Dans sa forme traditionnelle, le caducée représente la dualité
(les deux sinusoïdes en opposition de phase) l'équilibre entre les
deux forces opposées produit la voie du juste milieu correspondant
à l'axe vertical. Les opposés se rejoignent en bas (le fondement)
et en haut au centre du cercle où se produit la libération et le
rayonnement(symbolisés par les ailes).
Forme moderne du caducée
Dans sa forme moderne, une des sinusoïdes (ou serpent) a
disparue, c'est le déséquilibre, notre monde ne considère que la
partie matérielle et oublie la partie spirituelle. Les ailes ont
aussi disparues le monde moderne s'identifie à son corps physique
et oublie sa dimension cosmique. Rassurez-vous l'histoire finit
bien, les hommes finissent par s'apercevoir que l'esprit et la
matière sont deux manières différentes de voir une seule réalité.
Dans sa version orientale, le caducée correspond à l'énergie
Kundalini qui emprunte trois canaux en passant par les chakras.
Ces canaux se nomment Ida (à gauche), Pingala (à droite), et
Susumna (la partie droite au centre).
Un autre exemple est ce qui ce
passe en montagne, l'ascension de la montagne est souvent un
symbole d'évolution spirituelle. Mais regardons plus précisément
les sports d'hiver avec les pistes de descente et les remontées
mécaniques. Sur les pistes, vous faites des zig zag, d'un coté
et de l'autre d'un axe central (spirales du caducée) et une fois
en bas, vous remontez en ligne droite par le tire fesse ou le
télésiège (axe central du caducée).
Encore plus près de vous se trouve le tube cathodique de votre
téléviseur, l'image est formée par un canon à électrons situé à
l'arrière du tube, ce canon envoi sur la surface intérieure du
tube un mince faisceau d'électrons qui éclaire un point. Ce
point se déplace en partant du haut puis en faisant des allers
et retours droite gauche et inverse, en descendant d'un pixel à
chaque passage, une fois arrivé en bas de l'écran, le faisceau
remonte brusquement et le cycle recommence. La encore on trouve
ce même mouvement de l'escalier ou des pistes de ski qui nous
rappelle l'image du caducée.
Un autre exemple de la complémentarité entre la ligne droite
directe et le chemin sinusoïdal de la route en contrebas.
Peut être commencerez vous le voyage avec votre quatre roues
motrices, pour faire les premiers kilomètres en lacets et ensuite,
vous sortirez le piolet du sac pour escalader tout droit vers le
sommet de la montagne, la ou il n'y a plus de route.
(C'est vous même qui créez votre route, loin des sentiers battus).
Et restez bien reliés (encordés) les un aux autres, sinon vous
pourriez dévisser, l'image de la vis nous faisant aller vers la
spirale du caducée.
Extrait du livre
Pensées quotidiennes de Omraam Mikaël Aïvanhov:
Le caducée d'Hermès est un résumé de l'être humain. Le bâton
représente la colonne vertébrale, et les serpents entrelacés les
courants qui descendent depuis les deux hémisphères droit et
gauche du cerveau. En réalité ce ne sont pas deux serpents
enroulés autour de la baguette magique, mais un seul qui est
polarisé. Le bâton représente toujours le principe masculin, et
le serpent, la spirale, le principe féminin qui entoure, qui
enveloppe le principe masculin afin d'exalter les puissances
contenues en lui. Le bâton est une expression du plan mental,
tandis que le serpent polarisé en positif et négatif est une
expression du plan astral qui est parcouru par deux courants :
l'un ascendant, l'autre descendant. Le caducée d’Hermès est donc
un symbole des deux principes masculin (la baguette) et féminin
(le serpent polarisé en positif et négatif car le principe
féminin est toujours exprimé par le deux), c'est une
représentation de l'homme avec toutes ses possibilités de
développement en vue de manifester la puissance divine.
Le fonctionnement du tube cathodique nous fait pressentir la
relation entre la partie verticale du caducée, qui peut s'incurver
sous l'effet de champs magnétiques et donner ainsi des courbes,
jusqu'à pouvoir balayer la totalité de la surface de l'écran.
Une vue un peu plus technique des bobines de
déviation et sur les faisceaux d'électrons.
Le pinceau lumineux balaie une ligne horizontale puis il se décale
légèrement vers le bas et recommence une autre ligne et ainsi de
suite.
Arrivé en bas de l'écran, l'image est terminée, le pinceau va
retourner en haut et recommencer une nouvelle image.
Ce tramage va créer un format d'image avec un certain nombre de
lignes et de colonnes.
Une vue au ralenti qui montre un électron allant en ligne droite
mais pouvant être dévié par les bobines qui s'allument (en vert)
successivement.
C'est donc une action "spirituelle" (faite par des spires) qui
permet de passer du droit au courbe.
Notre technologie moderne n'échappe pas au symbole du caducée
ainsi considérez les différents étages d'un immeuble (semblables
aux différents plans de l'existence), pour relier ces étages vous
devez passer par des paliers (semblables aux chakras)
et pour aller d'un palier à l'autre, vous empruntez soit
l'escalier (sinusoïde tournant autour d'un axe) soit l'ascenseur
(axe central lui même). Notez que dans certains vieux
appartements, vous avez l'ascenseur au milieu de la cage
d'escalier qui éventuellement est en colimaçon, la ressemblance
avec le caducée est étonnante.
C'est l'appartement d'une amie, l'axe central
vertical est bien visible (l'ascenseur qui mène au ciel ou chez
mon amie), et tout autour, le chemin des écoliers en spirale pour
ceux qui aiment prendre leur temps et admirer le paysage.
Et la double spirale de l'ADN cellulaire, ne vous fait elle pas
penser à la double sinusoïde du caducée ? Ici la partie verticale
est remplacée par les pontages horizontaux entre les deux brins de
l'ADN, ce qui nous renvoi vers le symbolisme
de la croix.
Les quatre états (ou
quatre éléments) sont en rapport avec le caducée.
Le feu pénètre directement du ciel (soleil) vers la terre en
traversant l'air et l'eau
Les deux états du milieu sont des fluides
Les deux serpents ressemblent à des spires, ce qui nous amène au
mot spirituel (voir plus bas l'analogie avec le transformateur
électro magnétique)
La partie droite verticale peut représenter la polarité masculine
(émissive) et les parties courbes, la polarité féminine
(réceptrice).
L'axe terre ciel (ou soleil terre) n'est il pas un fantastique
caducée cosmique ?
Et n'est ce pas l'homme lui même qui est cette liaison
entre le ciel et la terre.
Le terme "Liaison entre le ciel et la terre" est à prendre en
temps que principe, principe qui a cependant tendance à s'incarner
comme en témoigne la conquête spatiale qui a fait beaucoup rêver,
après être allé sur la lune, Mars est en point de mire.
Ce double mouvement du ciel vers la terre (lumière ou esprit
souvent symbolisée par la colombe) et de la terre vers le ciel
(les arbres montent, les hommes envoient des fusées dans l'espace)
pourrait correspondre au fait qu'il y a deux serpents dans l'image
du caducée.
Ces images sont à la fois réelles et symboliques car l'homme ne
monte pas physiquement vers le soleil, mais il s'élève
spirituellement à travers son évolution intellectuelle,
culturelle, sensuelle, artistique.
Voila un caducée bien étrange, le ciel y est toujours rond mais
la terre est devenue carrée.
Pour les anciens Chinois, le Ciel et la Terre prirent consistance
au sein d'une sorte d'éther primordial dont les éléments plus ou
moins purs se séparèrent à la manière d'un fluide qui se décante.
Le Ciel, conçu tantôt comme une sphère, tantôt comme un dais de
char, est rond par essence, tandis que la Terre qu'il recouvre est
carrée.
Nous retrouvons aussi (très approximativement) un corps humain
avec la tête qui est ronde et le tronc qui est carré (le membres
ne sont pas la pour l'instant).
Dans le monde d'en haut (le ciel ou l'esprit), nous mettrons les
idées, les concepts, les principes, tout ce qui est abstrait, et
tout ça tourne rond.
Dans le monde d'en bas, nous mettrons les choses concrètes,
stables, tangibles pour nos cinq sens.
Voyons maintenant l'interaction entre les deux mondes :
On raconte que c'est après avoir reçu une pomme sur la tête que
Newton se mit à concevoir la théorie de la gravitation.
Voila donc une interaction qui part d'un fait (la pomme qui tombe)
et qui aboutit un principe abstrait (la loi de gravitation).
Partons maintenant de la voie opposée : L'équation E=mc2 a été
formulée en 1905 par Albert Einstein dans le cadre de la
relativité restreinte, il a ensuite fallut attendre de nombreuses
années(1951) pour voir apparaître la première centrale nucléaire
qui est l'application pratique de la formule d’Einstein.
Voici donc un bon exemple d'une théorie ou d'un principe qui
s'incarne dans des faits.
Plus généralement, il y a un aller retour entre les deux pôles :
Nicolas-Joseph Cugnot est un ingénieur militaire français, né à
Void-Vacon, Meuse, le 26 février 1725, mort à Paris le 7 octobre
1804[1], connu pour avoir conçu et réalisé, entre 1769 et 1771, le
premier véhicule automobile jamais construit. Il a d'abord imaginé
son véhicule (dans la sphère de l'esprit), puis il l'a construit,
mais les essais (les faits) ne furent pas concluants, le véhicule
fût abandonné (mais il existe toujours de nos jours). L'idée fut
cependant reprise avec l'idée d'utiliser des rails et la première
locomotive à vapeur fut construite par Richard Trevithick en 1804.
(Nouveau passage dans le circuit principes --> faits) et en
fait chaque innovation emprunte ce circuit.
L'image ci
contre, plutôt ancienne, montre deux aspects du caducée,
premièrement le coté symbolique, l'emblème tenu dans la main
droite et deuxièmement le coté réel qui est l'homme lui même (ou
la femme, vous noterez la jupe) qui a les pieds sur terre et la
tête dans son étoile (le soleil). L'être humain arrive ainsi à
joindre les deux bouts (le ciel et la terre) à ce moment l'énergie
circule et il devient une lumière pour le ciel et un engrais pour
la terre (notez les racines), ainsi il peut éclairer et porter sa
lumière vers tous ceux qui on envie de le suivre (qui n'aime pas
le soleil).
Sur l'image tout à gauche, nous avons une
foultitude de caducées, le personnage au centre figure lui même un
caducée avec les ailes et les deux serpents au dessus de la tête,
symbole auquel s'ajoute une croix.
Chaque main tient un caducée "simplifié" avec des ailes
miniatures.
Les deux personnages en rouge tiennent aussi des caducées, l'un
avec le bâton et un serpent, l'autre avec le bâton et les ailes,
ces deux personnages sont tout à fait complémentaires.
Le personnage central est entouré par la lune et le soleil (le
féminin et le masculin si vous préférez, ou l'émissif et le
réceptif).
Les ailes sont à la fois en haut (aux épaules ce qui lui donne des
épaules larges) et sous les pieds pour marcher sur un grand pied,
ce qui peut rappeler hermès ou encore la
notion de fractal (ce qui est en haut est comme ce qui est en
bas).
Le détail important est qu'il est nu
(pour faire un et unir,
nu étant l'inverse de un)
il doit en effet relier le ciel et la terre et en électricité, un
fil doit être dénudé pour faire contact
et faire circuler l'énergie.
Il faut cependant transposer cette notion sur des plans plus
subtils, ce symbole n'est pas la pour nous inciter à faire du
naturisme.
