimaient leur famille,
ils ne commettaient aucun délit selon la loi de leur pays.
Il ne leur manquaient qu'une chose : Ils étaient aveugles.
Alors ouvrez l’œil, et le bon ! ou allez voir les expériences de Stanley
Milgram.
Pour ceux qui penseraient que ce temps des chambres à gaz est lointain et
que maintenant nous sommes enfin arrivé à une véritable civilisation,
permettez moi de faire les remarques suivantes.
Chacun d'entre nous (ou presque) est un bon citoyen qui fait ce que lui
dit le gouvernement (la croissance), l'école, la publicité, les patrons.
C'est à dire produire de plus en plus et consommer de plus en plus de
biens matériels dans l'espoir d'un hypothétique bonheur, quand ce n'est
pas dans l'espoir d'une éternelle jeunesse quitte à utiliser la chirurgie
esthétique.
En cela personne n'a à se culpabiliser puisqu'il ne fait que suivre les
consignes de la hiérarchie ou de suivre la masse du troupeau.
Et quand certains oiseaux de mauvaise augure viennent annoncer que ce type
de développement ne peux pas durer à cause de la pollution qu'il créé et
de l'épuisement des ressources en énergie ou en matière première qu'il
provoque, beaucoup préfèrent ne pas s'impliquer dans cette voie en
prétextant que c'est au gouvernement ou aux industriels de faire
quelque-chose.
Nous ne fabriquons plus de chambres à gaz, nous gazons la planète entière
avec notre gaz carbonique, et la ce ne sont plus quelques milliers
d'allemands qui font consciencieusement leur travail, ce sont des
milliards d'individus qui s'activent en bonne conscience dans le même
destin funeste.
L'expression creuser sa tombe avec les dents (pour ceux qui mangent trop)
devient alors s'infuser du poison dans les veines car c'est le sang de la
terre qui coule dans nos veines et c'est l'esprit de la terre et du ciel
qui emplit nos poumons.
L'agitation ambiante et la peur entretenues par des médias irresponsables
nous empêchent de penser l'avenir.
Comment s'imaginer que les énergies fossiles vont venir à manquer alors
qu’aujourd’hui même chacun peut se faire livrer un camion entier de fuel,
peut se faire installer un pipe-line de gaz, peut acheter un train de
charbon ou installer un transformateur électrique de plusieurs centaines
de kilowatts, à partir du moment ou il en a les moyens financiers.
Le Cheikh Yamani a déclaré : « L'âge de pierre ne s'est pas terminé par
manque de pierres, l'âge du pétrole ne s'achèvera pas avec le manque de
pétrole »
La seule question est en effet : A partir de quel niveau de dramaturgie
allons nous réagir, sachant que les plus sensibles ou les plus sensés ont
déjà réagis il y a fort longtemps et que les plus aveugles attendront peut
être que le ciel leur tombe sur la tête pour sortir de leur léthargie.
(Pour ce qui est du ciel qui tombe sur la tête, vous pourrez prendre
certains nuages radioactifs qui il est vrai ont le bon goût de s'arrêter à
nos frontières mais la liste des exemples est beaucoup plus longue).
Les journalistes et les hommes politiques sont comme Pipo et Mario (ou
le clown blanc et l'auguste), ils se servent la soupe.
Ils ont besoin les uns des autres comme le meunier et le paysan, ce qui
leur donne du grain à moudre et quelquefois, ils se plantent.
Ils ne savent que rarement séparer le bon grain de l'ivraie.
Les Romains avaient les jeux du cirque et nous avons les jeux du cirque
médiatique.
Dans cirque, on trouve le début de circle (cercle en anglais) et les
pistes de cirque sont bien rondes (traditionnellement) et le cirque
médiatique nous fait tourner en rond, bien enfermés dans la cage des
fauves.
Les Romains se délectaient du sang des gladiateurs, nous nous contentons de films policiers ou guerriers avec des bains de sang ou de violence, tous les cinq ans nous aimons voir le "combat des chefs" qui postulent à la place suprême.
L'information, c'est comme la confiture, moins on en a, plus on
l'étale.
L’excitation a t elle remplacé l'information.
Les beaux parleurs ont besoin de haut parleurs.