La nudité (plutôt à prendre dans le sens de pureté) est peut être
celle de l'esprit et du cœur (les pensées et les sentiments), dont
un aspect est bien illustré dans le tableau "La
vérité sortant du puits". Elle sort en effet nue et certains
tentent de la masquer (la nudité ou la vérité).
Ce caducée nous met sur la piste de la compréhension, on voit en
effet ce que représente le cercle placé en haut au dessus de la
verticale.
Il s'agit d'un soleil ou du moins de quelque chose qui rayonne,
comme une flamme.
Les ailes nous rappellent que l'énergie rayonnante se propage dans
l'air (comme les oiseaux).
Les deux serpents sont aussi dans le prolongement du centre du
soleil et ils symbolisent aussi l'énergie vibratoire alternative
qui descend vers la terre.
Le caducée serait un symbole prométhéen
qui nous explique la marche à suivre pour faire parvenir à nous
l'énergie du ciel (ou des dieux) et pour la faire remonter bien
sur.
La photo de droite à été prise au niveau du portail d'entrée de la
Femis (Ecole nationale supérieure des métiers de l'image et du
son) située 6 rue Francœur dans le 18 ème arrondissement de Paris.
Cette école va certainement porter le flambeau de la connaissance
très haut, la combinaison des ailes et du feu ne peut que porter
loin (comme l'image et le son).
Voici maintenant un caducée réglable, le curseur du
potentiomètre peut aller vers le haut ou vers le bas, ce qui aura
comme effet de modifier l'intensité du rayonnement sonore.
Notez qu'il y a en général deux potentiomètres (canal droit et
canal gauche) et que le courant électrique qui y circule est
sinusoïdal, ce qui nous rapproche un peu plus du caducée avec ses
deux serpents.
Ceci n'est pas du tout un accessoire superflu, si le son est trop
faible, vous n'entendez pas, s'il est trop fort c'est désagréable,
il faut donc trouver l'équilibre qui vous correspond.
Bouddha disait : si la corde du cithare est trop tendue, elle
casse, si elle est trop lâche, elle ne produit aucun son. Pour
résonner au mieux, elle doit se trouver au Milieu.
Le parallèle étant à faire avec l'évolution spirituelle de chacun
ou il faut trouver la bonne position du moment, horizontalement et
verticalement.
Un coup de fil sans fil à la patte ?
Le caducée va vraiment se nicher la ou on ne l'attend pas !
Un petit clin d’œil au rouge et au noir qui est un roman écrit par
Stendhal.
La base est carrée signe de stabilité, on y retrouve cependant le
mouvement incarné par le cadran tournant servant à composer les
numéros, on retrouve aussi ce principe (appel lancé par le bas)
sur les claviers d'ordinateur qui composent l'adresse URL du site
destinataire.
Le soleil (ou le cercle) du haut est ici dédoublé, un pour
l’émission (le haut parleur) et un pour la réception (le micro
composé autrefois d'une simple grille contenant de petits grains
de charbon).
Les esprits chagrin protesteront en disant qu'il n'y a qu'une
spirale pour relier le ciel et la terre, contrairement aux deux
habituelles, rassurez vous, la spirale visible est en fait une
gaine qui contient plusieurs fils de cuivre, un pour le micro et
un autre pour le haut parleur, soit deux sens de circulation possible pour l'énergie électrique sinusoïdale (nos deux serpents).
Une version plus récente est le lecteur MP3 faisant également office de récepteur radio modulation de fréquences. Un seul serpent vert est réprésenté mais il y a bien plusieurs énergies en jeu, les ondes radio de 100 Mhz captées par le fil des écouteurs et les ondes sonores de 50 Hz à 1200 Hz renvoyées vers les écouteurs par le même fil. Les ondes sonores sont en fait des ondes sinusoïdales électriques envoyées par le récepteur carré, elles ne deviendront des ondes acoustiques qu'après être passées dans le bobinage des haut-parleurs ou des écouteurs, qui sont eux aussi des "mini" caducées (vue en éclaté en haut à gauche).
Décoder le caducée, est ce la clé pour vous donner des ailes ?
(passer du matériel au spirituel et réciproquement).
Cherchez la clé de sol (le chemin vers la terre, contrairement à la clé de soleil qui fait l'inverse), frappez
et on vous ouvrira, ceux qui ont faim et soif seront rassasiés.
Arrivés en bas (dans l'instrument) les ondes (sinusoïdes du
serpent) s'élèveront vers les cieux qui s’ouvriront à vous.
Notez que vous devrez utiliser les rayonnements (ailes) de votre
tête et de vos pieds (encore le ciel et la terre !)
Vous connaissez peut être le mythe de phénix,
l'oiseau qui renaît de ses cendres et bien nous ne sommes pas loin
avec le caducée, c'est aussi un symbole de mort et de renaissance.
A noter que cette renaissance ne se fait pas n'importe ou, elle se
fait en haut, au niveau du centre du soleil (le centre de
l'esprit).
D'un point de vue symbolique, cette image peut représenter le
renouveau de la pensée qui se fait dans la tête, mais il y a bien
d'autres symboles à trouver, la tête n’est peut être qu’un relais,
qu’une étape dans un parcours immense entre l'infiniment grand et
l'infiniment petit.
Chose extraordinaire, ce logo a été choisi par une
association de femmes et, comme par hasard, la terre y est
représentée de façon prépondérante, en fond d'image.
Rappelons que la terre est de nature féminine, la plupart des
caducées ne montrent que le ciel (le soleil) en partie haute sous
forme d'un cercle et négligent la terre.
Marie christine Oghly nous indique ci dessous la signification de
ce symbole.
La symbolique de notre logo, choisi par notre fondatrice en 1945
est :
Les ailes de mercure pour le commerce,
Le bâton du commandement
Et le serpent pour la renaissance en fait l'innovation
Le monde en arrière plan car notre association est devenue
mondiale des 1947.
Voila un magnifique caducée, un bronze en trois dimensions s'il
vous plaît.
Il est de l'Américain James Nathan Muir (1945) et se trouve
à l'université de Saint Louis.
Vous pouvez voir la réalisation et l'installation sur ce lien.
Il souhaite en mettre un dans chacun des sept continents, faites
lui une proposition.
La terre (en bas) est superbement représentée, avec la notion
d'éclosion du globe en deux parties qui fait penser à l'éclosion
de l’œuf d’où partira l'oiseau avec ses ailes (symbole du
rayonnement ou du feu).
L'image d'une graine en train de germer pour laisser passer la
première tige est aussi présente.
Ce globe en deux parties pourrait aussi rappeler l'histoire de la
pomme croquée par Eve.
Sous ce globe, nous trouvons un socle qui rappelle le carré,
symbole de stabilité.
L'association entre le socle carré et le globe renvoi au
symbolisme des Francs maçon ou à celui des Tangkas Tibétains,
visible sur la page symboles FMT.
Une autre lecture renvoi à différentes histoires du monde,
notamment dans la
cosmogonie
chinoise, le monde est porté par quatre éléphants (quatre
est un symbole de stabilité comme le carré) eux-mêmes
soutenus par une tortue (le rond étant plutôt symbole de
mouvement).
Le reste se passe presque de commentaire, le soleil, en haut est
figuré par la tête entourée d'une couronne d’où partent des rayons
(de soleils) ou des idées.
Après ce magnifique caducée en trois dimensions, revenons en
France place de la Bastille (à coté du café philo des phares ou je
vais tous les dimanches) pour trouver le génie de la liberté tout
en haut d'une colonne de 23 mètres.
Le Génie de la Liberté représente « la Liberté qui s’envole en
brisant des fers et semant la lumière ».
Il est nu (voir la vérité sortant
du puits), le pied gauche posé sur la sphère, la jambe
droite levée, les ailes déployées, une étoile sur le front.
Il tient dans la main gauche une chaîne brisée, et de la droite le
flambeau de la civilisation.
Notre génie a donc pris les choses en main, la lumière dans la
main droite (comme le sceptre
des alchimistes), et il a brisé les chaînes dans sa main gauche
(Jésus disait "la vérité vous libérera").
Il a toujours la lumière en haut (l'étoile au dessus de la tête
comme pour la statue précédente), mais lui a mis en application,
en acte, il a brisé les chaînes de l'habitude, de l'ignorance
(voir le livre symbole de connaissance alchimique),
de l'asservissement.
Le vertical peut se lire à travers la colonne de 23 mètres qui
supporte notre génie.
Les deux serpents ne sont plus la, peut être ont ils disparus
comme disparaît le cordon ombilical à la naissance (et donc à la
libération) et que maintenant tout est "intériorisé" ?
L'embase de la colonne alterne entre le cercle et le carré, de
nouveau un renvoi sur la page symboles
FMT.
La liberté est donc en haut, ou ne s'acquière que si l'on est en
contact avec le haut, inutile de continuer à ramper (en tenant la
rampe), la clé est dans l'élévation tout en gardant un pied à
terre et bien sur en faisant circuler (cercle = circle en anglais)
l'énergie ou le feu (de Dieu).
Quand l'énergie circule (en cercle) tout tourne rond, vos phrases
seront bien tournées, fini les mauvais tours et les tours de vis
qui font se serrer la ceinture.
Rappel historique (qui coule de source):
Dès le 16
juin1792,
il est décidé que l’emplacement de la Bastille formerait une place
dite « de la Liberté » et qu’une colonne y serait élevée, mais on
y installa d'abord la Fontaine de la Régénération
pour le 10
août1793,
elle était au cœur de la
fête de l'Unité et de l'Indivisibilité de la République.
Cette fête révolutionnaire grandiose,
organisée par Jacques Louis
David et conçue par Hérault de
Séchelles, fut la plus importante des cérémonies
révolutionnaires. Un budget de deux millions lui fut alloué par la
Convention.
Le parcours prévu pour le cortège avait cinq « stations »
symboliques de la Révolution : des Champs de Mars à la Bastille en
passant par la place de la Concorde.
La fontaine commémorait la prise des Tuileries de 1792.
Cette fontaine de style égyptien était une allégorie de la Nation,
dont l'eau sortait des mamelles en deux jets recueillis dans un
bassin.
La vérité et la liberté ont elles besoin d'être reliées à une
source pour se manifester ? Nous avons déjà parlé du lien à
établir avec le haut (le soleil, le feu, la lumière, la
connaissance), le bas est aussi nécessaire avec son eau
régénératrice.
Le mariage entre le feu et l'eau est très important, même les
centrales atomiques ont besoin de l'eau pour refroidir l’excès du
feu nucléaire.
Le logo de l'OMS (organisation mondiale de la
santé).
Ils se jettent des fleurs (les lauriers).
Les ailes du caducée, qui symbolisent l'action
bénéfique des rayons du soleil sont tombées sur terre pour devenir
des lauriers à la gloire des hommes ?
Le coté matériel (la terre) est ici prédominant, pour ne pas dire
exclusif, le soleil est réduit à sa plus simple expression. Cette image figure bien la médecine dite "moderne" principalement axée vers l'empoi de molècules chimiques, ou d'appareils électroniques ou mécaniques (chirurgie). L'aspect "vibratoire" n'est plus incarné que par la radiothérapie (destructive) et par les système de diagnostique (rayons X, scanner, échographie, IRM).
Nous sommes encore dans le domaine de la santé (ou plutôt de la
maladie ?) Voici le logo de l'afssaps ce qui veut dire Agence
française de sécurité sanitaire des aliments.
Nous retrouvons une forte ressemblance avec le caducée
traditionnel, mais il y a quelques variantes, le cercle du haut
s'est "décollé", notre agence aurait elle perdue en partie la tête
? Et les ailes sont très courtes.
Le principal changement est que la partie droite "centrale" a
disparue au profit d'un étalement vers le bas ou trois éléments se
retrouvent à l'horizontale.
D'abord le nom lui même de cette agence, ensuite le petit trait
bleu pâle mis sous le logo et enfin les deux "jambes" de nos deux
serpents qui s'écartent et s'étalent de façon peu habituelle.
Rappelons que dans la majorité des caducées traditionnels, le bas
(la terre) n'est pas représentée, c'est à chacun de deviner cet
élément.
En faisant une symbolique de comptoir, on pourrait interpréter ce
logo en disant que cette agence va essentiellement s'occuper de
problèmes matériels avec une petite approche spirituelle, mais
comme elle a perdu (ou rejeté) l'axe vertical (la droiture), elle
va faire beaucoup de choses de travers.
Cette agence n'existe en tant que telle que depuis 1999 et on ne
saurait l'accabler de tous les problèmes sanitaires de notre
époque, il y avait cependant avant elle d'autres "autorités ?"
sanitaires qui ont été loin de respecter le premier serment
d’Hippocrate "Primum non nocere" « d'abord, ne pas nuire ».
La France dispose d’une panoplie ahurissante d’agences et
d’instances sanitaires : HAS, Afssaps, Ceps, InVS, ARS, DGS,
ministère de la Santé.
Voici un petit historique :
Les prothèses PIP. Le Mediator. L’amiante. Le Distilbène. Le
Chlordécone. L’hormone de croissance. Le scandale de l’Isoméride.
Le sang contaminé. Les essais nucléaires. La vache folle (le
prion). Le Vioxx et l'Arcoxia. La thalidomide. Le Bisphénol. le
plomb. Le Di-Antalvic. Le talc Morhange. Le Roaccutane. Le
Staltor, Le Cholstat. L'Avandia. Diane 35. Le Bismuth. Le glifanan. Le Radium.
Quetzalcoatl, chez les Toltèques et les Aztèques,
dieu et roi légendaire très important, associé d'abord à la
végétation puis à la planète Vénus. Son nom signifie le Serpent à plumes. Aux alentours
du Ve siècle apr. J.-C., les Toltèques l'adoraient comme divinité
de la Fertilité, ce dont attestent les statues érigées à
Teotihuacan. Vers le IXe siècle, Quetzalcoatl devint à Tula une
divinité de l'Étoile du matin et du soir, Vénus, et le culte qui
lui était rendu changea avec l'apparition des sacrifices, qui
semble-t-il ne furent pas des sacrifices humains. Plus tard, entre le XIVe et le XVIe siècle, les
Aztèques en firent le premier des prêtres, le protecteur des
artisans et des livres et le symbole de la mort et de la
résurrection. La divinité antagoniste, dans la religion toltèque
dualiste, était Tezcatlipoca, dieu du Ciel nocturne. On croyait
que celui-ci avait chassé Quetzalcoatl de la capitale toltèque,
Tula, mais une prophétie annonçait le retour du Serpent à plumes.
C'est pourquoi, lorsque le conquérant espagnol Cortés débarqua en
1519, le roi aztèque Moctezuma II le prit aisément pour le dieu
revenu d'exil. La légende de l'exil de Quetzalcoatl reflète sans
doute des changements survenus dans la religion et dans la société
toltèques comme le déclin des cérémonies traditionnelles à
caractère agraire, associées au dieu, au profit des sacrifices
humains, liés à la prise de pouvoir des classes guerrières.
Le lien (au moins dans les apparences) avec notre caducée occidental est assez évident, mais l'association entre un serpennt (un reptile) et les plumes (un oiseau) peut nous rappeler l'histoire des dinausores qui avaient des plumes. Quelques explications à ce sujet sur ce lien :
Le caducée est aussi en rapport avec la création
et avec les cycles, on retrouve ici le chiffre sept et le
chiffre quatre. Notez le mouvement descendant
et le mouvement ascendant.
Voici maintenant comment prier pour avoir votre pain
quotidien (si vous préférez la brioche, demandez à Marie
Antoinette, elle en a perdu la tête).
Il faut que les choses soient rondement menées, voir menées à la
baguette.
Le lien avec le caducée est le suivant :
Le caducée "global" est un symbole du lien dynamique entre le ciel
et la terre (ou plus généralement entre deux pôles), ce lien est
opérationnel en passant par différents plans "intermédiaires"
symbolisé par les anneaux ou les croisement des deux serpents (ou
énergie vibratoire).
Ici nous détaillons l'un de ces maillons (ou anneau) à savoir une
relation client/serveur des analogies pourront être faites avec le
monde informatique ou la notion client/serveur est très présente à
travers le réseau internet.
Les plus religieux seront tentés de se mettre dans le rôle du
client et de mettre Dieu dans le rôle du serveur.
Je conseillerais d'approfondir cette notion avant toute conclusion
hâtive, je penche plutôt pour une vision fractale (qui complémente
la vision unitaire) toute partie du tout étant à la fois cliente
et serveur, à la fois dans le microcosme et dans le macrocosme.
Un cas particulier serait d'envisager tout événement à la fois
comme une cause et comme une conséquence, ou de voir tout humain
comme fils ou fille (ça c'est sur) et comme père ou mère
(potentiel).
Dans la forme, vous avez l'axe central (la demande du client
symbolisée par le trait en pointillé), les deux serpents
matérialisés ici par un échange matériel (baguette contre
monnaie).
La demande du client déclenche chez la boulangère un hymne de joie
(représenté par la musique) car la plus grande joie pour un maître
est de servir.
La bonheur de cet échange les envahis tous les deux et ils en
viennent à voir la vie en rose.
Rose est un anagramme de Eros et de oser, c'est aussi un point de
mélange et d'équilibre entre le blanc et le rouge dont je vous
laisse développer la symbolique.
Au centre de l'image un ange de l'église
Saint-Charles-Borromée achevée en
1737, elle est l'un des plus extraordinaires
exemple d'architecture baroque en Europe centrale.
Elle est située à Vienne en
Autriche, elle figure en médaillon à gauche de l'image.
Cette statue est à l'extérieur du bâtiment et se trouve à droite,
au pied de la colonne de droite, un autre ange est située à
gauche, au pied de l'autre colonne.
L'ange de gauche tient également une croix en main
mais sans serpent, cette double représentation pouvant
correspondre aux deux états de la matière : en vibration ou au
repos (voir l'exemple de la corde de guitare).
L'aspect vertical du caducée est présent de plusieurs manières :
L'ange debout lui même, la partie verticale de la croix tenue en
main, la colonne à proximité de la statue et l'église en
arrière plan qui s'élance vers le ciel comme la plupart des
édifices religieux.
L'aspect "sinusoïdal" du caducée est présent également de
plusieurs manières : Le serpent enroulé autour de la croix, la
décoration des colonnes qui est une fresque s'enroulant en
spirale sur toute la hauteur des colonnes.
L'aspect "ailes" est présent à travers les ailes de l'ange.
Un détail intéressant se trouve aux pieds de l'ange, à gauche du
socle, pratiquement en bas de la croix.
Une tête de mort a déjà fait son apparition quelques
images plus haut mais elle était située en haut (à la tête),
ici elle se trouve en bas, aux pieds, la "bouche bée".
Si la tête de mort en haut peut symboliser la fin des illusions du
mental (les théories et les idées abracadabrantes), la tête de
mort en bas peut symboliser la fin du monde "physique" et c'est
bien dans la terre (symbolisée par le quatre des quatre cotés du
socle) que l'on met les cadavres pour que leur décomposition
puisse nourrir les nouvelles formes de vie qui vont reprendre
l'ascension vers le ciel mais avec de nouveaux idéaux).
Cette "double" mort (tête et pieds) fait penser aux paroles :
"Alors je vis un nouveau ciel et une nouvelle terre.
Le premier ciel et la première terre avaient disparu" Apocalypse
21.1-8
Le mélange entre la croix et le caducée est d'une manière générale
assez peu représenté, vous en avez cependant un autre au cimetière
du père Lachaise, figuré en médaillon en bas à droite de l'image
ci-contre (qui fait partie du diaporama
sur le caducée).
A Vienne nous avons une tête de
mort en bas d'un hybride "caducée-croix" (il a fallu qu'il Vienne à moi ! ) et à Paris , nous
retrouvons le même hybride "caducée-croix" dans un
cimetière, avec le nom de Lacan écrit sur la tombe, ce
qui est un anagramme du mot canal. Curieux non ?
Le cyclone est également un modèle de liaison entre le ciel et
la terre, le ciel étant ici limité au monde des nuages, on voit
bien le mouvement en spirale et la zone centrale qui est calme.
Un caducée bien improbable, l'axe central est une pile de 1,5
volts et la périphérie est une sinusoïde (un bobinage). L'axe
central correspond à l'aspect électrique et la périphérie
correspond à l'aspect magnétique (induction du bobinage). les deux
donnent l'aspect électromagnétique. Le bobinage pourrait aussi
symboliser le filament d'une ampoule électrique, ce qui donnerait
un couple générateur/consommateur de courant.
La suspension de voiture (à gauche) est aussi un bel exemple de
combinaison de la droite et de la spirale, ici on accumule et on
restitue l'énergie.
Le bateau (à droite) peut aller tout droit ou tirer des bords,
cette alternative nous redonne une partie du caducée.
Encore une fois nous avons le double mouvement de l'air et de
l'eau (au préalable engendré par le soleil et la terre).
Et voici le chauffe-eau CHAUDAGAZ vous noterez l'axe central où
brûle la flamme (le feu intérieur) qui va ensuite parcourir le
serpentin extérieur et ou elle va se refroidir en cédant sa
chaleur à l'eau qui entoure le serpentin. Vous pouvez cliquer pour
agrandir l'image.
La vis et le boulon sont deux exemples de la réalité concrète du
caducée.
La vis profite de sa spirale pour s'enfoncer dans le matériau (la
terre symboliquement de forme carrée ici), cette énergie
d'enfoncement lui vient du haut (le tournevis qui est lui même
tenu par la main et qui s'accroche grâce à une tête en croix).
L'évasement en partie haute (la tête de la vis et du boulon) n'est
pas sans nous rappeler les ailes du caducée.
Le tire bouchon : Encore un instrument qui relie le haut et le
bas, dans un premier temps, on le tourne pour le faire pénétrer
dans la terre (le bouchon), puis on lui imprime un mouvement
ascendant vertical pour aller vers le ciel.
L'énergie est apportée par les ailes (le manche) à qui on applique
un couple de forces.
A la fin de l'opération, nous avons réalisé une inversion de
polarité : la bouteille qui était fermée, est devenue ouverte, le
précieux liquide va pouvoir abreuver tout le monde.
Maintenant que vous avez le mode d'emploi, c'est à vous de vous
ouvrir au monde.
Glissez votre souris sur l'image et le tire bouchon en action vous
apparaîtra avec le double mouvement : Quand les bras montent au
ciel, la vis s'enfonce, et inversement. Si la vis sent fond (ce)
alors c'est du vice sans faim.
L'étude de la vis est terminée, sinon ce serait une vis sans
fin.
Donc je vous propose d'aller faire un tour et de passer de la vis
au tournevis.
Celui représenté à gauche se nomme tournevis spiralé à cliquet.