Celui qui veut se faire entendre élève le son de sa voix, celui qui veut se faire écouter baisse le son de sa voix.
Beaucoup de gens se demandent ce qu'"il"
faudrait faire pour que "ça" change.
Ils sont encore dans le paradigme du "faire"
(l'âge de fer), ils veulent remplacer le "faire ceci"
par "faire cela" et de plus en attendant que
quelqu'un d'extérieur à eux même, leur dise "quoi"
faire, comme s'il y avait une réponse universelle à ce sujet !
Et je ne parle même pas de ceux qui "attendent"
un sauveur providentiel en restant assis dans leur canapé (même si le
canapé-lit).
Quand les chenilles se transforment en papillon, chaque chenille doit se
transformer en papillon, sans attendre les ordres du chef des chenilles
et sans avaler aucune pilule miracle qui ferait le travail à leur place.
Tous les grands problèmes de l'humanité sont connus depuis longtemps
(pollution, épuisement des énergies fossiles, déchets nucléaires,
ignorance spirituelle, goût du pouvoir matériel, famine, sur armement,
inégalités de toutes sortes, corruption, terrorisme sanglant et
terrorisme en col blanc......).
Mais vous noterez qu'aucun n'est résolu malgré l'amoncellement
d'informations et l'inverse serait plutôt vrai.
Etaler tous ces problèmes apporte de l'information dans un premier temps
mais ensuite ça tourne en boucle, ça pédale dans la semoule.
Les médias font leur choux gras de telle nouvelle "sensationnelle" pour
fournir la came à tous les drogués du misérabilisme que nous sommes
devenus.
Ils ne visent qu'à pomper notre compte en banque en nous fournissant
cette nourriture frelatée que nous ne savons plus distinguer de
l'authentique.
Tel attentat terroriste (certes dramatique pour les victimes) n'est
qu'un attentat de plus dans une longue liste déjà écrite et dont on ne
voit pas pourquoi elle s’arrêterait.
Peut on condamner la violence d'une main et l'utiliser de l'autre pour "
résoudre ? " le problème.
Pour un terroriste abattu, combien vont se lever pour le venger ? La
notion de cercle infernal sera t elle comprise un jour ?
Salvor Hardin à déclaré : « La violence est le dernier refuge de
l'incompétence »
Les "nouvelles" sont des incarnations, des épiphénomènes des grands
problèmes cités plus haut, ils procurent des sensations, des
excitations, sans permettre le moindre approfondissement.
Or la vérité est justement dans le fond (le fond du puits) là ou il faut
aller puiser, comme le représente assez bien le tableau "La
vérité sortant du puits"
Pour aller chercher dans ce puits (de sciences ?) il faut quand même se
mouiller.
Toute substance est un poison...La dose adéquate fait la différence
entre un poison et un remède." Paracelse (1493 - 1541)
Nous sommes peut être arrivé à cette inversion des pôles, un trop plein
d'informations (de formes)
et un manque de fond.
L'excés nuit en tout (comme disait ma grand mère).
Le retour à l'équilibre viendra peut être du fait que plus la nuit est
noire, plus la plus petite lumière devient perceptible pour tous.
Une des étapes est de tolérer le vide, l'absence de stimuli extérieur
en procédant par paliers.
Si vous allez assister à un concert de musique, si l'orchestre s'arrête
pendant trois minutes, cela risque de provoquer un malaise pour ceux qui
s'attendent à avoir de la musique en continu.
Dans la vie courante, nous avons tendance à reproduire ce schéma, dés
qu'un stimuli s'arrête, nous en cherchons un autre et ainsi de suite.
En devenant conscient de ce phénomène, la conscience peut s'observer
elle même et se déconnecter progressivement de l'extérieur.
On ne met pas non plus du vin nouveau dans de vieilles outres;
autrement les outres se rompent, et le vin se répand, et les outres sont
perdues; mais on met le vin nouveau dans des outres neuves, et tous les
deux se conservent.
Matthieu 9-17
De même on ne met pas le dernier windows dans un vieux PC à processeur
XT8086 (16 bits): autrement rien ne marche et votre temps est perdu;
mais on met le dernier windows dans le dernier PC avec un processeur
64bits.