Comme tout bon tournevis, il relie le ciel (la main) à la terre
(la tête de la vis qui est elle même un caducée).
Lorsque vous l'enfoncez (du haut vers le bas) il se met à faire
tourner son embout.
Au centre il est en position dépliée et à droite en position
enfoncée.
Selon la position du cliquet, il peut visser ou dévisser.
La main et le bras constituent le "couple moteur" correspondant
aux traditionnelles "ailes" du caducée en position horizontale.
A gauche vous avez un détail de la partie centrale qui est à la
fois rectiligne tout en montrant deux spirales contra rotatives,
ce sont ces spirales qui permettent de transformer le mouvement
rectiligne vertical en mouvement de rotation, cela a déjà été
représenté sur la page "Vision
de l'électron"
Restons dans les outils (un bon artisan a toujours plusieurs
outils dans sa caisse).
Le ciel et la terre sont ici incarnés par les deux mâchoires qui
peuvent se rapprocher ou s'éloigner selon l'action de la molette
(la spire).
Comme pour le tournevis, une seule aile est suffisante (le manche
de l'outil) puisque nous sommes sur terre.
Le jeu des assiettes chinoises est très connu au cirque.
L'image ci contre semble ne montrer que la partie verticale et
l'assiette qui représente le feu (les ailes en rotation).
Mais pour que l'assiette ne tombe pas (pour que la vie continue)
il faut impulser de l'énergie à la tige verticale qui va se mettre
en rotation et commencer à ressembler à une spirale.
Donc nous avons une partie stable (l'axe vertical, la colonne vertébrale), et une partie en mouvement, les deux couplées
par une relation à angle droit, comme l'arbre moteur et la roue.
Un aspect de la relation entre le cercle et la sinusoïde est donné
sur cette page.
La vis sans fin ou vis d’Archimède possède aussi un axe central
autour duquel s'enroule une spirale, le haut est en général occupé
par un moteur (de même la vis manuelle qui possède une tête ou
vient s'accoupler la force motrice du tournevis).
Un exemple qui rappelle l'escalier et ascenseur.
L'eau est propulsée au centre de la fontaine, à la verticale
(grâce à une pompe) et arrivée en haut, elle redescend en de
jolies arabesques courbes. Cela rappelle aussi les sports d'hiver
ou l'on monte en haut des pistes de façon directe ,en ligne droite
grâce au tire fesse et ou l'on redescend ensuite en courbes
sinueuses.
Le transformateur électrique est aussi un bel exemple de
caducée, on y trouve un axe central avec une forte perméabilité
aux champs magnétiques et deux spires, juxtaposées pour des
raisons pratiques mais qui pourraient aussi être entrelacées.
Les
végétaux
nous offrent beaucoup d'exemples de caducée. La tige
principale du végétal peut représenter l'axe vertical du
caducée sur lequel viennent naître les feuilles à
intervalles réguliers, en décrivant des spirales.
La corde de guitare possède deux
états, au repos ou excitée, la combinaison des deux nous redonne
l'essentiel du caducée, une chose surprenante à constater est que,
même au repos, les trois cordes des sons graves sont en fait
constituées par des spirales, ce qui se voit si vous regardez
attentivement la photo ci dessus en particulier au niveau de la
première corde à l'endroit ou elle est enroulée sur la mécanique.
Le corp de la femme possède deux
états, au repos ou enceinte (jeu de mot pour faire l'analogie avec
la corde).
La corde de guitare peut vibrer à des fréquences de quelques
dizaines de hetz à quelques dizaines de millier de hertz (du grave
à l'aigu), l'amplitude est de quelques dizièmes de millimètres.
Le corp de la femme s'arrondi à une fréquence de 0.0000000428669
hertz (soit 9 mois), l'amplitude est de quelques décimètres
(l'augmentation du tour de taille).
Notez aussi l'analogie avec le courant électrique, celui ci
existe sous deux formes : le courant continu (représenté par une
ligne droite) et le courant alternatif (représenté par une courbe
sinusoïdale, ce qui peut aisément se visualiser avec un oscilloscope).
L'alignement entre la tête, le cheviller, le
manche, le cordier et la pique nous donne la partie verticale
"droite" du caducée.
Les cordes qui peuvent vibrer ou être au repos (voir l'image de la
guitare ci dessus) nous rappellerons les serpents (ou énergie
vibratoire).
On retrouve aussi nos deux serpents dans la forme même de la table
d'harmonie (corps de la contrebasse) qui présente deux "ondes"
d'une amplitude beaucoup plus grande que celle des cordes.
L'instrument a une tête et un pied, ce qui lui donne un coté
humain, les bras pourront être figurés par l'archet.
Un détail intéressant est la volute (ou spirale) qui est tout en
haut de l'instrument.
Si l'on se souvient que la caducée est la représentation
symbolique de la liaison entre le ciel et la terre (plus
généralement de la liaison entre deux pôles), ici nous dépassons
le stade de la liaison entre le soleil et la terre, puisque le
système solaire est rond, mais nous atteignons la dimension de la
galaxie qui elle est en spirale.
Finalement, n'est ce pas l'homme lui même qui est
symbolisé par le caducée ?
Le docteur House semble ne pas en douter, quand à la femme, elle
sait cela depuis longtemps, vous noterez l'angle droit entre
l'homme et la femme.
Moise et son bâton qui se transforme en serpent, une belle
illustration du caducée, rappelez vous la corde
de guitare qui peut être droite ou en sinusoïde selon
qu'elle soit excitée ou non.
Notez le serpent sur la face avant de la coiffe du pharaon, le
fameux serpent enroulé en bas de la colonne est peut être la
moitié du mystère et la deuxième moitié serait la,
devant nos yeux, attendant les retrouvailles entre le
ciel et la terre.
Notez que le serpent de Moïse avale les deux serpents des
Egyptiens ce qui pourrait symboliser la prochaine victoire du
monothéisme sur les polythéismes.
La chose amusante à noter est que le monothéisme est une religion
qui affirme l'existence d'un Dieu unique et la transcendance de ce
Dieu, créateur du monde.
Dans cette acception exclusive, l'histoire des religions suit une
définition précise.
« Il n'y a pour l'histoire des religions que quatre grandes
religions monothéistes : le judaïsme, la religion de Zarathoustra
(mazdéisme), le christianisme et l'islam. »
Auparavant, dès le XIVe siècle av. J.-C, le règne d’Akhenaton est
le cadre d'une brève révolution monothéiste basée sur le culte
solaire d'Aton dont la portée réelle est discutée et qui
s'effondre dès la disparition de ce pharaon. (comme quoi il y a
toujours des précurseurs).
Ici aussi une vision en plusieurs plans superposés, on voit
nettement à gauche l'aspect homme-femme que symbolisent les deux
serpents du caducée. Notez sur l'image de droite l'envolée vers le
ciel, comme un ressort qui se détend, ce qui pourrait aussi faire
penser à une évaporation ou à une sublimation, ce qui s'appelle
aussi un changement de phase et ce qui nous renvoi aux quatre
éléments, eux même en relation avec le solve et coagula des
alchimistes. En cherchant bien,
l'idée d'un vortex peut
apparaître.
L'union des polarités opposées vue
sous l'angle du caducée.
Notez que l'union est clairement représentée comme se pratiquant
sur plusieurs plans (même si certains sont inconscients de cette
réalité "subtile").
Le ciel est représenté par le couple dans le grand cercle hachuré,
qui lui même contient un petit cercle centré sur la tête des
personnages.
Nous sommes typiquement dans une notion de fractale.
L'image sur fond noir est assez ancienne, elle symbolise
l'alchimie du couple avec la lune et le soleil en rappel des
polarités émissives et réceptives.
Notez la délicatesse de l'artiste qui montre à la fois la
puissance et la subtilité de l’accouplement.
L’entremêlement des jambes et des bras rappelle les spires du
caducée, il peut nous faire suggérer le mouvement alternatif
nécessaire au déclenchement de l'extase.
Le couronnement de nos deux amants peut symboliser la montée au
septième ciel, ou au septième chakra, plus prosaïquement nous
pouvons parler d'orgasme (orgasme
contient or comme celui des couronnes).
Sous l'image, vous avez un lien pour télécharger le livre
"The_sexual_Secret".
Le livre est en format PDF (En anglais pour l'instant) Le fichier
fait 20 Mo et il faut plusieurs minutes pour le télécharger, vous
devez avoir Acrobat reader pour le visualiser.
Pour entrevoir ou mène cet accouplement, caressez sensuellement
l'image avec le poil de votre souris et la pulpe de vos doigts, et
le ciel va vous apparaître (disons le début du décollage).
Le génie de la Bastille a encore un pied posé sur notre globe (non
visible sur cette image mais visible sur celle-ci)
alors que notre belle déesse a déjà la main sur la porte (la porte
du ciel bien sur).
La complémentarité est parfaite, lui a brisé les chaînes du monde
d'en bas et peut être saura t il les réutiliser pour se lier au
ciel (puisqu'il les garde en mains, symbole de maîtrise), et elle
va le porter (par la porte) elle montre la terre avec son index
droit et n'ouvrira la porte du ciel qu'à celui qui s'est déjà
libéré de la terre.
Notez que nos deux personnages ont les pieds légers sur terre, ne
prenant appui que sur la pointe d'un seul pied, car il est dit
"L'avenir appartient à ceux qui n'encombrent pas le ciel et qui
ont les pieds légers sur terre".
La femme nous fait descendre sur terre à travers son utérus mais
elle sait aussi nous faire remonter au ciel par son amour et son
esprit.
Une approche métaphysique nous ferait dire : cette union des
polarités permet à l'esprit de se libérer de la matière (ce que
fait la lumière en s'échappant du bois à travers la combustion,
après y être entrée par les feuilles et la photosynthèse).
Bon voyage mais attention à Icare, redescendez dès que ça devient
trop chaud.
Encore une autre façon de relier le ciel et la terre, aux
manettes (avec les mains nettes) nous avons le doc (celui qui
sait) et qui va vous renvoyer dans la bonne époque (le droit
chemin ?).
Sa position élévée lui permet de vous aiguiller, il n'hésite
d'ailleur pas à s'accrocher lui même aux aiguilles, ce qui est sa
façon à lui de peser sur le temps et de le marquer.
Il commence donc par attacher le câble (sorte de cordon ombilical)
vers le ciel, en occurrence les aiguilles de l’horloge situées en
haut de la mairie de Hill Valley, ensuite, après une chute très
rapide vers la terre (incarnation ?) il va à nouveau devoir
brancher le câble au sol cette fois ci.
A noter qu'au moment crucial, il est lui même le conducteur de
l'éclair qui va relancer la Dolorean, comme certains "Archanges"
sont le lien énergétique entre le ciel et la terre.
Ce moment crucial est vraiment une croix si vous notez que le
crochet de la Dolorean est perpendiculaire au câble électrique, et
après le grand choc, il reste une sorte de croix de feu sur lequel
s'attarde la caméra.
Naturellement l'horloge s'arrête, signe de la fin des temps ?
L'énergie divine (la lumière et la vérité) étant maintenant sur
terre, la création est achevée.
Les fins limiers se rappelleront qu'il ne s'agit que d'une période
de 1000 ans après laquelle le dragon sera à nouveau libéré de ses
chaines, et c'est bien ce que nous aurons dans l'épisode III,
l'horloge de Hill valley sera remise en service.
Un détail à préciser est que les câbles électriques de cette
taille sont spiralés, pour mieux nous rappeler les serpents du
caducée.
Et la cerise sur le gâteau est dans le nom du village lui même,
Hill étant la colline, le haut et Valley étant la vallée, le bas,
le ciel et la terre ne nous quittent décidément pas. Je ne parle
pas de l'épisode avec les terroristes Lybiens pour un vol
d'Uranium (film écrit en 1985 avec un dictateur Lybien sorti en
2011).
Tout feu tout flamme, le feu n'est pas seulement à l'extérieur
(le soleil), il est aussi à l'intérieur (le feu nucléaire).
lorsque la lumière intérieure circule (comme l'électricité circule
dans l'ampoule) alors la santé est la, le caducée est en pleine
forme, il relie le ciel (la source solaire) et la terre (le
réceptacle qui une fois fécondé, énergisé devient à son tour un
producteur de merveilles)
Voici ce que devient le caducée cosmique (ciel terre ou soleil
terre) revisité par la technologie humaine.
Dans le rôle du soleil, on trouve la centrale nucléaire (notez
que le soleil est lui aussi un énorme réacteur thermonucléaire auto-entretenu)
La centrale produit du courant électrique à 400 000 Volts et les
différentes spires vont correspondre à des transformations pour
amener le courant à 20000 Volts, puis à 2000 Volts puis à 220
Volts puis à 12 Volts.
Au final l'énergie est utilisée par une ampoule de 12 Volts.
Dans toutes ces transformations, on retrouve des transformateurs
électriques constitués par des spires (qui nous rappellent le mot
spirituel), cette transformation n'est possible que par ce que le
courant "respire" (encore le mot spirituel) en ce sens qu'il est
alternatif, il change de sens 50 fois par seconde, tout comme nos
poumons qui respirent en inversant le sens de l'air 12 fois par
minute.
Notez qu'il manque l'axe central, mais la je vous laisse
deviner.
Notez que dans le schéma classique, c'est le haut (le soleil)
qui rayonne (le rayonnement étant symbolisé par les ailes qui
servent à se déplacer dans l'espace, tout comme la lumière se
déplace dans l'espace) alors que la c'est le bas (l'ampoule) qui
rayonne.
Une autre version du caducée moderne
moins symbolique que celle plus haut mais plus proche de la
réalité matérielle.
Les spires citées plus haut sont ici bien visibles.
Vous connaissez l'expression "Dieu vous le rendra au centuple"
et bien le transformateur électrique en est un très bon exemple.
Supposez que vous soyez du coté du 220 Volts et bien si vous
faites l'effort de passer au travers du transformateur (au travers
de la forme) alors vous serez du coté du 20 000 Volts.
Calculez le gain obtenu, le centuple est dépassé.
L'éolienne est peut être l'objet
technique qui ressemble le plus au caducée.
On y retrouve les ailes (représentées ici par trois pales mais
il existe aussi des éoliennes à deux pales), on y retrouve l'axe
central (le mat ou le fut de l'éolienne), on y retrouver le cercle
en haut de l'axe central (le rotor et le stator du générateur
électrique qui tourne ce qui donne bien l'idée du rond), on y
trouve les deux serpents (les deux fils électriques qui
transportent le courant sinusoïdal vers l'utilisateur).
Une sinusoïde a bien la forme d'un serpent.
L'idée générale de l'éolienne est de prendre de l'énergie en
haut (l'énergie du vent mais qui elle même vient de l'énergie du
soleil) et de la distribuer en bas, vers la terre.
Et c'est peut être aussi l'idée générale du caducée : prendre
l'énergie en haut (dans les plans subtils) et la distribuer vers
des plans moins subtils.
C'est un voyage entre le ciel et la terre, comme dans l'échelle
de
jacob.
Ceci nous renvoi également au mythe
Prométhéen.
L'aspect "descendre" de l'énergie du ciel vers la terre est à
prendre un peu au niveau quantitatif, mais surtout au niveau
qualitatif, dans ce cas on parlera plus d'informations
(compréhensibles par le mental) ou de conscience (sensation
d'être).
Et si maintenant, nous faisions l'inverse,
prendre l'énergie en bas et la renvoyer en haut ?
Le cercle, en haut est devenu prédominant (il rayonne dans
l'univers, même si pour l'instant il ne cherche qu'à joindre les
satellites géostationnaires.
A l'époque Pioneer
10, il s'agissait d'envoyer un message vers l'univers, dans
ce cas le mât n'était plus nécessaire puisque l'engin émetteur
était satellisé).
Le mât central vertical et bien visible, quant à nos deux
sinusoïdes, elles se cachent sous forme de paires torsadées
protégées dans des câbles ronds qui véhiculent un courant
alternatif sinusoïdal modulé.
Si l'éolienne capte l’énergie du soleil pour produire de
l'électricité, ici, l'électricité sert à produire des rayonnements
électromagnétiques à des fins de télécommunication.
Ce passage d'ondes lumineuses à des ondes électromagnétiques se
fait par l'intermédiaire d'un grand nombre d'appareillages
techniques (de la matière).
Notez qu'un simple réverbère avec son ampoule (ronde) en partie
haute, joue le rôle d'un caducée, l'alimentation électrique
sinusoïdale rappelant nos deux serpents.
Je garde l'antenne (avant de la rendre à Cognac-Jay).
Au commencement était l'antenne râteau qui trônait en haut se son
mat, bien orientée vers son émetteur et qui nous rappelle les
ailes du caducée, pour le mat, vous aurez
deviné, ce type d'antenne ratissait large.
Posé sur le mat métallique, vous pouvez apercevoir le câble
d'antenne blanc, dit "câble coaxial" et en superposition, vous
avez une représentation des signaux électriques (UHFVHF) qui circulent
dans ce câble.
Ce câble d'antenne est aussi appelé câble coaxial avec un
conducteur cuivre en son centre (qui se nomme l'âme)
il est entouré d'isolant et ensuite d'un blindage en fils de
cuivre très fins disposés en deux nappes enroulées de façon
contra-rotatives, ce qui est exactement l'image du caducée avec
ses deux serpents enroulés de part et d'autre de l'axe cental.
L'antenne a transformé les rayonnements électromagnétiques de
l'émetteur en micro courants électriques, vous en avez de toutes
les couleurs.
Nous avons une fois de plus la double polarité, l'antenne étant à
la fois réceptive (par rapports aux ondes) et émissive (par
rapport aux micro courants électriques).
Ensuite une analogie avec l'aura des saints est proposée et au
final nous revenons à une forme d'antenne plus moderne dite
"Antenne parabolique" sachant que jésus parlait déjà en paraboles,
mais peu ont le décodeur pour le capter (relier le symbolique et
le réel).
Vous pouvez faire une pause ou relancer le diaporama comme bon
vous semble.
Un petit voyage dans le ciel vous tente ?
Le caducée serait il présent à l'échelle du système solaire.
Le principe des télécommunications spatiales semble l'indiquer.
L'énergie est tantôt utilisée pour sa puissance (l'énergie
solaire) et tantôt pour son information (le signal des antennes).
Ce déplacement d'informations "horizontal" et qui doit en fait
passer par le "vertical" rappelle notre croix.
Un nématocyste est un organite inclus à l'intérieur de cnidocytes,
cellules
caractéristiques des cnidaires. Ces
organites vénéneux sont capables de libérer une substance urticante qui est
caractéristique des cnidaires.
Les cnidocytes sont des cellules à usage unique ; une fois leur
nématocyste utilisé, ils se résorbent pour être remplacés.
Le nématocyste est contenu dans le cnidocyte qui est refermé par
un opercule. Il est composé d 'une capsule en forme d'ampoule
recouverte de petits crochets à laquelle est attaché un tube en
forme de fil. La capsule mesure entre 10 et 50 micromètres[1].
Lorsque le cnidocil est excité par contact, le nématocyste est
libéré et se plante dans sa proie, les crochets l'empêchant de
ressortir. Après pénétration, le poison contenu dans le
nématocyste est injecté dans la proie qui est immédiatement
paralysée.
Le nématocyste est expulsé par gradient de pression: il stocke
dans sa capsule une grande quantité d'ions calcium qui vont être
envoyés dans le cytoplasme du cnidocyte lors de l'excitation du
cnidocil, ce qui augmente la concentration en ions calcium dans le
cnidocyte. Cela crée une pression
osmotique qui va causer une entrée d'eau dans la cellule.
Cette augmentation du volume d'eau dans le cytoplasme provoque
l'expulsion rapide du nématocyste.
Un nématocyste peut, sous certaines conditions, se déclencher tout
seul, cependant, cela pose quelques problèmes pour le cnidaire.
Premièrement, il doit éviter de se piquer lui même, deuxièmement,
il doit remplacer le nématocyste car celui-ci est une cellule à
usage unique et cela nécessite une importante dépense énergétique.
Pour réguler l'utilisation des nématocystes, les cnidocytes sont
raccordés à plusieurs types de nématocytes raccordés aux cellules
de soutien et aux neurones. Les cellules de soutien contiennent
des chémorécepteur, qui, ensemble avec le
mécanorécepteur
sur le cnidocyte (cnidocil), permettent seulement à la combinaison
juste de stimulus: comme la natation de la proie et les produits
chimiques trouvés dans l'épiderme de la proie, de provoquer
l'expulsion du nématocyste.
D'un point de vus symbolique, nous retrouvons le lien entre le
ciel (la peau de la proie) et la terre (la peau ou il est inclus),
une fois l’excitation du cnidocil produite, il envoie la substance
urticante vers le ciel en passant du mode "spirale enroulée, à
gauche sur l'image" au mode "rectiligne déplié, à droite sur
l'image" le produit urticant se diffuse après que la liaison
terre/ciel soit établie, de même qu'un courant électrique ne peut
s'établir qu'après connexion entre la source et le destinataire.
Le yoga parle d'une énergie primitive lovée au niveau du premier
chakra, symbolisé par un serpent, dénommée kundalini, qu'il faut
réveiller afin d'atteindre l'éveil.
Ce serpent lové qui se détend pour atteindre le sommet (la tête,
le chakra coronal, l'éveil) est assez bien illustré par la cellule
urticante appelée nématocyste en précisant qu'il s'agit d'un cas
particulier mis au point par la nature, l'homme ayant à vivre cet
éveil à une toute autre échelle de conscience.
Archéoptéryx
Le caducée semble à première vue assez hétéroclite en ce sens
qu'il est composé d'ailes (qui nous rappellent les oiseaux) et
d'un ou deux serpents.
Or une chose curieuse est de constater que les oiseaux descendent des dinosaures de l’ordre des théropodes. !
On peut tenter une explication en disant que les serpents
représentent la partie la plus archaïque de l'homme (la plus
matérielle, que cette partie a engendré une partie plus subtile
(les oiseaux) et que les oiseaux savent voler pour retourner vers
le soleil d'où est venue la création initiale.
D'un point de vue plus subtil, cela pourrait correspondre à trois
plans de l'homme, le corps, les émotions, les pensées.
L'énergie, après s'être accumulée sur terre et y avoir mûrie
s'élève progressivement vers le ciel (on élève bien un enfant),
cette chose s'est déjà faite pour les dinosaures d'où sont issus
les oiseaux (les ailes pouvant représenter la rayonnement solaire
allant à vol d'oiseau d'un point à un autre, apparemment en ligne
droite mais en fait en ondulant comme les vagues laissées par un
cailloux sur un plan d'eau). L'arbre aussi, quand il brûle,
redevient lumière et retourne vers le ciel, lumière qu'il avait
patiemment accumulée et transformée sous forme de liaison
carbone/hydrogène, grâce à la photosynthèse.