Etes vous outrés se traduit alors par : êtes vous prets pour accueillir
le nouveau, le royaume des cieux comme jésus est venu l'annoncer ?
Qu' est-ce qui pourrait sauver l' amour
Et comment retrouver le goût de la vie
Qui pourra remplacer le besoin par l'envie
Parler de crise économique, pourquoi pas, c'est la partie émergée de
l'iceberg, celle que tout le monde voit et que tout le monde voudrait
changer.
Mais dénoncer la bougie n'a jamais fait apparaître l'ampoule électrique
!
Comme l'a dit Einstein, on ne peut pas résoudre un problème avec les
modes de pensée qui l'ont engendré. (Phrase célébre à laquelle
j'ajouterais : On ne peut pas résoudre un problème avec la sensibilté et
les perceptions qui ont contribués à son apparition).
Il y a donc certainement en sous face de la crise économique, une crise
idéologique voire une crise spirituelle.
Creuser cette voie serait certainement plus profitable que de ressasser
en boucle des lamentations sur le vieux monde qui va disparaître.
La difficulté étant que le mental "seul" ne saurait nous y conduire dans
la mesure ou ce changement de paradigme ne se limite certainement pas à
un changement "intellectuel" mais sera beaucoup plus profond comme
certains sages l'ont annoncé il y a bien longtemps.
De mon coté, je creuse cette voie depuis maintenant trente ans, mais il
n'y a pas de pilule miracle pour faire le travail à notre place, chaque
chenille doit elle même se transformer en papillon, sans attendre
l'ordre du chef des chenilles.
Quelles peuvent bien être les causes de cette crise.
Qu'est ce qui a fait passer le chasseur/cueilleur à
l'agriculteur/éleveur, puis du troc au pièces d'argent, puis du stockage
chez soi au stockage dans le coffre du bijoutier, puis du prêt de
l'argent en stock dans le coffre au prêt de l'argent papier, puis du
capitaliste productif (les grands capitaines d'industrie au 19 ème
siècle) au capitalisme purement financier et prédateur ?
Beaucoup sont d'accord pour dénoncer ce capitalisme sauvage et dé-régulé
et sont prêt à pointer du doigt telle grande banque ou tel paradis
fiscal ou tel fond de pension.
Il est vrai que de tout temps trouver des boucs émissaires à permis de
soulager le poids de certaines consciences un peu courtes.
Si vous semez un grain de blé sur une dalle en béton ou sur une plaque
métallique, il n'a pratiquent aucun chance de germer et de produire du
fruit, il sera desséché par le soleil, pourri par la pluie, écrasé par
une pierre, mangé par un oiseau ou une souris.
Pour germer et produire, le grain de blé à besoin d'un terreau
accueillant, d'une bonne terre bien grasse.
Le terreau sur lequel à germé l'absurdité du capitalisme financier,
c'est nous tous, la soif et la cupidité de milliards de personnes qui
ont mis l'argent et la possession très haut dans leur système de valeur.
Et comment jeter l'opprobre sur ceux qui réussissent à faire des gros
gains lorsque l'on est soi même dans ce dessin ?
Evidemment lorsque ça dégénère, lorsque l'on s'est fait plumer ou
licencier, on crie au loup.
Cela me fait penser à la deuxième guerre mondiale, lorsque la France à
été envahie, seule une poignée de résistants ont pris le maquis,
l'immense majorité a préféré se mettre de coté de Pétain et des
collaborationnistes.
Par contre lorsque les alliés sont venus nous libérer, tous le monde est
devenu résistant !
Je prédis le même retournement pour l'argent, lorsque celui ci n'aura
plus aucun crédit, chacun jurera au grand dieu n'avoir jamais été
intéressé que par les valeurs humaines et même écologiques !
Elle semble devenue l'ultime recours à la crise, le saint Graal de
l'économie.
Mais si celle ci se résume à produire et à consommer de plus en plus
de produits et de services, nous allons aussi avoir la croissance
de la pollution, la croissance de l'épuisement des matières premières,
la croissance des inégalités, la croissance de l'exploitation de l'homme
par l'homme.