Cette mutation reste à faire pour l'homme, l'énergie est bas de sa
colonne vertébrale et va remonter pour irriguer progressivement ou
rapidement ses corps subtils (voir la page sur les chakras).
Arrivé en haut, c'est l'envol, le décollage vers le royaume des
cieux. Le changement de plan se fait par rotation à 90° (un quart
de tour, comme les moteurs qui démarraient au quart de tour du
temps de la manivelle).
Vous remarquerez que j'ai mis des ailes de papillon plutôt que des
ailes d'oiseau, c'est un petit clin d’œil à la chenille (une sorte
de mini serpent) qui se transforme en papillon après un stade de chrysalide, elle le fait durant
une seule vie, alors que l'homme a besoin de nombreuses vies pour
cela.
La péniche provoque un mouvement sinusoidal lors
de son passage sur l'eau. Ce mouvement est plus
visible à l'arrière du bateau mais en fait il existe
tout le long de la coque. Nous avons donc une
sorte de caducée horizontal !
Les deux spires du caducée (représentées ici horizontalement)
peuvent évoquer beaucoup d'images liées à l'alternance entre une
amplitude maximale représentée par l'arbre adulte, et l'amplitude
minimale représentée par la graine. (l’alternance jour/nuit ou les
quatre saisons)
Ces deux phases d'amplitude peuvent se voir comme l'analyse et la
synthèse.
L'analyse (la décomposition en éléments simples) est faite par le
mental qui donne une identité à chaque partie du tout pour mieux
le comprendre.
Notez que la garagiste fait ça aussi avec votre voiture, il la
démonte (en partie) pour faire l'entretien des parties démontées.
Cette partie d'analyse correspondrait à la partie de la courbe
allant de la graine vers l'amplitude maximale.
Ensuite, il faut faire la synthèse car démontées les choses ne
marchent plus, les exemples étant la voiture qui ne peut plus
rouler quand le garagiste l'a démontée et par le mental qui peut
bloquer une émotion (la vie) s'il est en train de la regarder d'un
point de vue analytique.
Cette partie de synthèse correspondrait à la partie de la courbe
allant de l'amplitude maximale(l'arbre)à l'amplitude minimale (la
graine).
A noter un paradoxe, la partie minimale (la graine) est en fait la
plus riche, chacun connaît les vertus nutritives des graines
germées, ceci l'est pas sans rappeler l'antagonisme entre quantité
et qualité évoquée sur la page des énergies
subtiles.
On peut voir aussi la respiration des poumons (expansion,
contraction) ou les battements du cœur (expansion, contraction) et
pourquoi pas (en regardant loin) l'expansion et la contraction de
l'univers (big bang et big crunch).
Citons aussi l'évaporation et la condensation de l'eau, utilisée
par toute la biosphère mais aussi dans nos centrales de production
électriques, nucléaires ou à énergies fossiles.
Notez que la graine se trouve au centre de la croix, la croix
évoque le produit et la graine et bien produite par l'arbre, de
même qu'elle produit un arbre.
Faites la rotation à 90° pour mieux ressembler avec une spire du
caducée.
Dans une cellule en cours de division, on reconnaît bien des
centres d'énergie ou tout semble converger et d’où tout semble
repartir.
Ce qui peut faire penser aux chakras.
Ici, nous sommes au stade Métaphase
la forme générale ressemble à une onde du caducée mis ici à
l'horizontale.
Nous sortons de l'ère des poissons dont le symbole ressemble
étrangement à une spire du caducée. Le
rouge et le noir rappellent le déchirement entre ambitions
et sentiments de Julien Sorel.
Ce roman est une brillante illustration des courants que nous
n'avons pas encore unifiés en nous, la pensée et l'émotionnel,
représentés symboliquement par le cercle et le carré,illustrés de
longue date par les Tangkas
Tibétains et par l'emblème
des Francs maçons.
Peut être aurez vous reconnu Paris avec son boulevard
périphérique (en bleu foncé).
Mais Paris a tourné de 90 °C la place de l'étoile (en orange) est
en haut, la place de la nation (en bleu pale) est en bas.
En rouge vous avez le RER A et en vert la ligne de métro 1.
En noir la ligne 2 et en rose la ligne 6.
J’ai fait tourner Paris pour que vous voyez le monde sous un autre
angle, et ce quart de cercle nous ramène au symbole
de la croix.
Beaucoup de villes adoptent ce schéma, des axes centraux
traversants et des rocades ou des périphériques, ce qui nous
ramène au principe du caducée.
ciel, la nation devenant la terre.
Le renouveau du couple, ou comment passer du mode superficiel
extérieur, au mode intérieur profond.
Le caducée est peut être un symbole ou un résumé de l'homme
(l'homme étant lui même un symbole ou un résumé de l'univers),
alors que serait le résumé du caducée ?
Pourquoi pas la graine d'érable ? elle a bien une aile et
concentre en son centre ce qui vas devenir la racine en
s'enfonçant dans le sol
Les ailes solaires ou le caducée version Egyptienne.
L'aspect "déploiement vertical" n'est pas encore opérationel comme
il peut l'être dans notre caducée moderne.
Le totem des amérindiens nous rappelle également le caducée, on y
retrouve les deux ailes et la superposition des figurines sur
l'axe central qui nous fait penser aux différents croisements des
deux serpents (chaque croisement délimite un plan ou une spire de
la sinusoïde)
Un symbole du zoroastrisme,
sorte d'hybride entre la croix et le
caducée
La graine engendre par son rayonnement,
elle prend forme, elle descend dans les profondeurs,
puis elle s'éteint, seul con cœur continuant à battre
pour une future génération.
Je vous présente Icare et Icara, bien connus pour avoir voulu
voler trop près du soleil et y avoir vu l'attache en cire de leurs
ailes fondues et s'être retrouvés noyés.
Cette histoire est souvent prise comme symbole de celui qui veut
trop s'approcher de la vérité et qui peut y perdre la vie.
Le film I
comme Icare est un bon exemple de ce thème.
Le mythe de Prométhée
ressemble également à celui d'Icare.
Notre serpent, l'énergie d'évolution (qui suit l'involution
originale, retour à l'homogène, à
l'uniformité) retourne vers le soleil (la source
originelle), les arbres montent, les hommes montent, rêvent de
voler (aujourd'hui ils font des fusées), mais s'ils montent trop
vite, sans être prêts, ils retombent, d’où les nombreuses
civilisations qui se sont écroulées, la notre atteindra t elle le
but ?
C'est aussi l'histoire de la pomme (symbole de connaissance du
bien et du mal) qu'il ne fallait pas croquer (le "croc" ou la
séparation pourrait correspondre au fonctionnement du mental qui
divise les choses pour essayer de les comprendre) avant d'être
prêt faute de quoi c'était la chute (et maintenant nous ramons).
Excalibur est une épée de légende.
D'une manière générale l'épée est un instrument de vérité, grâce à
ses deux tranchants, elle peut séparer le vrai du faux.
Mais pourquoi, selon la légende, cette épée a t elle été figée
dans la pierre en attendant celui qui saurait l'en extirper ?
Plusieurs pistes sont à creuser, d'abord l'idée qu'il faut aller
au cœur des choses (le cœur est à peu près au centre du corps et
c'est de la que part le flux sanguin pour irriguer toutes les
parties du corps).
De même l'épée est figée au cœur la pierre et c'est la qu'il faut
aller.
La pierre peut symboliser la matière (les atomes) et l'on sait que
c'est au cœur atomes (dans le noyau) que se trouve la fabuleuse
énergie nucléaire (nucleus = noyau) qui est une grande quête de
notre civilisation et qui n'est pas sans rappeler le mythe Prométhéen.
En philosophie, le mythe de Prométhée est admis comme métaphore de
l'apport de la connaissance aux hommes.
Dans la
belle au bois dormant, le chevalier ne triomphe du dragon
qu'en lui plantant son épée en plein cœur. (lien avec le symbole
du tao ?).
Ce qui pourrait se comprendre par mettre de la lumière la ou c'est
sombre à la fois dans le domaine des émotions et des sentiments
(le cœur dragon) et dans le domaine de l'intellect (voir ci
après).
Ezéchiel 36,26-27
Je vous donnerai un cœur neuf et je mettrai en vous un esprit
neuf; j'enlèverai de votre corps le cœur de pierre et je vous
donnerai un cœur de chair.
Retirer l'épée de la pierre (de la matière) peut vouloir dire
arriver à comprendre ou à connaître la vérité ultime concernant la
matière (trancher le vrai du faux) et quand vous avez réussi cet
exploit, vous devenez le roi (vous rayonnez comme le roi soleil).
Pour connaître parfaitement la matière, il faut aussi connaître
parfaitement l'esprit, l'un étant le pendant de l'autre, ce qui
est plus détaillé dans la page
sur les 4 états.
Le caducée est capable de mutation.
On le retrouve ici sous la forme d'un réseau informatique. En haut
est le serveur (l'équivalent du soleil dont tout le monde peut
bénéficier).
En bas est le client (vous d'une certaine manière) et devinez par
quoi ces deux machines sont reliées ?
Par une paire torsadée constituée par deux fils disposés en forme
de sinusoïde, ce qui ressemble furieusement à nos deux serpents
d'origine, qui plus est il y circule un courant
alternatif
sinusoïdal modulé.
Ces paires torsadées sont protégées par un câble rond et
rectiligne (pour ceux qui chercheraient la verticale) ce qui se
retrouve aussi dans l'éolienne.
Tant qu'a muter, le rond de la terre et du soleil sont devenus des
rectangles (à l'intérieur duquel "tourne" le processeur).
Vous me demanderez peut être : ou sont passées les ailes ? Et bien
elles sont représentées par la toile (le réseau Internet) qui
permet de voyager à travers le monde à la vitesse de la lumière,
donc beaucoup plus efficacement que les ailes des oiseaux.
La communication reste assez semblable : le client (vous) envoie
une requête vers le serveur (très petite quantité d'informations)
et le serveur répond en envoyant une grande quantité
d'informations (des pages web, des sons, des vidéos...).
Ceci ressemble à l'éclair : Un premier éclair
précurseur monte vers le ciel, il y fraye un chemin et
ensuite le gros éclair descend avec toute sa puissance.
Une comparaison est aussi à faire avec le boute
en train utilisé pour la reproduction des chevaux et
pourquoi pas avec la prière. Frappez et on vous ouvrira (Luc 11 :
9).
Une autre façon de voir la relation client/serveur si utile pour
le réseau internet.
Un résumé pourrait se faire en disant qu'une transformation dans
le monde d'en bas (le clic sur un lien par exemple) engendre une
transformation dans le monde d'en haut (l'envoi d'une page
particulière par exemple).
Ceci n'est possible que si la relation ciel/terre (le câble
informatique) est opérationnelle.
Réchauffons un peu l'atmosphère avant de nous
quitter.
Nos caducées modernes sont décidément devenus carrés.
Notre chaudière est donc reliée sur le réseau de gaz de GRDF
(la carte de France de ce réseau est mise de chaque coté de notre
chaudière), elle produit de la chaleur qui rayonne vers les
radiateurs des différentes pièces de la maison, mais ici, le
rayonnement n'est pas lumineux (comme pour le soleil), il prend la
forme d'eau chaude véhiculée dans des tuyauteries.
Ces tuyaux semblent droits mais en fait l'eau qui y circule est en régime turbulent
(contrairement au régime
laminaire), disons pour simplifier que l'eau circule en
faisant des tourbillons que l'on peut comparer aux sinusoïdes du
caducée symbolisées par le serpent.
On notera également que les tubes de cuivre à l'intérieur de la
chaudière ont également une disposition sinusoïdale (en
serpentin).
Enfin cette chaudière provoque de l'évaporation (passage de 'état
liquide à l'état gazeux) et de la condensation (passage de l'état
gazeux à l'état liquide).
Cette transformation nous rappelle les
quatre états.
Une analogie (osée) pourrait être faite avec le cœur (relié aux
poumons) qui envoie du sang oxygéné vers les différents organes du
corps, le sang appauvri en oxygène retourne ensuite vers le cœur.
Vous avez un coup de pompe, voici de quoi
relever le niveau !
Comme il y avait deux arbres au
paradis, j'ai reproduit la chose en vous mettant à gauche la pompe
de relevage
Salmson GV-28
vue sous son aspect extérieur donc tout à fait
fonctionnelle.
A droite
j'ai un peu coupé les cheveux en quatre, je me suis éclaté pour
vous montrer le dessous des cartes, les coulisses de la technique
pour que la connaissance vous libère enfin. (La vérité vous
libérera (Jn 8, 32)).
Les axes verticaux sont des arbres
de transmission. (dans les voitures à traction arrière il y a
aussi un arbre de transmission entre le moteur et les roues).
La transmission par l'arbre peut aussi se faire pour la
connaissance et pour plein d'autres choses "subtiles".
Le moteur du haut (le ciel) est composé d'une partie statique qui
se nomme d'ailleurs un stator et d'une partie mobile qui se nomme
le rotor, la vue en coupe permet de distinguer ces deux parties.
Donc nous sommes typiquement en présence d'une dualité, d'un
couple.
La turbine du bas (la terre) est également en deux parties, une
partie statique en blanc sur l'image qui peut se nommer le carter
ou le corps de la turbine,
et la partie mobile en marron sur l'image qui est la
turbine elle-même. Donc la encore,
nous avons la dualité, le couple.
Si vous trouvez que ce caducée manque un peu d'ailes, imaginez le
réseau EDF qui amène le courant électrique au moteur, comme dans
l'image plus haut (celle de la
chaudière avec le réseau gaz).
La force motrice du moteur se
transmet vers le bas par l'arbre de transmission grâce à
un "couple
moteur", si vous avez un moment, révisez le théorème
des moments.
Au final, nous pourrions évoquer le fait que le caducée ai une
dimension "fractale", celui
exposé ci-contre
pourrait par exemple être mis en dessous de celui-la
avec la production d'électricité.
Pour passer à la croix, nous pourrions ajouter un tuyau
d'aspiration et un tuyau de refoulement (montré de façon un peu
embryonnaire sur la pompe de gauche en bas) pour voir la partie
horizontale de la croix, la verticale étant constituée par l'arbre
moteur, la turbine représentant le cercle au centre de la croix.
Vous pouvez maintenant vous déplacer en grande pompe.
Le symbole de la pompe est : Il va lancer le transfert entre le ciel
et la terre (ou entre votre magnétoscope et votre conscience) et
c'est bien ce symbole que vous avez sur vos télécommandes.
Votre vision de la pompe étant au point, nous pouvons peut être
passer à la psychopompe dont je vous rappelle le sens :
D'après la mythologie : divinité qui conduit les âmes des morts
dans l'au-delà (Charon, Hermès, Orphée, Apollon).
Le parallèle avec notre pompe de relevage Salmson GV-28 est
flagrant, dans le monde d'en bas (la terre ou la partie physique
du corps humain) il y a un "fluide" (faute d'avoir un autre mot)
et lorsque la personne est morte, notre psychopompe va "aspirer"
ce fluide pour l'envoyer dans le monde d'en haut (l'au delà, le
ciel, le paradis ....). Ceci n'est évidemment qu'une image, le
sang qui circule dans vos veines est il vous même ? et si vous
faites un dont du sang, la pochette de sang est elle toujours vous
même ? et si on vous réinjecte ce sang, redevient il vous même ?
Sans lui, notre "civilisation ?" moderne ne serais rien,
voici une vue éclatée de la partie centrale d'un moteur
électrique, qui se nomme le rotor ou "'arbre moteur".
La partie haute qui est circulaire se nomme le collecteur,
l'électricité est appliquée sur ce collecteur simultanément par la
droite et par la gauche, à travers des "charbons" qui sont les
parties noires que l'on voit de chaque coté.
L'électricité arrive à ces charbons par les fils électriques (+ et
-), les ressorts servent à rendre le contact permanent entre les
charbons et le collecteur (les charbons s'usent et il faut les
pousser grâce aux ressorts, puis il faut les remplacer).
Les bobinages du centre font face à ceux du stator (non représenté
ici) ils rappellent les spires centrales du caducée "classique".
Ce caducée reçoit une forme d'énergie (l’électricité) venue du
haut (le ciel) et la renvoie vers le bas (la terre) sous sous
forme d'énergie mécanique (de mouvement).
Cette situation est réversible, comme l'éolienne
nous le montre.
Nous voila descendus bien
bas, pour vous prouver à toute force que le caducée est partout,
je n’ai pas hésité à greffer le haut d’un bras sur le bas d’une
jambe !
Ainsi, en levant les bras au ciel et en gardant les pieds sur
terre, nous pouvons enfin joindre le ciel et la terre, ce qui est
(selon moi) le principe de base du caducée.
La partie centrale et verticale du caducée est ici incarnée par
l’os, l’os étant en général creux, ce qui fait un lien avec le
symbole de la fontaine ou l’eau s’écoule
au centre vers le haut avant de redescendre en de jolies
arabesques (vient d’Arabe ?).
Pour l’os, la garniture intérieure est la
moelle, qui a un rôle très important dans notre biologie.
Les serpents habituels sont ici figurés par les muscles bien
arrondis et qui ont un rôle moteur « actif » à comparer au rôle «
passif » des os.
Les os fournissent cependant la solidité de la structure, la
mobilité étant assurée par la combinaison entre les muscles et les
articulations le tout piloté par le système nerveux, le cerveau et
la conscience.
Il nous manque cependant les ailes pour pouvoir décoller.
Avec un peu d’imagination, on pourrait dire que deux pieds mis
talon contre talon, en alignant le tout, ressembleraient vaguement
à un paire d’ailes, mais ce serait un peu tiré par les cheveux
(cheveux = ciel et pied = terre).
C’est la que la mythologie peut venir à notre secours, le dieu Hermès pour
les Grecques (Mercure pour les Romains) avait des ailes sur les
épaules et aux talons !
C’est peut être de la que vient l’expression « avoir quelqu’un sur
les talons » ou « avoir les chevilles qui enflent » ?
Maintenant passez votre souris sur l’image de
gauche et la vérité vous sera révélée.
Nous avons la un caducée intéressant puisqu’il est inversé,
illustrant la célèbre citation de la table
d’émeraude « Ce qui est en bas est comme ce qui est en haut,
et ce qui est en haut est comme ce qui est en bas ».
Ceci est aussi à rapprocher de la notion de centre, qui peut être
en haut (dans le macrocosme) ou en bas (dans le microcosme), le
lien suivant vous en dira plus.
Il vous reste à prendre vos jambes à votre cou ou à prendre votre
pied pour vous envoyer en l’air, mais sans cou
rire.
La marche à suivre est ainsi, après avoir
passé beaucoup de temps à descendre, à s’incarner (selon le
mouvement ciel -> terre) il nous fallait trouver le moyen de
remonter la pente, de retourner vers le créateur (l’aspect de nous
même qui est créateur), c’est ce que font beaucoup d’hommes en
voulant devenir roi du monde, ou en construisant l’immeuble le
plus haut de monde, ou en envoyant des fusées dans l’espace.
Au moyen âge, cette course vers le ciel se faisait par
l’intermédiaire des cathédrales
dont les nefs furent de plus en plus élevées au fil du temps.
Mais vous l’aurez compris, c’est à l’homme lui-même (dans son for
intérieur) de suivre ce chemin ascensionnel, chacun selon sa
compréhension et ses moyens.
Cette remontée à partir du pied n'est pas sans rappeler le dernier
acte de jésus qui fut de laver les pieds de ses disciples,
certaines motos se démarraient au pied (au kick) qui est une
combinaison entre une poussée vers le bas et une rotation.
Pour partir d'un bon pied, déployez vos ailes.
Le Modulor est une notion architecturale inventée par Le
Corbusier en 1943.
Silhouette humaine standardisée servant à concevoir la structure
et la taille des unités d'habitation, comme la Cité radieuse de Marseille,
Maison Radieuse de Rezé ou l'Unité d'habitation de
Firminy-Vert, elle devait permettre, selon lui, un confort
maximal dans les relations entre l'homme et son espace vital.
Ainsi, Le
Corbusier pense créer un système plus adapté que l'actuel
système métrique, car il est directement lié à la morphologie
humaine, et espère voir un jour le remplacement de ce dernier.
Il s'agit d'un mot-valise composé sur « module » et « nombre d'or ». En effet, les proportions
fixées par le modulor sont directement liées au nombre d'or.
Par exemple, le rapport entre la taille (1,83 m) et la hauteur du
nombril (1,13 m) moyennes est égal à 1,619, soit le nombre d'or à
un millième près.
D'autre part la taille humaine standard 1,83 mètre est basée sur
l'observation de l'architecture traditionnelle européenne et de
l'utilisation des proportions de cette unité pour élaborer
l'harmonie d'une architecture.
Cet extrait de WIKIPEDIA
nous montre une autre relation entre l'homme et l'univers et je
vous laisse commenter le rapport avec le caducée, Le Corbusier a
déjà été mentionné dans la
page sur les quatre éléments.
Vous doutiez que le caducée puisse vous élever vers le ciel, en
voici la preuve en image.
Certes celui-ci ne vous conduira pas jusqu'au soleil mais tout
juste à quelques mètres de haut.
Cet aspect terre à terre fait que nous ne reconnaissons plus nos
jolies courbures des serpents, ici tout est droit, rectiligne.
On retrouve toutefois du rond au niveau des axes de rotation des
bras.
Les ailes sont devenues un simple plateau (plate forme) garni de
garde-corps dentelés, mais ces ailes embarquent beaucoup de monde.
prêts pour le décollage : lancez la vidéo.
Y voyez vous une petite montée de la kundalini qui monte qui monte (comme la bébête) ?
Voici un caducée qui devrait vous faire partir en flèche :
la grue à tour.
L'axe vertical est bien la et s'appelle le fût (nous verrons plus
loin pourquoi) il nous rappelle le chiffre quatre puisque ce fût a
généralement un base carrée à l'intérieur de laquelle le grutier
peut se hisser au sommet vers la cabine.
Pour faciliter le passage du grutier, l'intérieur du fût est
équipée d'une échelle
à crinoline qui a une forme ronde ce qui renvoi au cercle à
l'intérieur du carré (à voir sur la page symboles
FMT).
Nous avons donc toute une collection de verticales : le fût avec
ses quatre profilés d'angle, l'échelle (de Jacob ?) qui mène de la
terre au ciel (la cabine de pilotage) et pour finir le câble
électrique qui alimente le moteur du treuil.
Nos deux serpents, comme dans le cas de l'éolienne
mais à l'envers puisque c'est la terre qui alimente le ciel (le
moteur du treuil) correspondent à l'énergie électrique sinusoïdale
véhiculée par le câble.