Il s'agirait typiquement d'un déséquilibre, qui faute d'avoir été perçu
comme tel, va faire l'objet d'une fuite en avant, d'une course sans fin,
d'un cercle infernal (qui enferme en enfer).
Ceci jusqu'à toucher le fond (de la piscine) pour enfin prendre
conscience mais avec quelques bosses (et oui, travailler c'est bosser)
qui auraient peut être pu être évitées mais ne refaisons pas le monde.
Au fond (de la piscine qui contient les barreaux d'uranium), il y a la
fusion (la confusion pour certains), le fond
fait fondre mais il faut se fendre (la poire)
s'ouvrir et en fin (des temps) se liquéfier pour avoir ou être la
solution.
Alors tout devient fluide, tout coule de source (la source trouvée ou
retrouvée au fond du puits pour ceux qui ont le courage de creuser,
d'aller au fond de la mine sans s'épuiser), le flux et le reflux
alternent alors et une véritable croissance se manifeste, celle de
l'esprit, de l'énergie en mouvement au service du sublime.
Historique : Pendant les trente glorieuses, je n'ai jamais vu
un économiste à la télévision, venir expliquer qu'il avait fait de
bonnes analyses, pris ou conseillé de bonnes décisions qui auraient
entraînées cette fabuleuse croissance.
En fait ce sont les circonstances qui ont fait cela avec en plus pour
certains le rêve de "l'Americain way of life" et beaucoup d'innovations
technologiques.
Depuis 2008 nous voyons chaque jour de brillants économistes venir nous
expliquer que cette fois ils ont tout compris et qu'ils ont les
solutions, mais le bateau continue de s'enfoncer chaque jour un peu
plus.
Einstein a bien illustré cet état de fait par sa formule : La
théorie, c'est quand on sait tout et que rien ne fonctionne. La
pratique, c'est quand tout fonctionne et que personne ne sait pourquoi.
Si la pratique et la théorie sont réunies, rien ne fonctionne et on ne
sait pas pourquoi.
Peut on empêcher le fruit mur de tomber ?
Victor Hugo à déclaré que "Rien n'arrête une idée dont le temps est
venu".
Ayant plusieurs fois tenté de traiter ce sujet dans des café philo, je
me résout à le traiter moi-même avec vos commentaires j'espère.
Lorsque vous entendez l'opinion "Zidane est un Dieu (ou était u Dieu)"
nous ne pensez pas que votre interlocuteur prenne Zidane pour Dieu le
père en personne.
Il s'agit simplement de considérer Zidane comme un joueur hors pair,
largement au dessus du commun des mortels, mais aussi au dessus des
meilleurs, il est le top du top, le sommet de la pyramide.
Nous sommes donc dans l'usage du mot Dieu employé comme un qualificatif,
comme un superlatif plus proche de la notion "d'état d'être".
De même si quelqu'un désigne un bon plat ou un bon vin par l'expression
"c'est divin", il s'agit encore de la notion de qualité et non de
l'identification par rapport à un personnage.
Mais que voulait dire Jésus par : " Moi et le Père nous sommes un." Jean
10.30.
Ou encore : "Mais si je les fais, quand même vous ne me croyez point,
croyez à ces œuvres, afin que vous sachiez et reconnaissiez que le Père
est en moi et que je suis dans le Père." Jean 10.38.
Nous pouvons supposer qui si Jésus à prononcé ces paroles à une certaine
époque et pas avant, c'est qu'avant, il n'avait pas atteint l'état
en question.
Il n'en a parlé qu'avoir avoir pris conscience ce nouvel état d'être.
Une question est maintenant à examiner, n'y a t il que deux états : 0%
divin et 100% divin, ou y a t il une progression, une continuité pour
passer de l'un à l'autre, comme à l'école ou chaque année nous changeons
de classe.
La réponse n'est certainement pas simple si nous prenons comme exemple
la simple genèse de l'être humain.
Le fœtus évolue de façon continue dans le ventre de sa mère, chaque jour
et chaque seconde aportant son lot de progrès, mais au bout de neuf mois
un énorme changement va se produire : l'accouchement.
Tout ce qui était caché à l'intérieur, va passer à l'extérieur pour être
visible aux yeux de tous, les poumons qui ne servaient à rien se mettent
à devenir vitaux, le milieu aqueux devient aérien.