Le cercle au sommet de l'axe vertical est doublement représenté
par le moteur électrique (rond) couplé au treuil (rond), cet
accouplement a déjà été étudié avec la pompe et constitue lui même
une forme de caducée.
Ces deux éléments ne sont pas visibles sur l'image ci contre, vous
pourrez cependant imaginer l’œil (rond) du grutier qui permet de
tout diriger comme l'antique vigie au somment du mat des bateaux.
les deux ailes sont la mais déséquilibrées, comme un parent qui
porterait son enfant sous un seul bras et qui devrait se pencher
pour rétablir l'équilibre.
Dans la pratique la grue est équilibrée par la petite flèche ou
est placé un contrepoids fixe qui vient compenser la charge mobile
portée par par la grande flèche.
Les flèches ne volent pas aussi bien que les ailes des oiseaux
mais elle peuvent tourner tout en portant des charges énormes.
Le voyage entre le ciel et la terre est très bien représenté, nous
avons le grutier, le courant électrique du treuil et les charges
pour construire le bâtiment.
Un détail intéressant à noter est la ressemblance avec une croix
et nous avons même le cercle au centre
de la croix (le moteur et le treuil).
Mais le plus extraordinaire c'est que ce caducée a un enfant (en
couleur orange sur l'image) qui est le palan avec son crochet (il
est vrai que les enfants vivent souvent au crochet de leurs
parents du moins au début).
Chez lui tout est inversé, le cercle est en bas (le palan
et le moufle)
les ailes correspondent à la charge portée, une poutrelle dans
notre cas et il est relié par deux câbles à un chariot (de même
que les enfants sont menés en poussette) coulissant sur la flèche
principale. Ces câbles seraient l'équivalent du cordon ombilical
chez le fœtus.
Et c'est l'enfant qui construit le bâtiment tout en étant soutenu
par les parents.
Donc ce ne sont peut être pas les cigognes qui amènent les
enfants, mais les grues !
Rassurez vous, la grue n'est que provisoire ensuite, on dira
d'elle qu'elle fût. attention au ciel sur la tête.
St Michel terrassant le dragon nous donne un bel enseignement.
Sur l'image de gauche, le ciel et la terre sont séparés (après la
"chute" ?).
En haut (les ailes, le ciel) et en bas le dragon (l'énergie brute
non maîtrisée).
Grâce à sa lance (droite) St Michel terrasse (met en terre ou
relie la terre) l'énergie brute (les instincts ?).
Ainsi canalisée, l'énergie horizontale va pouvoir se dresser
(devenir droite) et monter vers le ciel.
Au final nous obtenons le caducée avec les ailes en haut (les
ailes de St Michel qui symbolisent l'aspect feu ou énergie
rayonnante).
La lance de St Michel est devenue l'axe central du caducée qui va
guider notre énergie.
Notez que la lance de St Michel vise la bouche (le centre) du
dragon, la ou le passage est possible, quelquefois c'est le cœur
qui est visé comme dans "La belle au bois dormant" mais l'idée
générale me semble être la même.
Un parallèle est à faire avec la fameuse Kundalini dont WIKIPEDIA
nous déclare "La Kundalini est un terme sanskrit lié au Yoga qui
désigne une puissante énergie qui se trouverait logée dans l'os
sacrum. Elle est représentée comme un serpent enroulé sur lui-même
trois fois et demi".
La "montée" de cette énergie pour aller alimenter le monde d'en
haut se fait elle uniquement si le monde d'en haut (l'ange ou
l'archange) fait descendre (lance) un support, un axe en direction
du monde d'en bas.
L'accumulation d’énergie en bas est une constante, c'est bien la
(dans la terre) que l'on trouve du pétrole, du charbon, du gaz
méthane, du minerai d'uranium.
Toute cette énergie accumulée va être extraite et nous propulser
de différentes manières.
Pour les pointilleux qui feront remarquer qu'il y a aussi de
l'énergie en haut (dans le soleil), la réponse demanderait un
développement qui sortirait du cadre de St Michel.
De même l'homme a maîtrise l'énergie électrique grâce (entre
autre) au câble électrique qui conduit longitudinalement tout en
isolant latéralement.
Ce passage de l'énergie horizontale à l'énergie verticale est une
constante, nous la retrouvons dans les passages suivants:
Plan minéral (horizontal) vers le plan végétal (vertical)
Plan végétal (vertical)vers le plan animal (horizontal)
Plan animal (horizontal) vers le plan humain (vertical)
et la suite : Angélique, Archangélique, Divin ?
L'idée générale de cette symbolique serait de ne pas "tuer" le mal
le méchant le maudit, comme Ulysse qui tue le cyclope, mais au
contraire de laisser cette énergie monter en nous pour lui
permettre de s'exprimer, pour la raffiner à condition bien sur de
laisser passer l'autre courant d'énergie qui va du ciel vers la
terre (les deux serpents du caducée).
Réglé trop haut, vous faites comme Icare (pas Accard hein) vous
vous brûlez les ailes et c'est une fois de plus la chute (à
comparer avec le fusible électrique).
Réglé trop bas, c'est l'enlisement l'aveuglement l'étouffement la
stagnation.
Donc trouvez la note juste : le mi (comme moitié, ma mie = ma
moitié).
Même le nom de St Michel nous donne ce mi (mi-chemin, mi-temps).
Car c'est bien celui qui est au mi-lieu qui peut le mi-eux relier
les deux pôles, les deux extrêmes.
Les guitaristes ont un médiator et la justice le médiateur.
Soyons donc a-mi a-mi (pour aller a Miami).
Pour la deuxième partie du nom de Michel
: chel, elle peut rappeler échelle
ce qui nous entraînerait vers l'échelle
de Jacob, elle aussi faite pour relier le ciel et la terre, avec
ses nombreux barreaux ou ses nombreux plans, que l'on retrouve
aussi dans la planche 1 du Mutus
Liber.
Tout ceci est pour les braves (ceux qui ont des bras, pas de bras
pas de chocolat).
Vous allez voir défiler ci-dessus toute votre vie en une
fraction de seconde (il paraît que ça arrive dans certains
accidents graves).
L'histoire commence à l'horizontale, ou vous étiez dans de beaux
draps (je parle de la relation entre vos parents), ensuite vint
l'accouchement qui se pratique aussi à l'horizontale (à part chez
certains peuples ou la coutume veut que les femmes accouchent
assises ou accroupies).
Ensuite vint une période ou vous fîtes l'expérience de la
verticalité et que je vais détailler plus bas, et enfin vous
repartirez toujours à l'horizontale dans la petit boîte (la boite
à feu).
Je me suis contenté de vous raconter le début et la fin puisque
nous sommes sur la page du caducée qui résume admirablement le
mariage entre vos courbes et la verticalité.
Dans ce milieu de vie, nous avons des hauts et des bas et
quelquefois des ébats ou des débats assez bien illustrés par la
sinusoïde amortie (en bleu ici) qui pourra aussi nous rappeler le
lien avec les ailes du caducée symbole de rayonnement.
Au début, la maîtrise de la verticalité est assez chaotique et
nous avons besoin de l'aide de nos parents ou de différents
accessoires pour nous y initier.
L'adulte quant à lui est tout à fait à l'aise mais il préfère
souvent se mettre en couple, non pas pour tenir sa verticalité
"physique" mais plus pour construire une verticalité "Psychique"
ou "spirituelle" (et je ne parle pas de la verticalité nécessaire
à la création des enfants).
Ensuite (symétrie oblige) on retrouve l'aide d'un tiers ou d'un
accessoire pour se maintenir debout.
Voila, vous avez fait le tour de la question, je ne doute date que
vous reviendrez faire un tour ici ou la.
Notez que l'expression "la roue tourne" est ici brillamment
illustrée puisque l'axe de la roue de vie démarre à l'horizontale
puis tourne pour passer à la verticale et ensuite retourne à
l'horizontale, et le déploiement d'un cercle dans l'espace est une
sinusoïde !
En résumé, je dirais que pour être debout (debout = deux bouts) il
faut joindre les deux bouts (le ciel et la terre) et rester
branché (pas seulement s'accrocher aux branches).
L'énergie pourra alors circuler (décrire un cercle) et mettre en
tension, abreuver, instruire, féconder, illuminer, réchauffer.
Quelle relation entre :
L'évolution de la vie animale sur terre, qui est passée du reptile à
l’archéoptéryx (avec des ailes) puis au volatile comme on le connait
encore (le pigeon), puis à l'être humain pensant, venu beaucoup plus
tard.
Le symbole du caducée ou l'on retrouve le triptyque serpent/oiseaux/lumière.
Nos trois cerveaux, reptilien, limbique et néo cortex.
Une dernière
image en forme d'apothéose (dont le sens est "Mise au rang des
dieux").
L'artiste m'a envoyé la peinture de son caducée après avoir pris
connaissance de mon site.
Cette peinture est incroyablement développé et détaillé et tout
cela a été fait par intuition, en opposition à ma démarche qui est
plutôt mentale.
Les deux visions se rejoignent, ce qui montre la complémentarité
possible entre l'approche sensible et l'approche rationnelle.
Le soleil est majestueux, son rayonnement est exprimé de trois
manières :
Les rayons ondulés qui partent dans toutes les directions et
dont la forme est très explicite quant à la nature vibratoire
de la lumière.
L'oiseau qui est une forme plus symbolisé du rayonnement
solaire, les oiseaux volent dans l'air comme les rayons du
soleil se déplacent dans l'air.
Ce côté animal est plus développé que les simples atomes de
gaz composant le soleil et de plus la tête de l'oiseau peut
nous rappeler la notion de conscience qui siégerait dans le
soleil, cette notion est renforcée par les yeux mis dans les
nuages du ciel, l’œil est souvent pris comme symbole de
conscience, comme dans le billet de un dollar ou comme dans le
retable de l'église
de Hazebrouck.
Remarquez à cet effet que le mot soleil contient le mot œil.
Les deux serpents vert sont aussi des symboles, mais qui
atteignent la terre (les autres rayons partant vers l'univers
infini).
Ces deux rayons vert sont représentés de façon plus explicite
que l'ensemble des autres rayons partant du soleil parce que
ce sont justement ceux la qui atteignent notre planète.
L'aspect tri unitaire est classique avec un axe droit et deux
sinusoïdes (les rayons du soleil sont souvent représentés
comme des rayons de bicyclette).
La terre (monde d'en bas) est très bien représentée, en général
elle est absente où alors il faut la deviner.
La dualité du bas est représentée par le couple homme/femme bien
au cœur des choses et entouré des 4
éléments.
Une deuxième lecture de la dualité est vue à travers le couple
soleil/lune à lire cette fois sur les plans intérieurs entouré par
plusieurs sphères qui peuvent symboliser différent plans de
conscience tous en rappelant les 4
éléments.
En fait la terre recrée un caducée à son niveau ce qui va dans le
sens d'une vision fractale du monde, vision traditionnellement
appelée microcosme et macrocosme, sachant qu'il y a une
respiration entre les deux, comme entre la graine et l'arbre.
Des rayons du soleil légèrement ondulés sont aussi
visibles sur le vitrail principal de la sainte chapelle à
Vincennes.
La suite de cette page est une étude sur la partie centrale du caducée,
à savoir la verticale.
(cliquez ici pour voir la page sur la verticale).
La deuxième partie de cette page sur le caducée est composée
essentiellement d'images, elle est visible
ici page 2/2.
Un diaporama sur les caducées Parisiens vous est également proposé sur
ce lien.