C'est un sorte de révélation (enlever le voile, l'utérus jouant ici le
rôle du voile) et révélation est le sens premier du mot grec apocalypse.
Ce n'est la qu'un exemple qui a l'avantage d'être (encore lui) connu de
tous mais ensuite c'est à chacun d'extrapoler avec la vie de l'esprit et
de la psyché.
Prendre conscience intellectuellement ou sensoriellement d'un nouvel
état d'être est il un accouchement, ou changer de couche serait changer
de plan de conscience, et pas seulement de changer les couches du bébé.
Shakespeare nous disait "être ou ne pas être, telle est la question"
nous pourrions aller plus loin en étant plus ou moins, avec toute
liberté de progresser à l'infini.
L'escalade que la vie nous propose, nous conduira peut être au sommet de
la montagne, la ou "être" et "état d'être" ne font plus qu'un avec le
père ou avec le grand tout, quitte ensuite à redescendre pour faire à
nouveau l'expérience de l'individuation et un jour reprendre l’ascension
par un autre chemin.
Un très beau texte, une belle leçon de vie. !!!!
Un jour, l'âne d'un fermier est tombé dans un puits.
L'animal gémissait pitoyablement pendant des heures et le fermier se
demandait quoi faire.
Finalement, il a décidé que l'animal était vieux et le puits devait
disparaître de toute façon, ce n'était pas rentable pour lui de
récupérer l'âne.
Il a invité tous ses voisins à venir et à l'aider.
Ils ont tous saisi une pelle et ont commencé à enterrer l'âne dans le
puits.
Au début, l'âne a réalisé ce qui se produisait et se mit à crier
terriblement.
Puis à la stupéfaction de chacun, il s'est tu.
Quelques pelletées plus tard, le fermier a finalement regardé dans le
fond du puits et a été étonné de ce qu'il a vu.
Avec chaque pelletée de terre qui tombait sur lui l'âne faisait quelque
chose de stupéfiant.
Il se secouait pour enlever la terre de son dos et montait dessus.
Pendant que les voisins du fermier continuaient à pelleter sur l'animal,
il se secouait et montait dessus.
Bientôt, chacun a été stupéfié que l'âne soit hors du puits et se mit à
trotter !
CONCLUSIONS :
La vie va essayer de t'engloutir sous toutes sortes d'ordures.
Le truc pour se sortir du trou est de se secouer pour avancer.
Chacun de tes ennuis est une pierre qui permet de progresser.
Nous pouvons sortir des puits les plus profonds en n'arrêtant jamais.
Il ne faut jamais abandonner!
Secoue-toi et fonce!
Rappelle-toi, les cinq règles simples !
À ne jamais oublier, surtout dans les moments les plus sombres.
Pour être heureux / heureuse :
1. Libère ton coeur de la haine.
2. Libère ton esprit des inquiétudes.
3. Vis simplement..
4. Donne plus.
5. Attends moins.
Merci d'être là...
Ce texte m'a été envoyé, je l'ai trouvé beau, je n'ai pas pu le
garder pour moi et j'ai voulu le partager à mon tour.
J'espère que tu feras pareillement !
Nota : C'est peut être cela qui s'appelle maintenant la résilience
Vous connaissez certainement déjà mon goût pour faire des liens entre
toute choses, y compris les plus saugrenues.
Alors je compte cette fois ci vous mener en bateau, hissons le voile
(non islamique) et prenons une bouffée d'air frais au grand large, vous
ne serez pas largués.
En bas du bateau (double bas donc mais laissons le débat) il y a la cale
ou est enchaîné le prisonnier, qui croupis dans l'eau sale, on lui jette
un croûton de pain chaque jour puis on referme la trappe et on le laisse
mariner (à la ou le peine). C'est le sort que nous faisons à certains
aspects de notre sensibilité.
Plus haut mais toujours sous le niveau de l'eau (la conscience ?) il y a
la salle des machines ou les chauffeurs passent leur journées à pelleter
du charbon vers la chaudière (pour faire bouillir la marmite).
Encore plus haut, tantôt au dessous du niveau d